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Diocèses Nîmes Invitation - Vivre ses vacances au service des malades CS - Vu le 27/06/2012

"Les équipes de "Marthe et Marie" de Jeunes Cathocambrai souhaitent apporter un message à tous les malades et hospitaliers qui devaient venir à Lourdes pour le pèlerinage diocésain 2020."

"Salutations du pape aux jeunes, aux malades et aux jeunes mariés."

"Une étude publiée ce mercredi affirme que 54,1 % des étudiants en 2015 ont "plutôt tendance à attendre que les choses passent" lorsqu'ils tombent malades."

"Étudiants en école de commerce, ils préparent une année de voyage à la rencontre des exclus. Quentin, Jean et Geoffroy, de 22 à 23 ans. L'an prochain, ces trois étudiants en école de commerce à Paris se verraient bien crapahuter loin, très loin de leur campus. Leur projet ? Partir autour du monde à la rencontre des « périphéries existentielles » chères au pape François. Personnes handicapées, malades, délinquantes, prostituées… À la rencontre aussi de ceux qui les servent, loin des projecteurs, au nom du Christ. « Ce que l'Église a toujours fait », note Quentin. Dans un deux-pièces du quartier parisien de Belleville, Jean et lui expliquent comment ils en sont arrivés là."

"À Lourdes, le Pèlerinage national rassemble, du 11 au 16 août, 10 000 pèlerins et 800 personnes malades et handicapées. Louis-Henry Despaigne, 26 ans, hospitalier, s'y rend pour la dixième fois ! "

L'enquête menée par l'Observatoire national de la vie étudiante sur le ressenti des étudiant·e·s pendant la période de confinement montre que la crise sanitaire a eu d'importants effets sur leurs conditions de vie : nombreux sont celles et ceux - notamment parmi les plus jeunes - ayant fait le choix de rejoindre leur famille, bénéficiant ainsi, pour une majorité, d'aides plus nombreuses et de conditions de logement dans l'ensemble plus favorables. Ce retour à une forme de cohabitation contrainte par les évènements n'a toutefois pas empêché pour certain·e·s l'existence de conflits ou encore la nécessité de s'occuper d'un proche malade, autant d'éléments qui ont pu perturber le suivi des études. Les signes de détresse psychologiques ont été dans l'ensemble plus nombreux dans la population étudiante pendant cette période de confinement, de même que la consommation d'alcool ou le renoncement aux soins. La formation à distance, mise en place dans la plupart des établissements, a permis de révéler de nouvelles inégalités au sein de la population étudiante : avec le développement des cours en mode distanciel, disposer d'un ordinateur personnel, d'une bonne connexion internet ou encore d'un environnement calme, sont devenus particulièrement essentiels pour la réussite de chacun·e. Les étudiant·e·s étranger·e·s, par l'éloignement de leur famille et leurs conditions de vie et de travail plus précaires, apparaissent ainsi comme les grand·e·s perdant·e·s de la crise sanitaire. La perte ou la diminution de l'activité salariée, l'annulation ou le report des stages ou encore l'interruption des mobilités internationales ont également transformé l'expérience étudiante, fragilisant davantage les catégories les plus précaires. Ces transformations ont également généré des inquiétudes particulièrement importantes parmi les étudiant·e·s en fin d'études, allant jusqu'à mo

L'enquête menée par l'Observatoire national de la vie étudiante sur le ressenti des étudiant·e·s pendant la période de confinement montre que la crise sanitaire a eu d'importants effets sur leurs conditions de vie : nombreux sont celles et ceux - notamment parmi les plus jeunes - ayant fait le choix de rejoindre leur famille, bénéficiant ainsi, pour une majorité, d'aides plus nombreuses et de conditions de logement dans l'ensemble plus favorables. Ce retour à une forme de cohabitation contrainte par les évènements n'a toutefois pas empêché pour certain·e·s l'existence de conflits ou encore la nécessité de s'occuper d'un proche malade, autant d'éléments qui ont pu perturber le suivi des études. Les signes de détresse psychologiques ont été dans l'ensemble plus nombreux dans la population étudiante pendant cette période de confinement, de même que la consommation d'alcool ou le renoncement aux soins. La formation à distance, mise en place dans la plupart des établissements, a permis de révéler de nouvelles inégalités au sein de la population étudiante : avec le développement des cours en mode distanciel, disposer d'un ordinateur personnel, d'une bonne connexion internet ou encore d'un environnement calme, sont devenus particulièrement essentiels pour la réussite de chacun·e. Les étudiant·e·s étranger·e·s, par l'éloignement de leur famille et leurs conditions de vie et de travail plus précaires, apparaissent ainsi comme les grand·e·s perdant·e·s de la crise sanitaire. La perte ou la diminution de l'activité salariée, l'annulation ou le report des stages ou encore l'interruption des mobilités internationales ont également transformé l'expérience étudiante, fragilisant davantage les catégories les plus précaires. Ces transformations ont également généré des inquiétudes particulièrement importantes parmi les étudiant·e·s en fin d'études, allant jusqu'à modifier, pour certain·e·s, leurs projets d'

