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Une étude intéressante faisant suite au constat qu'aux Etats-Unis, des centaines d'entreprises, se sont relocalisées en centre-ville piéton entre 2010 et 2015. Smart Growth America, analyse les caractéristiques, motivations et préférences de ces entreprises et l'impact sur le dessin du territoire.

En achetant la technologie lié à la voiture autonome de Cruise Automation, et en s'asociant avec Lyft, GM à l'ambition de s'emparer du futur marché de taxis sans chauffeurs. D'ici un an, le constructeur automobile et Lyft vont tester ce futur service dans une ville américaine dont le nom est encore tenu secret. Une question persiste : quelle entreprise aura la propriété des données récoltées ?

En achetant la technologie lié à la voiture autonome de Cruise Automation, et en s'asociant avec Lyft, GM à l'ambition de s'emparer du futur marché de taxis sans chauffeurs. D'ici un an, le constructeur automobile et Lyft vont tester ce futur service dans une ville américaine dont le nom est encore tenu secret. Une question persiste : quelle entreprise aura la propriété des données récoltées ?

Alors que ce tient actuellement les rencontres de la logistique urbaine à Paris, les autorités municipales et entreprises de livraisons anglaises se sont rencontrés à Londres en début de mois pour questionner les horaires de livraison dans une démarche prospective.

Alors que ce tient actuellement la conférence sur la logistique urbaine à Paris, autorités municipales et entreprises de livraisons anglaises se sont rencontrés à Londres

L'open-space, incarnation moderne du panoptique de Bentham est-il en voie de disparition ? Ce mode d'organisation, où l'individu est noyé dans le bourdonnement collectif semble être en perte de vitesse dans un contexte de dématérialisation du travail. Entre le développement du travail à distance et les entreprises, qui à l'instar de Google, préconisent des organisations moins formelles, avoir une place attitrée dans l'open-space n'a plus de raison d'être.

L'open-space, incarnation moderne du panoptique de Bentham est-il en voie de disparition ? Ce mode d'organisation, où l'individu est noyé dans le bourdonnement collectif semble être en perte de vitesse dans un contexte de dématérialisation du travail. Entre le développement du travail à distance et les entreprises, qui à l'instar de Google, préconisent des organisations moins formelles, avoir une place attitrée dans l'open-space n'a plus de raison d'être.

"Il faut tout d'abord reconnaître que le marché du travail est devenu multiple, diversifié, à géométrie variable. La promotion d'un modèle unique et monolithique (le CDI à temps complet) ne fait plus sens, car les attentes sur le marché du travail sont très variées, aussi bien côté entreprise que côté individu. Côté solutions, notre marché du travail devra se réinventer et adopter des mesures visant à réconcilier des contraires : liberté et protection, individu et collectif, flexibilité et durabilité."

Le gouvernement a fait adopter dans la loi Macron un amendement relatif à «l'accès aux données nécessaires à l'information du voyageur». Le premier paragraphe est très clair: «Les données des services réguliers de transport public de personnes et des services de mobilité sont diffusées librement, immédiatement et gratuitement en vue d'informer les usagers et de fournir le meilleur service. […] Elles sont fournies par voie électronique au public et aux autres exploitants dans un format ouvert destiné à permettre leur réutilisation libre, immédiate et gratuite». Les plus fervents supporters de l'Open data n'avaient pas rêvé d'une rédaction aussi radicale, qui englobe aussi les moyens de transport individuels, comme Velib et Autolib: une fourniture «immédiate et gratuite»… Le choix stratégique est très explicite: les nouvelles technologies donneront aux usagers et aux entreprises les outils d'une mobilité fluide et intégrale, à condition que toutes les données soient disponibles pour les développeurs des applications."

Uber est-ce une entreprise de transport ou une société de services numériques ? Réponse cruciale attendue de la Cour européenne de justice

"Ni accélérateur, ni incubateur, le Startup Palace se veut lieu d'hébergement, de formation et de coaching où les entrepreneurs et startupeurs pourront bénéficier d'un bureau tout équipé et fermé pour préserver la confidentialité des projets, d'un service d'accueil, de connexions internet, de l'émulation collective, de prestations de service pour un loyer de 500 €/mois. Le Startup Palace leur propose d'intégrer l'Opération Eléphant. Cet accompagnement spécifique d'une durée de cinq mois est facturé 1550 €/personne."

"Les maires de demain seront contraints de négocier directement avec des entreprises comme Amazon, Thales, Auchan ou Total"

"Les salariés eux-même se transforment de plus en plus en contractants de court terme."

Entretien croisée avec Emmanuel Combarel (architecte) et Bruno Marzloff (Chronos) sur les immeubles de bureaux : comment les rendre plus flexibles et y intégrer des services, sans non plus en faire une "deuxième maison" ?

Du maire de commune qui demande à ses agents de se parler au lieu de s'envoyer des mails, aux grandes entreprises qui testent le "off line", la question de la surcharge des mails rejoint le "droit à la déconnexion" du projet de loi El Kohmri… Et pose celle des impacts environnementaux de la croissance exponentielle des mails (demandant toujours plus de serveurs énergivores).

"La promesse de gagner du temps en se libérant de certaines tâches « ingrates » du quotidien a déjà séduit quelque 15 000 abonnés, particuliers et entreprises utilisateurs de la dizaine de loges ouvertes par La Conciergerie solidaire en Gironde. Les tarifs avantageux expliquent ce succès. Une fois acquitté un abonnement mensuel de 10 euros pour les particuliers, les services sont facturés sur la base de prix inférieurs de 10 % à 20 % aux tarifs du marché. Pour les professionnels, des packages sur mesure peuvent être proposés."

Alors que uber et taxi se déchirent, Michel Bauwens, auteur de "Sauver le monde, vers une société post-capitaliste avec le peer-to-peer" recadre les fondements de l'économie collaborative. Rappelant la place fondamentale des communs, il insiste sur le rôle régulateur de l'Etat pour tirer profit de l'économie de partage sans tomber dans des déséquilibres propres au modèle capitaliste.

La SNCF lance une expérimentation de "train à la demande", qui consiste à proposer des TGV moins cher qui ne partent que si suffisamment de passagers ont déclaré puis confirmé leur intérêt pour un trajet.

"Après avoir été l'apanage des start-up, la voiture en libre-service intéresse aujourd'hui de grandes sociétés comme Renault, Peugeot ou La Poste."

D'un internet de l'information à un internet de l'expérience.