Le web social fait en sorte que souvent, la honte générée suite à un acte répréhensible dépasse grandement la gravité du geste. Un cas québecois récent, Joel Legendre.
La police britannique combat le feu par le feu - si l'on peut s'exprimer ainsi - en publiant dans les médias sociaux les noms et adresses des personnes trouvées coupables d'avoir participé aux émeutes organisées justement à travers les médias sociaux. Article sur Mashable par Jennifer Van Grove.
"So the next time you're attacking someone on Twitter for their sadistic worldview, go after the meat of their argument, not their sporadic capitalization. Use your 280 characters wisely. "