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"Lawrence Lessig, professeur de droit à Harvard, penseur d'Internet et initiateur de la licence Creative commons pense que la segmentation du monde en de multiples communautés cloisonnées sur internet, renforcent la crise de la démocratie"

Le niveau de réalité des fausses nouvelles qui circulent au sein des réseaux sociaux.

Actuellement, la culture du web a eu un grand succès avec la création de «blogs», car il a présenté les faits, les rumeurs, l'analyse des documents, des vues irréalistes et d'opinion et d'information d'une manière claire et simple, c'est pourquoi on trouve actuellement dans la plupart des journaux en ligne. Cela a montré que beaucoup de lecteurs préfèrent la subjectivité et la partialité des blogueurs à la fausse objectivité et l'impartialité de certains médias qui n'ont pas été sincère et cohérente avec l'information qu'ils présentent. D'autre part cela a rendu les informations plus agile et plus mobile plus rapidement à savoir ce qui se passe dans le monde.

Les services basés sur des tags (balises, ou plus précisément ici, descripteurs) censés correspondre à une indexation thématique du contenu ont fleuri sur le web. Fausse bonne idée ou évolution majeure ? Deux services américains, del.icio.us et Flickr ont donné le ton, en permettant aux utilisateurs de "taguer" eux-mêmes le contenu qu'ils proposent ou souhaitent partager en ligne.

Billet 5 de 5 pour autres publications.

La Presse, suite à un article du New York Times qui a mis en autre à jours que Facebook (mais plus précisément Mark Zuckerberg et sa numéro deux Sheryl Sandberg) on fait appel aux services d'une firme de relation publique Definers Public Affairs. Cette firme est accusée d'avoir diffusé de fausses informations concernant les détractèrent de Facebook.

Un bon coup de Twitter dans lequel ils ont supprimé des comptes tentant de faire passer de fausses informations concernant les élections de mi-mandat aux États-Unis.

Idée d'hiérarchisation de l'information. Changement de l'algorithme du fil d'actualités. Remise en question de la pertinence des sources. Implication directe des utilisateurs.

Première utilisation du deepfake dans une publicité de Loto-Québec. Qu'en pensez-vous?

C'est intéressant! En fait, on peut déjà modifier des images, inventer des faits, des citations, et sur les réseaux sociaux beaucoup de gens ne vérifient pas les sources avant de partager... C'est une "avancée" de plus dans la possibilité de créer des fausses nouvelles et d'usurper le discours de quelqu'un mais ce n'est pas non plus complètement nouveau.

Le web, par l'immense force des médias sociaux, « vit une crise de désinformation sans précédent » avec l'épidémie du coronavirus en provenance de Chine. Pour certains, comme la bière corona, on en fait une campagne de publicité planétaire à peu de frais. Pour d'autres, ont tombe dans la désinformation absurde, voire dangereuse. Facebook, Twitter et Google prennent les grands moyens.

Mesures annoncées depuis près d'un an, elles commencent à se concrétiser. La lutte contre les fausses nouvelles est à l'ordre du jour pour Facebook et Google.

Erreur du lien URL

Le lien URL ne mène pas directement à l'article traitant de l'école de Francfort.

"Que font les géants du web contre la désinformation"

Les fausses nouvelles ou les "fake news" sur internet sont source de préoccupation pour tous. Les résultats de recherche d'une étude du MIT démontre que le travail de vérificateurs de faits des médias traditionnel peut évoluer vers une méthode pratiquement aussi efficace: les jugements de précision provenant de groupes de lecteurs normaux.