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Christophe Duret

Activité C - Un oeil sur les médias: Communauté et réalité virtuelle: le méla... - 0 views

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    La définition de communauté, de communauté d'intérêt et de réalité virtuelle dans le cadre de la communauté goréenne de Second Life.
peir ric

L'identitÉ numÉrique : de la citÉ À l'Écran. Quelques aspects de la reprÉsent... - 3 views

  • t, le net introduit quelques variables nouvelles à ce bavardage
  • plaçant le sujet parlant en situation de puissance inédite en autorisant les interactions au niveau mondial, sous forme synchrone ou asynchrone, et surtout en exposant médiatiquement aux yeux de tous les internautes le produit de ses échanges.
  • L’épouillage mutuel, ou grooming, représente en effet une activité essentielle du groupe à laquelle l’individu consacre une bonne partie de son temps et pour cause : il participe notamment au maintien de la hiérarchie et évite les conflits entre les membres, à travers un principe régulateur qui tient de "l’économie de service"
  • ...18 more annotations...
  • L’auteur fait l’hypothèse que le bavardage aurait permis à l’homme de gagner du temps en s’adonnant à d’autres activités simultanément, tout en pratiquant ces indispensables échanges sociaux.
  • le nombre de participants, et l’exposition médiatique décuplant le pouvoir du bavardage (pour un aperçu, voir Donald, 2007) ; la possibilité de clavarder avec de nombreux participants indépendamment et simultanément, en ouvrant plusieurs fenêtres de chat par exemple ; le décalage dans l’espace (à l’échelle planétaire) et dans le temps : même en cas d’interaction synchrone, les décalages horaires induisent que les interactants ne partagent pas une même référence temporelle, quand bien même ils sont connectés au "même moment".
  • Les communautés ainsi créées sur le web ont en commun de se retrouver sur des univers indépendants les uns des autres (jeux, actualité, loisirs, sphère professionnelle… déclinés en communautés d’opinions) où "chaque internaute a le sentiment d’être le point central autour duquel le reste évolue. C’est l’individualisme de réseau [qui] devient une forme de sociabilité sur Internet, et ceci n’est pas sans conséquences sur la vie concrète, réelle des individus."
  • Ces communautés localisées dans ces espaces identifiés et identifiants reposent, comme cela est le cas dans le monde réel, sur des praxis et des comportements langagiers à valeurs lectales.
  • (Dunbar estime qu’ils représentent les deux tiers de nos conversations)
  • e temps suspend son vol, mais jamais ne l’arrête. Madeleine Pastinelli (op. cité), qui a étudié de très près le comportement d’un chat québécois (le canal #amitie25-qc), souligne comment cet espace doit être occupé en permanence, quitte à parler même lorsque l’on a plus rien à dire, en guise de processus compensatoire de l’absence de coprésence physique.
  • Concrètement, sur le net et chez les observateurs, nous retrouvons cette figure du sujet : l’internaute n’a d’existence dans la communauté qu’en fonction de son activité, d’abord évaluée quantitativement (nombre de "posts", d’ "amis"…), en une "identité calculée" pour reprendre la terminologie de Fanny Georges (2009).
  • L’existence numérique est ainsi déterminée par l’exigence de la publicité de soi, qui suppose le partage d’un cadre de référence et d’un code commun de communication.
  • Patrick Chardenet (2004, p. 71)
  • L’auteur souligne ainsi que les différentes thématiques abordées dans les échanges s’effacent généralement derrière le travail de la relation. Ce travail relationnel explique également le recours à la citation des autres internautes, amplifié par le dispositif technologique qui permet de reproduire à l’identique tout ou partie d’un message.
  • La dimension interactionnelle semble donc être au cœur du dispositif avec quelques différences marquées entre bavardage et clavardage, dont la non moindre est l’absence de rencontre des corps.
  • Si les dynamiques de la communication en distance rapprochée sont ici largement amputées (odeur, contact épidermique…), celle-ci semble bien créer les conditions d’une communication proche, favorisant les registres intimistes tels qu’on peut les retrouver sur beaucoup de forums et sites (cela reste bien sûr une hypothèse).
  • la construction de l’autre dans l’espace du média est extrêmement générale et anonyme. En même temps, cet autre fait partie du quotidien : on converse tous les jours avec lui et l’on passe ensemble des heures sur le réseau. Avec les médias électroniques, il devient possible de vivre dans un monde à la fois d’abstraction et de proximité" (p. 212).
  • S’il n’est pas question de circonscrire en quelques lignes une définition de l’identité, nous pouvons toutefois rappeler sa triple dimension :
  • dimension personnelle, subjective, d’abord, résultant d’une construction visant un "effet" d’unité dans la complexe hétérogénéité de la personnalité, permettant l’identification à/de soi dans la permanence.
  • dimension interpersonnelle, ensuite, c’est-à-dire co-construite dans la relation à autrui,
  • dimension sociale, enfin, en référence aux statuts et rôles préparés dans la société.
  • Dans les lignes qui suivent, nous considérons l’identité comme le résultat de l’intime interaction de ces trois dimensions. Mais ce résultat n’est pas homogène : il dépend, par exemple, du contexte.
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    Dans l'espace virtuel du web social, les dynamiques subjectives se travaillent entre identité civile et identité numérique. Cet article, après avoir explicité les grandes caractéristiques de l'interaction dans le web social, s'attache à présenter ces deux bornes du continuum identitaire sur le net. Ce cadre posé, l'auteur s'attache au personnage-écran, une forme extrême de la subjectivité numérique, construite entre liberté et contrainte du système.
Julien PIERRE

