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peir ric

Les Big Data et l'avenir de la santé | Le blog de Vincent Fromentin - 1 views

  • Une mine d’informations sensibles au-delà des domaines classiques d’investigation, tirée du comportement des individus dans leur vie de tous les jours (living labs). Le but est de réussir à trouver une réponse, plus globale, plus innovante, pour mieux comprendre cette maladie.
  • La taxonomie usuelle doit distinguer les données open-source (Open Data Commons), les données relevant de la vie privée et personnelle (Personal and Proprietary Data) et les données confidentielles relevant de l’État (Government Secret Data).
  • Dans un tel système, « chaque donnée personnelle dispose d’un label spécifiant ce qu’il est possible ou non de faire avec ». Le modèle le plus connu de nos jours est le réseau SWIFT qui garantit la confidentialité des échanges monétaires entre les banques. Il a inspiré des réseaux open-source, comme Open mHealth ou OpenPDS, garantissant la sécurité des données partagées par les chercheurs.
  • ...1 more annotation...
  • Pour cela, le cursus médical devrait intégrer davantage l’étude des méta-données et favoriser les échanges inter-disciplinaires sur le sujet.
peir ric

Données personnelles : Google joue-t-il dangereusement avec sa réputation ? | Le blog du Communicant - 2 views

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    " Les enjeux commerciaux sont en effet colossaux. Rien qu'en Europe, une étude américain estimait en 2012 que les données personnelles des Européens pesaient l'équivalent de 315 milliards de dollars (6)"
peir ric

Masculinités, colonialité et néolibéralisme. Entretien avec Raewyn Connell | Contretemps - 0 views

