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Dans la feuille de route du gouvernement : Les mesures concernant l'open data (p29) : 1.La mission Etalab organisera en 2013 six débats thématiques surl'ouverture des données de santé, d'éducation, de dépenses publiques, du logement, de l'environnement et des transports. 2. De nouveaux jeux de données stratégiques seront prochainement mis en ligne : les attributaires de marchés publics, les aides à la presse, les bases de données surles marques et des brevets et des données relatives au tourisme en France. D'autres jeux seront ouverts en 2013, suite à l'identification faite dans chaque ministère en mars. 3. Une nouvelle version de la plateforme Etalab (www.data.gouv.fr) ouvrira dès 2013. 4. La mission Etalab organisera la formation des administrations pour une réutilisation efficace des données publiques. Promouvoir nos valeurs dans la société et l'économie numériques 5. Trois concours Dataconnexions seront organisés en 2013 pour stimuler l'innovation dans la réutilisation des données. 6. Dans les prochains mois, le Gouvernement se rapprochera du "Partenariat pour un Gouvernement ouvert" auquel adhèrent déjà 47 États pour étudier les conditions de l'adhésion de la France.

OPen data et ESS  L'économie sociale et solidaire (ESS) française se démarque par sa timidité d'initiatives, aussi bien de publications de données que de réutilisation de données publiques pour alimenter ses activités. Du fait de son cœur d'activité et de son rôle d'intermédiaire avec le grand public, l'ESS est pourtant directement concernée par les données publiées dans les domaines de la santé, l'éducation, l'environnement ou encore la mobilité ; les valeurs d'ouverture et de coproduction des données ouvertes, font écho aux valeurs intrinsèques de l'ESS.  Le questionnement du gouvernement français sur l'extension de l'obligation d'ouverture aux associations devrait lancer le débat en France. Dans un contexte où l'ouverture fait de plus en plus partie du paysage informationnel, les acteurs de l'ESS doivent s'y familiariser et savoir se développer au sein de celui-ci.

"Le conseil général de Loire-Atlantique a demandé à un cabinet d'évaluer son ouverture des données publiques, entamée en 2011. Le résultat est parfois douloureux, mais toujours utile pour toute collectivité soucieuse de mieux comprendre la complexité des mécanismes en oeuvre et les leviers à actionner pour améliorer les politiques"

La ville de Pau va ouvrir ses données.

"Cet article rend compte d'une enquête en trois volets que nous avons menée pour comprendre d'où venait le manque de visibilité et de lisibilité de la recherche française. À défaut d'avoir pu tout couvrir, l'enquête nous a menés sur la voie de l'open data, mais pas au sens où on l'entend traditionnellement en science : ce qui nous intéresse ici ce sont les données sur la recherche récoltées par les administrateurs,"

"Comparer le taux de réussite des auto-écoles de sa ville, choisir un hôtel ou un restaurant accessible à une personne handicapée ou connaître à l'avance le taux de remplissage des trains en Ile-de-France : encore méconnus, l'ouverture et le partage des données publiques (open data) débouchent sur des services utiles au grand public."

Quelques chiffres sur le portail opendata de la ville de Montpellier après deux ans d'expérience

Ce blog partage des expériences, tutoriaux, outils pour présenter et partager des données, à destination des non-spécialistes.

Nouveau master sur les biens communs à Paris Nord, avec un axe d'étude sur les données.

11 conseils pertinents pour des open data tous publics et plus proches des usagers finaux. 1. Improve access to data 2. Create open data for the end user 3. Show, don't tell 4. Make it relevant to people's daily lives, not just to NGOs and policymakers' priorities 5. Invite the public into the sandbox 6. Realize that open data are like QR codes 7. Make open data sexy and pop, like Jess3.com 8. Help journalists embrace open data 9. News nerds can help you put your open data to good use 10. Rename open data 11. Don't expect open data to substitute for thinking or reporting

De nombreuses applications liées aux itinéraires de mobilité existent déjà, proposant chacune une recollection d'informations censée nous guider efficacement à travers les labyrinthes de la multi-modalité (souvent limitée aux transports en commun et aux trains). Mais l'interopérabilité des systèmes de navigation ad-hoc proposés par la multitude des acteurs du transport est rarement opérante, ce qui vient s'ajouter à un déficit alarmant de collaboration. On trouve un exemple de se que pourraient devenir des services d'orientations intelligents et collaboratifs avec le site "oise-mobilité".