affordance.info: Concentration d'identité - 0 views

  • Google choisit l'option centrifuge en ciblant d'abord LA communauté d'utilisateurs de SES services, puis, via ses divers rachats, en incitant les utilisateurs des services rachetés à rejoindre la communauté originelle. Yahoo! choisit de son côté l'option centripète en maintenant l'identité des services achetés et leurs commnautés en l'état, tout en construisant un puzzle dans lequel chaque pièce, chaque service est non pas "assimilé" ou "refondu" mais traité à égalité avec les autres, dont le service hôte (Yahoo! donc). On a donc pour Google, une stratégie de vortex communautaire (je prends mon audience et je la déplace sur les services rachetés et réciproquement), et pour Yahoo! une stratégie portail (j'agrége des communautés en préservant les spécificités de chacune). L'avenir dira laquelle de ces stratégies est la bonne.
  • "L'identité est à double jeu, à la fois pour soi mais aussi pour les yeux des autres qui "identifient"
  • la communauté prime sur l'individu,
  • ...3 more annotations...
  • cette identité est "administrable", "sur fiche", centralisable, géolocalisable,
  • La gestion des identités numériques et de leurs "pseudonymats"
  • sera peut-être la prochaine utopie documentaire, poursuivant celle du Mundaneum, avec cette fois comme objectif la gestion de la collection humaine des individualités numériques
peir ric

La construction de l'identité numérique dans une communauté d'enseignants - 0 views

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    construction de l'identité numérique dans une communauté de pratiques avec affinitiz. A noter que l'auteur ne considère l'identité numérique que dans le rapport au dispositif comme étant le creuset de la construction de cette identité et non dans l'interaction
peir ric

De la communauté à l'écume : quels concepts de sociabilité pour le « web soci... - 1 views

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    à partir des concepts désormais classique de communautés, réseaux et foules, l'auteur vise à faire émerger un nouveau concept d'écume : "la métaphore de l'écume nous aide avant tout à théoriser cet individualisme de masse qui semble tellement marquant de notre temps et à penser la tension entre identité et relation comme locus de la production du social"
peir ric