  • J’ai toujours été très réticente vis-à-vis des théories fonctionnalistes et des théories de la reproduction sociale, qu’elles émanent de la droite comme de la gauche, et qu’elles concernent la classe ou le genre.
  • Lorsque ces théories sont le fait d’intellectuels conservateurs (comme Parsons ou Easton), elles deviennent partie prenante de l’ordre hégémonique. Et même lorsqu’elles émanent de penseurs plus progressistes (comme Althusser, Bourdieu ou Poulantzas), ces théories tendent à inhiber, plutôt qu’à augmenter, la capacité d’agir militante.
  • L’ironie du sort est que je me rends désormais compte que ce modèle initial partage en réalité beaucoup avec les systèmes théoriques clos que je m’efforçais par ailleurs de dépasser !
  • ...29 more annotations...
  • D’abord parce que les ordres du genre pré-coloniaux ne sont eux-mêmes pas statiques.
  • la colonisation détruit les structures sociales locales et les dynamiques qui leurs sont propres.
  • Par la suite, le colonialisme reconstruit – ou s’efforce de reconstruire – un ordre du genre reposant sur de nouvelles bases ; mais ce qui en résulte est une société aux tensions exacerbées et à la violence endémique.
  • Par rapport au modèle initial, je conçois aujourd’hui l’hégémonie comme une tentative de réalisation du pouvoir [achievement of power] davantage pétrie de contradictions, historiquement transitoire et plus directement liée à la violence.
  • Les masculinity studies sont avant tout un projet de production de connaissances : enquêter, théoriser, publier, diffuser.
  • Un corpus de connaissances solides et accessibles sur les enjeux relatifs aux masculinités est en soi une ressource sociale.
  • Une contribution importante des masculinity studies peut ici tout simplement consister en l’apport de la preuve – désormais très bien documentée – que les masculinités sont diverses et historiquement changeantes.
  • Il y a des niveaux de profit très différents et certains groupes d’hommes payent en réalité un prix fort (en pauvreté, en violence, en dépression) pour le maintien de l’ordre du genre en vigueur.
  • Je crois que mes recherches sur les masculinités, les rapports de classe et la colonialité du savoir partagent un même engagement critique envers le pouvoir, les inégalités sociales, l’institutionnalisation des privilèges et la justice sociale dans son sens le plus large.
  • l’entretien biographique et l’analyse par étude de cas sont les outils que j’ai le plus mobilisés.
  • Cette méthode force également les chercheur•e•s à interagir avec des personnes en chair et en os, que les routines scientifiques tendent à abstraire à travers leur lexique : « sujet », « acteur », « agent ».
  • Dans Southern Theory, vous proposez un récit alternatif de la production du savoir en sciences sociales.
  • En un mot, ce que nous entendons par gender theory est en fait une théorisation des rapports de genre issue de la métropole globale, c’est-à-dire de l’Europe et l’Amérique du Nord.
  • Il s’agit d’un modèle général, qui s’applique aux études de genre.
  • La production du savoir dans la périphérie est alors fortement subordonnée aux concepts, théories, méthodologies et paradigmes de la métropole.
  • Ces pays ont construit une économie globale du savoir dans laquelle la métropole est le lieu de la théorie et la périphérie (où vit la grande majorité de la population mondiale) est le lieu de la collecte des données.
  • Les sociétés colonisées se sont toutefois attachées à penser la colonisation indépendamment des colons.
  • Les sociétés de la périphérie continuent de produire un travail intellectuel à rebours de cette économie dominante du savoir.
  • C’est ce que j’appelle « la théorie du Sud » [southern theory], qui n’est pas un « savoir indigène » statique, mais une réponse intellectuelle à l’expérience sociale de la colonisation et aux sociétés postcoloniales d’aujourd’hui.
  • La production du savoir est un processus social – un processus social globalisé.
  • Cette production mobilise une force de travail différenciée qui, envisagée à l’échelle globale, représente une formation sociale importante.
  • Cette production requière des ressources sociales, elle a des conséquences complexes et elle est historiquement changeante.
  • Il est d’abord fondamental de reconnaître les positions différenciées des divers groupes impliqués dans ce qui est apparemment un champ académique unifié, en l’occurrence les masculinity studies. Quel type de travail obtient les ressources? Quel type de travail manque de ressources ?
  • Envisager les chercheur•e•s comme des travailleurs/euses revient à placer la focale sur les rapports concrets qu’ils et elles entretiennent les un•e•s avec les autres,
  • Cela place également la focale sur les formes de gouvernementalité et de contrôle qui en viennent à régir ce champ scientifique – à l’instar du tournant managérial dans la gestion des universités, de la part croissante des fonds privés dans le financement de la recherche, ou de la prédominance des ONG et des programmes d’aide dans le financement de la recherche sociale dans les pays pauvres.
  • Le modèle de l’ « acteur rationnel », autour duquel la théorie économique néolibérale s’est construite, est une figure masculine.
  • La marchandisation des sports de compétition masculins, de la Formule 1 à la Coupe du Monde de football, constitue un laboratoire fascinant pour l’étude du néolibéralisme et des dynamiques de masculinité.
  • La globalisation néolibérale produit de nouvelles institutions et de nouveaux espaces sociaux qui s’étendent à l’échelle globale – notamment à travers le world wide web,
  • La recherche sur les masculinités n’est bien sûr pas la seule clé de compréhension de l’ordre néolibéral mondial.
peir ric

Internet: les jeunes savent se protéger, mais moins se maîtriser - LExpress.fr - 2 views

  • "L'enjeu semble être désormais le mauvais usage que les jeunes font d'internet", assure l'expert, qui participe mardi à un colloque de l'Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice (INHESJ) sur les relations entre les jeunes et internet.
  • Paradoxalement, les jeunes sont plus sensibilisés que la moyenne de la population sur la nécessité de se protéger.
  • "On néglige souvent le côte auteur de délits pour les mineurs sur internet", souligne Pierre-Yves Lebeau, chef de projet à l'Office Central de Lutte contre la Criminalité liée aux Technologies de l'Information (OCLCTIC).
  • ...1 more annotation...
  • "Il y a effectivement des risques comme le cyber-harcèlement ou la +cyber-vengeance+, qui recoupe un sentiment d'impunité plus large dans notre société", corrobore M. Padova.
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    Les risques encourus par les jeunes sont plus dans la rue que sur mes réseaux sociaux. Le danger aujourd'hui provient du sentiment d'impunité
Julien PIERRE

Exploiter son portfolio numérique : construire son identité professionnelle numérique pour valoriser ses competences / The use of a personal digital portfolio: how to build its own professional digital identity and enhance its competences | Gauthier | Can - 2 views

