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L'atelier - Un vélo en libre service sans bornes à Shangai - 0 views

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    Si vous avez déjà utilisé un vélib, vous avez sans doute connu la situation où : 1. il n'y avait pas de place pour déposer votre vélo ou 2. il n'y avait pas de vélib disponible. Shanghai a lancé cette année un service de vélo en libre service sans bornes. Associé à une application, elle permet de localiser les vélib, et de les réserver instantanément avec son smartphone. Un bon moyen pour éviter les problèmes de stationnement dans les bornes. Mais ce genre de système risque de subir les conséquences de concentration des flux (et donc des vélos) dans les même espaces.
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    Si vous avez déjà utilisé un Vélib, vous avez sans doute connu la situation où : 1. il n'y avait pas de place pour déposer votre vélo ou 2. il n'y avait pas de Vélib disponible. Shanghai a lancé cette année un service de vélo en libre service sans bornes. Associé à une application, elle permet de localiser les Vélib, et de les réserver instantanément avec son smartphone. Un bon moyen pour éviter les problèmes de stationnement dans les bornes. Mais ce genre de système risque de subir les conséquences de concentration des flux (et donc des vélos) dans les même espaces.
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    Si vous avez déjà utilisé un vélib, vous avez sans doute connu la situation où : 1. il n'y avait pas de place pour déposer votre vélo ou 2. il n'y avait pas de vélib disponible. Shanghai a lancé cette année un service de vélo en libre service sans bornes. Associé à une application, elle permet de localiser les vélib, et de les réserver instantanément avec son smartphone. Un bon moyen pour éviter les problèmes de stationnement dans les bornes. Mais ce genre de système risque de subir les conséquences de concentration des flux (et donc des vélos) dans les même espaces.
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Enlarge your Paris - Les services, clé de la valeur de l'immobilier - 0 views

  • définir jusqu’à quel point une construction doit dicter les usages de ses utilisateurs et jusqu’à quel point elle doit être un potentiel dont on va pouvoir se saisir. En cela, le modèle haussmannien est extraordinaire. Un immeuble peut avoir été édifié à l’origine pour de l’habitat mais se retrouver transformé en bureaux, en hôtel ou en grand magasin. Tout le contraire des immeubles de bureaux d’aujourd’hui qui dégagent une certitude qui me laisse pantois.
  • la manière dont ils travaillent est conditionnée par le bâtiment lui-même.
  • Sommes-nous en mesure de produire une utopie de ces espaces qui hébergent la plus grande part de nos vies actives ? C’est ce qui nous a guidé dans la réflexion que nous avons menée pour Réinventer Paris et qui a abouti au projet d’immeuble « Ressources humaines » dans le quartier des Batignolles. Selon nous, l’expression générique « immobilier d’entreprise » va s’effacer au bénéfice d’ « immobilier du quotidien »
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  • En même temps qu’émerge le coworking, on voit des entreprises adopter des comportements de plus en plus paternalistes. Elles proposent à leurs salariés d’accéder à un éventail de services directement sur leur lieu de travail. Sous couvert de bien-être, ce sont des groupes qui se renferment sur eux-mêmes.
  • c’est le risque du bunker !
  • Dans ce même projet nous travaillons sur un concept de régies locales de données rattachées aux immeubles, au quartier, à la ville et au-delà. Le principe est le suivant : les résidents acceptent que la régie collecte certaines de leurs données (horaires de travail, lieu d’habitation, modes de déplacements, etc.). En contrepartie, ils accèdent à des services appropriés.
  • C’est ainsi que nous avons pensé une station de mobilité alternative au sein même du projet « Ressources humaines », en lien avec une plateforme de transport publique proche. Cette station donnerait accès à des vélos en libre service, du covoiturage ou de l’autopartage, des modes de déplacement qui font partie de la ville actuelle, donc du travail.
  • Il existe une maxime du général vietnamien Nguyên Giáp (1911- 2013) qui dit « Si l’ennemi se concentre il perd du terrain, s’il se disperse il perd sa force ». Quand l’immobilier de bureaux se concentre, cela donne La Défense, ce qui assèche les territoires autour. Néanmoins, une entreprise ne risque-t-elle pas de perdre en force si les espaces de travail sont disséminés ? La concentration et la répartition sont des questions complexes et aucune solution ne s’impose.
  • ne réflexion doit également être menée sur la manière d’exploiter les immeubles de bureaux en dehors de leurs traditionnels horaires d’activité. Aux Mureaux, des urbanistes ont travaillé sur la façon d’utiliser des espaces publics comme les collèges, les lycées, les bibliothèques ou les gymnases, pour d’autres activités que leur activité de destination, et ce pendant les temps où ils sont inutilisés. Et ça marche !
  • un immeuble de bureaux doit être conçu de manière à ne pas dicter la pratique qu’en ont ses utilisateurs.
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    Entretien croisée avec Emmanuel Combarel (architecte) et Bruno Marzloff (Chronos) sur les immeubles de bureaux : comment les rendre plus flexibles et y intégrer des services, sans non plus en faire une "deuxième maison" ?
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