Technologies de libération et de surveillance - 0 views

  • C'est sur ce schéma -capacité expressive plus capacité connective - que repose l'idée maintenant répandue depuis presque une vingtaine d'années que les technologies numériques sont intrinsèquement libératrices.
  • Face à la vision dite cyberoptimiste d'un forum planétaire incontrôlable où tout finit par se savoir et où la parole circulera forcément, s'oppose la crainte des technologies de contrôle. Celles-ci doivent forcément s'orienter dans deux directions : repérer et interrompre.
  • Le duel activistes contre autorité est donc à l'origine de nouvelles techniques que l'on a déjà baptisé "de libération" : utilisation des TIC pour surmonter l'obstacle d'une censure ou d'un repérage.
  • ...9 more annotations...
  • puis il faut que ce collectif prenne courage, se ressasse ses raisons d'être en colère et envisage de témoigner ou de faire.
  • La dimension de l'organisation et de la représentation ne sont pas moins importantes que celle de la communication pure.
  • Avant la révolte, il faut des communautés où chacun découvre qu'il n'est pas seul et que d'autres pensent comme lui
  • L'idée que "les technologie de libération offrent des possibilités de s'exprimer en dépit de la censure" est d'ailleurs réductrice.
  • Il faut enfin que les réseaux sociaux aident à passer dans la vraie vie et à en finir avec la schizophrénie entre le virtuel (où tout est possible) et le réel (où l'on courbe la tête et où l'on n'ose parler à personne de peur de la police).
  • En d'autres termes la lutte entre technologie de contrôle et de libération porte non seulement sur la capacité de mettre en ligne certains messages (ou d'y accéder) mais aussi sur la structure des réseaux qui encouragent certaines formes de participation et de coordination au sein d'une communauté.
  • Retenons globalement que les technologies de libération sont destinées à contourner une censure et d'échapper à une force de contrôle préexistante (sinon, il s'agirait d'une simple technique d'expression).
  • Et qu'elles visent assez logiquement à rendre des messages incompréhensibles ou intraçables pour une service de police, mais aussi à établir ou rétablir des capacités de connexions entre tous les activistes et à leur permettre d'avoir des échanges intenses (et en termes d'information et au sens psychologique).
  • Assez logiquement les technologies de libération vont prendre plusieurs directions : donner des outils de journalisme au simple citoyen, crypter ou anonymiser des contenus pour que l'État ne puisse pas savoir ce que vous dites et qui vous êtes, rétablir des réseaux secondaires, au cas où l'État voudrait couper les tuyaux.
peir ric