  • Master 2 en Ressources Humaines, à l’Institut de Psychologie et de Sociologie Appliquées de l’Université Catholique de l’Ouest, à Angers
  • Ces études s'intéressent a) à la validation du processus d’analyse et de reconnaissance de la compétence (Gauthier, Raveleau & Thebault, 2006); b) à l’état de l’art des usages du portfolio réflexif (Gauthier, 2008a); c) à l’exploration du concept d’identité professionnelle numérique au service de l’employabilité (Gauthier, 2008b); d) à l’étude des motifs de persistance à la publication du portfolio numérique par les étudiants (Gauthier & Jézégou, 2008); e) aux effets du processus de construction et publication du portfolio numérique sur le sentiment de compétence des étudiants (Gauthier, 2008c); f) aux représentations, aux attentes et usages des portfolios numériques publiés en ligne, par les managers, recruteurs ou directeurs des ressources humaines (Gauthier & Cohard, 2008).
  • « Un ePortfolio est une collection d’informations numériques décrivant et illustrant l’apprentissage ou la carrière d’une personne, son expérience et ses réussites. Un ePortfolio est un espace privé et son propriétaire a le contrôle complet de qui y a accès, comment et quand. Le contenu des ePortfolio et les services associés peuvent être partagés avec d’autres pour : - accompagner les validations des acquis de l’expérience; - compléter ou remplacer des examens; - réfléchir sur son apprentissage ou sa carrière; - accompagner le développement professionnel continu, la planification de l’apprentissage ou la recherche de travail. » (Cloutier, Fortier & Slade, 2006, p. 11)
  • ...4 more annotations...
  • « a) être informé : entretenir son propre réseau d’information, ses indicateurs; b) développer son savoir faire, renforcer sans cesse ses compétences; c) savoir faire valoir : adopter une stratégie d’image personnelle, développer sa propre communication» (pp.113-121).
  • Cette acception du portfolio intègre les trois dimensions : a) capitalistes (Conservation des traces de sa valeur ajoutée professionnelle), b) existentielle (approche identitaire), et c) formative (formalisation de ses compétences) des usages du portfolio réflexif (Layec, 2006).
  • dans la perspective des apprentissages formels (dans des dispositifs éducatifs officiels), non formels (à l’inverse, en dehors des systèmes éducatifs), informels (sans reconnaissance explicite) et au travers de la vie (transversalement à toutes ses activités)
  • En nous appuyant notamment sur Heyraud-Lemaître (2002), nous pouvons mettre en évidence plusieurs “niveaux de contrôle réflexif” qui seront mis en jeu dans un processus d’élaboration de portfolio, notamment : la pratique réflexive à posteriori, avec l’acte réfléchissant (une réflexion sur l’action, prise de conscience postérieure à l’action) l’apprentissage réflexif, hypothèse qu’un sujet apprenant s’auto formant est à la fois sujet et objet de la situation d’apprentissage l’apprentissage biographique (Alheit & Dausien, 2005), dont le quatrième pilier s’intéresse en particulier à la «biographicité des expériences sociales, capacité à développer ses capacités de communication, de relations sociales, […] et à faire de la formation un lieu de gestion individuelle de l’identité mais aussi de processus collectifs et de rapports sociaux » (p. 77)
peir ric

Une étude met en lumière la confusion des utilisateurs de Facebook | ReadWriteWeb France - 0 views

