Le vrai risque politique
actuel, ce sont les fichiers mis en place par l'État et les administrations,
leur interconnexion, les types de données - notamment biométriques - qui y sont
intégrés, le refus du droit à l'oubli, l'inscription de données concernant les
jeunes, à des âges de plus en plus précoces, et surtout l'usage qui en est fait
à des fins prédictives des comportements.