Koukoutsaki - 2 views

  • Ces dernières comptabilisent 975 actions (messages et approbations) engagées par 97 participants sur une période d’environ un mois.
  • le déploiement des discussions (structuration des échanges, actes de langage, référents)
  • l’activité des intervenants (types et intensités d’engagement)
  • ...58 more annotations...
  • Dominique Cardon (2008) propose de cartographier ces outils selon la façon dont les participants se rendent visibles les uns aux autres, entre « être » et « faire », « réel » et « simulation ».
  • Eugenia Siapera (2012, p. 202), les médias sociaux se réfèrent à un ensemble souvent hétérogène de sites qui utilisent la technologie à des fins d’interaction sociale et de génération de contenu émanant des usagers.
  • Selon Danah Boyd et Nicole Ellison (2007), les sites de médias sociaux sont des services web qui permettent aux individus de construire un profil public ou semi-public au sein d’un système délimité, de connecter ce profil avec une liste de profils d’autres usagers, ainsi que de visualiser et naviguer au sein de cette liste et, selon les cas, au sein de ses différentes autres connexions.
  • Thomas Stenger et Alexandre Coutant (2013) élaborent une autre approche pour classifier les médias sociaux. Sur la base d’une analyse dite sociotechnique, fondée sur les fonctionnalités offertes par les plateformes (« affordances ») et sur les pratiques effectives des utilisateurs (« arts de faire »),
  • classification des sites de médias sociaux recourant à deux axes.
  • différenciation suivant la motivation qui sous-tend l’usage : l’amitié versus l’intérêt
  • Le second révèle les différents types de données publiés : le soi (éléments biographiques, préférences, etc.) versus les contenus tiers (vidéos, news, etc.)
  • « communautés virtuelles », à savoir des plateformes organisées autour d’un intérêt précis et dont la logique est celle de la publication de contenus tiers.
  • homophilie
  • individus qui se ressemblent les uns aux autres, en termes de goûts, de convictions, de comportements, etc.
  • des espaces « communautaires » virtuels basés sur ce que la sociométrie appelle « des liens faibles »
  • rassemblements formés en ligne par des personnes qui ne se connaissent pas le plus souvent mais dont la mise en réseau permet une meilleure circulation de contenus (Mercklé, 2004, p. 47-49)
  • L’importance du réseau a également été soulignée par Serge Proulx et Guillaume Latzko-Toth (2000)
  • sa vision essentialiste apportée par Ferdinand Tönnies (1887/1992)
  • l’approche constructiviste liée notamment à la pensée de Benedict Anderson (1983)
  • Pour parler des collectifs en ligne, les auteurs (ibid., p. 117) utilisent plutôt « la métaphore du point d’eau dans le désert » ou l’image du « “point de passage” […], pôle d’attraction précaire où les individus de provenances diverses se “rencontrent” ».
  • La notion de déterritorialisation est davantage relevée par ceux qui travaillent sur les populations diasporiques (Dufoix, 2010 ; Mattelart, 2007)
  • Arjun Appadurai (1996) parle d’ethnoscapes et de « nouveaux patriotismes »
  • Benedict Anderson (1998, p. 58-74) s’interroge sur l’apparition des « nationalismes à distance »
  • l’engagement en ligne « relève plutôt du potentiel que de l’effectif ; même si la technologie fournit les moyens pour son accomplissement, les contenus réels que les gens publient en ligne peuvent ne pas être à la hauteur d’un processus délibératif »
  • « sauf si quelqu’un rentre dans le cyberespace avec un engagement précis en termes de promotion d’une nation, la structure même du web tend subtilement mais de façon systématique d’affaiblir les orientations nationalistes préexistantes » (ibid., p. 167).
  • la question de la double médiation (Jouët, 1993, p. 101, 117) qui est inhérente aux outils informatisés : à la fois technique, dans sa manière à structurer la pratique, mais aussi sociale, en tant que « cadre de référence,
  • Celle-ci mettra en évidence comment un ensemble d’usagers dans un contexte donné détourne la vocation principale d’un dispositif technique, en même temps que ce dernier, dans son sens foucaldien (Foucault, 1977), délimite le périmètre d’action de ceux-ci.
  • L’auteur souligne par exemple que contrairement aux conversations orales, les messages des forums sont archivés, du moins pendant une certaine période.
  • « sans début ni fin
  • Quant au graphisme de l’interface de la plateforme LinkedIn, il crée et impose ses propres règles de communication
  • inachevé
  • impossible, pour un seul locuteur d’avoir une lecture globale des échanges
  • En ce sens, toutes les discussions au sein des groupes LinkedIn n’ont pas la même profondeur et elles ne sont pas construites dans un cadre temporel unifié.
  • L’absence de contexte paralinguistique s’avère un autre point qui distingue les discussions en CMO (communication médiatisée par ordinateur) des conversations de face-à-face.
  • ralentit la spontanéité qui caractérise l’oral, en empêchant par exemple les coupures des phrases entre interlocuteurs ou les interventions parallèles
  • spontanéité d’ordre émotionnel ne se trouve pas complètement évacuée
  • une histoire des échanges plus longue,
