Le président américain n'a pas le droit de bloquer ses opposants sur Twitter juste parce qu'ils ne seraient pas d'accord avec lui. C'est ce qu'a assuré une cour d'appel composée de trois juges mardi 9 juillet.
Mine de rien, cette nouvelle est importante car elle oppose les pratiques totalitaristes du président en poste au fondement même du pays, soit le premier amendement de la Constitution.
Le texte présenté représente très bien la réalité des médias sociaux. «Les réseaux sociaux sont formidables pour la démocratie par bien des aspects, mais mauvais sur d'autres», écrit l'universitaire, pour lequel «ils demeurent un objet inachevé».
De plus, il y a une guerre de pouvoir entre les médias traditionnels et les médias libres et dits "gratuits" en plus de l'influence possible sur les perceptions. Le mot éthique peut être utilisé à outrance pour justifier un point de vue.
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