Il estime que le bouton ne respecte pas le droit allemand et communautaire sur la protection de la vie privée, puisqu'il permet de contrôler y compris l'activité d'internautes qui ne sont pas membres de Facebook.
"Facebook peut tracer tous les clics sur un site web, voir combien de temps je suis dessus, ce qui m'intéresse", explique-t-il. Et transmettre ces données aux Etats-Unis, sans l'autorisation des internautes concernés.
Aka-aki est un réseau social (allemand) utilisant la géolocalisation des téléphones mobiles : cela permet d'identifier les membres du réseau qui pénètrent une zone de proximité, avec possibilité de sollicitations des (joli-e-s) inconnu-e-s.
La CNIL locale a été incapable de jauger le respect de la confidentialité de l'outil, jugé trop nouveau.