  • Comme dans une situation de face-à-face en revanche, une discussion en ligne peut impliquer différents types d’intervenants. Erving Goffman (1987, p. 15) distingue les participants ratifiés des locuteurs non ratifiés « qui ne font qu’entendre, par inadvertance ou non, qu’on les y ait ou non encouragés ».
  • On peut, dans un premier temps, distinguer les locuteurs qui s’engagent dans la plateforme en position initiative ou réactive.
  • les déclarations provoquent [tandis que] les réponses sont provoquées (Goffman, ibid., p. 57)
  • Tableau 1. Types d’intervenants dans les groupes de discussion LinkedIn et degrés d’engagement Types d’intervenants dans les groupes de discussion en ligne Degré d’engagement pris Locuteurs-gestionnaires des messages (rares) Engagement très fort Locuteurs en position initiative Engagement très fort Locuteurs en position réactive Engagement fort Locuteurs exprimant une approbation Engagement moyen Témoins-membres du groupe Engagement faible Témoins-membres de la plateforme (pour les groupes ouverts) Engagement très faible
  • Cela correspond en moyenne à 4 réactions par intervention initiative. Cependant, en dehors des calculs moyens, la réalité est différente : 68 lancements de discussion n’ont pas été développés, tandis que 28 interventions initiatives n’ont été accompagnées que de quelques approbations, ce qui signifie que presque la moitié des interventions initiatives (96 sur 200) est resté sans réponse explicite
  • dernières constituent plutôt des « paroles ouvertes » (Goffman, 1987, p. 68)
  • Graphique 1. Le développement des fils de discussion selon le nombre réponses-commentaires (interventions réactives). En abscisse, les fils de discussion ; en ordonnée, le nombre des réponses-commentaires.
  • Graphique 2. Le développement des fils de discussion selon le nombre d’approbations (« j’aime »). En abscisse, les fils de discussion ; en ordonnée, le nombre des approbations.
  • celle de la transformation des discours, résultat de la recontextualisation de ces derniers et des cadrages d’interprétation éventuellement apportés.
  • « Lors de l’accomplissement d’un acte de discours […], le locuteur exprime en général le contenu propositionnel avec l’intention qu’une correspondance soit établie entre le langage et le monde suivant une certaine direction d’ajustement.
  • la majorité des interventions initiées par les membres du groupe, à savoir 177 sur 200, sont d’ordre déclaratif.
  • ou bien, ce qui est beaucoup plus fréquent, ils publient un lien vers un article de presse, une vidéo, etc. (rediffusion d’un texte déjà existant).
  • À ce titre, il est important de noter la dominance de la rediffusion des contenus en tant qu’activité principale des discutants
  • La curation de contenus relève d’un processus de circulation de l’information qui fait partie de l’acte communicationnel (Charaudeau, 2005, p. 23), si l’on tient compte que, « dans la réalité, nous communiquons le plus souvent en ayant le désir d’informer l’autre » (Sacriste, 2007, p. 33)
  • La curation soulève au moins deux questions : celle du statut de l’auteur/éditeur, en tant que personne qui sélectionne et diffuse l’information médiatique parfois en rajoutant ses propres commentaires
  • Si la « réussite d’un acte de langage » (Trognon, 1993, p. 98) est liée à la suite que les locuteurs donnent à ce dernier, cette répartition inégale fournit un premier élément de réponse à propos de l’usage que font les usagers de la plateforme.
  • elle est nommée « sociale » car elle se distingue, du moins partialement, des processus algorithmiques que mettent en place des info-médiateurs comme Google
  • du travail expressif que font les internautes pour construire leur singularité numérique » (Cardon, 2011).
  • C’est le processus de construction identitaire qui se trouve au centre de cette production collective de sens, à une époque où « l’identité prend en effet la place des autres systèmes d’inscription, d’organisation et de régulation pour servir de support, de balise et de cadre aux échanges dans l’espace et le temps »
  • n le sait, la proportion de contenus véritablement produits par les utilisateurs reste globalement très faible ». Mais qui sont alors ces « curateurs », membres du groupe ? 
  • Il est ainsi à noter que les 200 interventions initiatives qui composent le corpus ont été lancées seulement par 55 participants (pour un groupe qui comptait déjà presque 3000 membres au moment de l’enquête)
  • Graphique 5. Nombre de discussions initiées par participant. En abscisse, les participants ; en ordonnée, le nombre des discussions initiées.
  • l’existence d’un modèle récurrent de participation (pattern of participation) au sein des groupes de discussion en ligne, avec un noyau de quelques membres contribuant à la majorité du contenu proposé, quelques membres périphériques intervenant de façon irrégulière et un grand nombre de « consommateurs passifs » (lurkers) lisant les discussions sans y participer.
  • Graphique 6. L’activité des « lanceurs » de discussions : interventions initiatives, réponses-commentaires, approbations. En abscisse, les participants ; en ordonnée, le nombre des posts par catégorie.
  • Graphique 7. L’activité des « non-laceurs » de discussions : réponses-commentaires, approbations. En abscisse, les participants ; en ordonnée, le nombre des posts par catégorie.
Emmanuel AURAY

