Le succès
du web social dépasse la sphère privée et touche aussi le monde économique dans l'actualité devrait ainsi voir l'exposition des réseaux sociaux. C'est dans ce web social que se fabrique aujourd'hui l'influence de l'opinion, spontanément ou de manière organisé. Une opinion atomisée qu'il est illusoire de vouloir influencer avec les vieilles méthodes de la communication et du marketing.
Les réseaux sociaux permettent un accès immédiat à l'information comme un utilisateur de Twitter n'a pas d'obligation, sauf pour leurs propres impressions et de l'humeur, qui si facilement dans la rumeur comme un fait.
Actuellement, la culture du web a eu un grand succès avec la création de «blogs», car il a présenté les faits, les rumeurs, l'analyse des documents, des vues irréalistes et d'opinion et d'information d'une manière claire et simple, c'est pourquoi on trouve actuellement dans la plupart des journaux en ligne. Cela a montré que beaucoup de lecteurs préfèrent la subjectivité et la partialité des blogueurs à
la fausse objectivité et l'impartialité de certains médias qui n'ont pas été sincère et cohérente avec l'information qu'ils présentent. D'autre part cela a rendu les informations plus agile et plus mobile plus rapidement à savoir ce qui se passe dans le monde.
Billet publié dans lequel je jette un regard sur le fait de s'assumer en tant que blogueur possédant une identité dite de pseudonymat vs une identité anonyme en rapport avec la question de responsabilité éditoriale.
Billet en réponse à celui de ma collègue Aurélie Bélanger ayant rédigé "Où s'en va le sens" amorçant une réflexion sur la compétition des médias papiers et numériques vs une éventuelle complémentarité.
Mes deux derniers billets pour l'activité C. L'un sur l'apprentissage des pages "fan" de Facebook et l'autre sur l'utilisation de Facebook par les enfants.