  • Consumer Reports, connu pour le sérieux de ses écrits, vient de sor­tir son rap­port annuel sur l’internet qui met en lumière le fait que plus de la moi­tié (52%) des uti­li­sa­teurs de réseaux sociaux y publient des infor­ma­tions sus­cep­tibles de mettre en dan­ger leur vie privée.
  • Pour ne rien arran­ger, le réglage par défaut sur presque tous les réseaux sociaux est de par­ta­ger ses infor­ma­tions avec tout le monde.
  • Le rap­port sug­gère, par exemple, que publier la photo de vos enfants, en tant que tel, est une conduite à risque. C’est pour­tant ce à quoi servent les réseaux sociaux pour bon nombre d’utilisateurs.
  • ...5 more annotations...
  • Avec les réseaux sociaux, et avec Facebook en par­ti­cu­lier, les réglages de confi­den­tia­lité sont géné­ra­le­ment obs­curs et peu com­pré­hen­sibles, du coup, ils sont sou­vent négli­gés par la majo­rité des utilisateurs.
  • Pour contrer ces dan­gers, Consumer Reports pré­co­nise d’éviter sept conduites jugées à risque sur Facebook : uti­li­ser un mot de passe trop simple affi­cher sa date de nais­sance complète négli­ger de régler ses para­mètres de confidentialité affi­cher le nom de ses enfants men­tion­ner le fait de s’absenter de son domicile per­mettre à un moteur de recherche de vous trouver lais­ser les plus jeunes uti­li­ser Facebook sans la super­vi­sion d’un adulte
  • Les chan­ge­ments opé­rés à la fin de l’année der­nière ont changé de façon radi­cale son mode opé­ra­toire, au point d’attirer l’attention des séna­teurs amé­ri­cains qui planchent aujourd’hui sur une légis­la­tion concer­nant la vie pri­vée.
  • Un autre chiffre issu de ce rap­port sou­ligne à quel point les uti­li­sa­teurs de Facebook ne com­prennent pas la façon dont ce der­nier gère les don­nées pri­vées : 73% des adultes uti­li­sant Facebook affirment le faire pour par­ta­ger des conte­nus avec leurs amis, mais seuls 42% disent avoir réglé leurs para­mètres de confidentialité.
  • En décembre, Facebook a fait des chan­ge­ment radi­caux dans le réglage par défaut de la confi­den­tia­lité de ses uti­li­sa­teurs, deman­dant à ses uti­li­sa­teurs d’accepter ses nou­velles règles ou d’éditer des réglages assez obs­curs afin de les adap­ter à leurs besoins.
peir ric

Du e-portfolio à l'analyse du produit et du processus de conception du projet personnel de l'étudiant - Revue internationale des technologies en pédagogie universitaire - 1 views

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    "L'étude vise à évaluer l'effet de la conception d'un e-portfolio par des étudiants sur la méthode de construction de leur projet professionnel personnalisé. Le e-portfolio doit permettre à l'étudiant, guidé par un processus de conception -soutenu par une réflexion ergonomique- de développer de manière autonome son projet. Une étude a été menée sur une période de deux années auprès d'un public d'étudiants en institut universitaire de technologie, spécialisation informatique. Les résultats montrent que le scénario proposé permet de supporter non seulement la construction du projet de l'étudiant, mais favorise aussi la construction de son identité numérique et la mise en place d'un environnement personnel d'apprentissage."
Julien PIERRE

Les caméras de surveillance vivement dénoncées, Politique - Information NouvelObs.com - 0 views

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    Projet de multiplication du nombre de caméras de vidéosurveillance. Sans étude sur l'efficacité de leur déploiement, ni authentification des chiffres existants
Julien PIERRE

[Vivagora] Vers une vidéosurveillance à la française - 0 views

  • « Le résultat est un fiasco total. Elles ont proliféré dans les espaces publics londoniens sans qu’aucune réflexion n’ait été menée sur la façon dont les images pourraient être utilisées par la police et la justice ». Des études montrent que la vidéosurveillance n’entraîne pas une baisse notable de la délinquance. De plus, elle ne contribue pas significativement à améliorer la résolution des crimes.
  • 71 % des personnes interrogées sont favorables à la présence de caméras dans les lieux publics.
  • 80 % des sondés considèrent « important le contrôle de ces dispositifs par un organisme indépendant pour garantir le respect du droit à la vie privée »
  • ...4 more annotations...
  • a nécessité de former, professionnaliser et responsabiliser les opérateurs. Ils envisagent donc de mettre en place une habilitation spécifique pour visionner ces images et recommandent que la vidéosurveillance sur la voie publique ne puisse être déléguée à des prestataires privés, afin d’éviter la consultation des images par des personnes non autorisées.
  • vivre sous l’œil de caméras de surveillance est-il un choix de société véritablement souhaité et souhaitable ?
  • ubstituer au mot inquisiteur de « vidéosurveillance », celui beaucoup plus rassurant de « vidéo protection »
  • d’un Big Brother inquiétant à une Big Mamma rationnelle et protectrice
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