Google Plus, la dictature des vrais noms » OWNI, News, Augmented - 1 views

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    Tout le monde parle des"nymwars" [(contraction des termes anglais Anonym et Wars (guerres)], suite à la décision de Google Plus d'appliquer sa politique qui n'autorise que les comptes utilisant le "vrai nom" de leurs utilisateurs. Au départ, Google Plus a été pris d'une frénésie de suppression, éliminant les comptes qui enfreignaient la règle. Quand la communauté a fait part de son indignation, les dirigeants de Google Plus ont essayé d'apaiser leur colère en détaillant leur "nouveau" mécanisme "amélioré" pour appliquer la règle des "vrais noms" (en évitant de supprimer des comptes). Cela n'a fait qu'intensifier la discussion autour de la valeur du pseudonymat.
Julien PIERRE

affordance.info: La communauté n'est pas la somme de ses identités - 0 views

  • Identity is established by robust resilience and if we understand identity from the perspective of a complex adaptive system then interdependence becomes more important than autonomy
  • In effect in any system the atomised individual has multiple identities which act as attractors
  • Le communautés sont donc davantage des conglomérats identitaires changeants et imprédictibles dans leurs mouvements comme dans leur devenir, que de "simples" agrégations d'individus ou d'individualités
Julien PIERRE

L'identité du blogueur disparaît avec la professionnalisation des blogs - 0 views

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    BLOGUEUR>Vanina Delobelle s'interroge sur la disparition du Moi dans les blogs professionnels, avec pour preuve la faible communauté qui participe à ce genre de sites.
Julien PIERRE

Les sites de réseaux sociaux scrutent certains profils - lesoir.be - 0 views

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    E-REPUTATION>Quand un crime a lieu, on a des suspects et des victimes. Quand ceux-ci appartiennent à des réseaux sociaux, certains mebres de la communauté se lâchent dans les insultes (et la présomption d'innocence) alors que pleuvent les photos souvenirs
Christophe Duret

Activité C - Un oeil sur les médias: L'invention du quotidien 2.0: quelques p... - 0 views

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    Le web participatif à la lumière des théories de Michel de Certeau et quelques pratiques de la culture de participation: machinimas, fanfilms et fanfiction.
peir ric

Du référencement au profilage. Bienvenue en 2.010 ! - Informer autrement - 1 views

  • Comment Google exploitera les choix des internautes pour constituer des profils applicables à ses nouvelles recherches et l’affichage de publicités ciblées, rien ne le dit mais c’est inévitable. Le profilage de l’internaute n’est plus une tendance mais une réalité.
  • Google a prévu notamment de reprendre l’historique de l’internaute sur les 180 jours précédents.
  • Pour un site, la seule façon d’être sûr d’apparaître en bonne place sera donc d’acheter des liens sponsorisés à Google. Une opération qui va augmenter de façon considérable les gains du célèbre moteur.
  • ...3 more annotations...
  • Matthieu Tranvan signale dans un billet récent que cela risque de mettre en avant toujours les mêmes sites et de laisser peu de place aux nouveaux.
  • Etre présent sur Internet impliquera de plus en plus de développer des blogs évènementiels, de rendre son actualité disponible par flux RSS, d’être présent sur les réseaux sociaux, d’animer sa « communauté ».
  • Le référencement d’outils en temps réel comme Twitter ou Facebook par Google ou Bing (Microsoft) va contraindre tous ceux qui veulent exister sur Internet à faire de l’actualité en temps réel, à diffuser de l’information pratique, à venir en aide à leurs utilisateurs et à abandonner les poncifs de la communication traditionnelle.
peir ric

Faculté de Droit Virtuelle de Lyon 3 : le plus grand campus juridique numériq... - 0 views

  • Donner l'impression que le e-learning, c'est l'utilisation de mille outils à la fois, la création de cours gigantesques bourrés de multimédia, est une erreur grave qui empêche les gens de se lancer. Il faut leur montrer qu'on peut faire très petit, et augmenter progressivement son investissement si on le souhaite.
  • actuellement en demande d'outils leur permettant de créer des groupes, des communautés, comme les pages Facebook. Et ils apprécient le contact avec leurs enseignants.
  • La communication en ligne s'avère finalement plus personnelle.
Julien PIERRE

NIETZSCHE / Fragments posthumes (la volonté de puissance IV) - Les devenirs d... - 1 views

  • Nationalisme : « Grâce à la liberté des communications, des groupes d'hommes de même nature pourront se réunir et fonder des communautés. Les nations seront dépassées. » XIII-883 - VP°IV,76
peir ric

Identité et mémoire : la réputation des internautes sur le Web | Figoblog - 0 views

  • acteur
  • enjeux liés à la mémoire individuelle
    • peir ric
       
      à mettre en lien avec mes billets sur l'histoire d'internet et l'identité numérique
    • peir ric
  • l’internaute crée ou met en ligne des contenus qui autrefois restaient dans sa sphère personnelle
  • ...10 more annotations...
  • alors que les contenus les plus institutionnalisés ou travaillés reposent sur un investissement technologique de leur créateur
  • dimension paradoxale de la permanence des contenus
  • Facebook confirme un usage des technologies en ligne destiné à renforcer des liens existants, des communautés déjà soudées
  • et donc tendent à disparaître lorsque celui-ci s’en désintéresse
  • es contenus générés par les utilisateurs et hébergés sur les plateformes 2.0 ont une permanence forte
  • C’est ainsi qu’apparaissent sur le Web 2.0 des « friches »
  • D’innombrables données sont stockées, parfois à l’insu de leurs producteurs, par des sociétés commerciales, constituant un réseau d’informations personnelles sur lesquelles repose la réputation des individus.
  • recoupement de ces informations
  • En réalité, si les internautes consentent à fournir une quantité croissante d’information personnelle sur les sites du Web 2.0, c’est parce que cette information, de plus en plus, est maîtrisée.
  • construire une image de soi
Julien PIERRE

Austin, Babel Web: Réseaux sociaux: public, privé, ou entre les deux ? - 0 views

  • C'est le cas des adolescents qui craignent avant tout que leurs parents suivent de trop près leur vie sur le Net et ne se soucient guère des entreprises, de l'Etat ou de "mauvaises rencontres" issues de sphères lointaines et inconnues,
  • Judith Donath, du MIT, a replacé le débat en le situant au croisement de deux évolutions. La première est le passage du village ou de communautés dans lesquelles il n'existait quasiment aucun espace privé, à une vie urbaine où chacun peut réinventer sa vie et la construire avec des profils différents. La deuxième évolution est le fait que, pour la première fois dans l'histoire de l'humanité, tout est ou peut être enregistré, ce qui rend très difficile le maintien de l'étanchéité entre les différentes faces de son existence.
  • la diversité des comportements, des goûts et des style de vie tels qu'ils apparaissent grâce au Web relationnel est si large quelle conduira nos sociétés à un niveau de tolérance et d'ouverture très élevé.
  • ...5 more annotations...
  • Par extension, il faut pouvoir respecter ces différences de contexte quand on a accès à des contenus diffusés sur Internet.
  • se demandant si on retrouvait la même inégalité dans la micro-célébrité qui existe sur le Web où des millions de personnes acquièrent une notoriété grâce à leur blog ou leurs activités sur Facebook ou Twitter.
  • La "micro-célébrité"
  • éthique du comportement
  • se mettre en lumière est aussi se mettre en péril !
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