L'enquête menée par l'Observatoire national de la vie étudiante sur le ressenti des étudiant·e·s pendant la période de confinement montre que la crise sanitaire a eu d'importants effets sur leurs conditions de vie : nombreux sont celles et ceux - notamment parmi les plus jeunes - ayant fait le choix de rejoindre leur famille, bénéficiant ainsi, pour une majorité, d'aides plus nombreuses et de conditions de logement dans l'ensemble plus favorables. Ce retour à une forme de cohabitation contrainte par les évènements n'a toutefois pas empêché pour certain·e·s l'existence de conflits ou encore la nécessité de s'occuper d'un proche malade, autant d'éléments qui ont pu perturber le suivi des études. Les signes de détresse psychologiques ont été dans l'ensemble plus nombreux dans la population étudiante pendant cette période de confinement, de même que la consommation d'alcool ou le renoncement aux soins. La formation à distance, mise en place dans la plupart des établissements, a permis de révéler de nouvelles inégalités au sein de la population étudiante : avec le développement des cours en mode distanciel, disposer d'un ordinateur personnel, d'une bonne connexion internet ou encore d'un environnement calme, sont devenus particulièrement essentiels pour la réussite de chacun·e. Les étudiant·e·s étranger·e·s, par l'éloignement de leur famille et leurs conditions de vie et de travail plus précaires, apparaissent ainsi comme les grand·e·s perdant·e·s de la crise sanitaire. La perte ou la diminution de l'activité salariée, l'annulation ou le report des stages ou encore l'interruption des mobilités internationales ont également transformé l'expérience étudiante, fragilisant davantage les catégories les plus précaires. Ces transformations ont également généré des inquiétudes particulièrement importantes parmi les étudiant·e·s en fin d'études, allant jusqu'à modifier, pour certain·e·s, leurs projets d'

L'enquête menée par l'Observatoire national de la vie étudiante sur le ressenti des étudiant·e·s pendant la période de confinement montre que la crise sanitaire a eu d'importants effets sur leurs conditions de vie : nombreux sont celles et ceux - notamment parmi les plus jeunes - ayant fait le choix de rejoindre leur famille, bénéficiant ainsi, pour une majorité, d'aides plus nombreuses et de conditions de logement dans l'ensemble plus favorables. Ce retour à une forme de cohabitation contrainte par les évènements n'a toutefois pas empêché pour certain·e·s l'existence de conflits ou encore la nécessité de s'occuper d'un proche malade, autant d'éléments qui ont pu perturber le suivi des études. Les signes de détresse psychologiques ont été dans l'ensemble plus nombreux dans la population étudiante pendant cette période de confinement, de même que la consommation d'alcool ou le renoncement aux soins. La formation à distance, mise en place dans la plupart des établissements, a permis de révéler de nouvelles inégalités au sein de la population étudiante : avec le développement des cours en mode distanciel, disposer d'un ordinateur personnel, d'une bonne connexion internet ou encore d'un environnement calme, sont devenus particulièrement essentiels pour la réussite de chacun·e. Les étudiant·e·s étranger·e·s, par l'éloignement de leur famille et leurs conditions de vie et de travail plus précaires, apparaissent ainsi comme les grand·e·s perdant·e·s de la crise sanitaire. La perte ou la diminution de l'activité salariée, l'annulation ou le report des stages ou encore l'interruption des mobilités internationales ont également transformé l'expérience étudiante, fragilisant davantage les catégories les plus précaires. Ces transformations ont également généré des inquiétudes particulièrement importantes parmi les étudiant·e·s en fin d'études, allant jusqu'à modifier, pour certain·e·s, leurs projets d'

L'enquête menée par l'Observatoire national de la vie étudiante sur le ressenti des étudiant·e·s pendant la période de confinement montre que la crise sanitaire a eu d'importants effets sur leurs conditions de vie : nombreux sont celles et ceux - notamment parmi les plus jeunes - ayant fait le choix de rejoindre leur famille, bénéficiant ainsi, pour une majorité, d'aides plus nombreuses et de conditions de logement dans l'ensemble plus favorables. Ce retour à une forme de cohabitation contrainte par les évènements n'a toutefois pas empêché pour certain·e·s l'existence de conflits ou encore la nécessité de s'occuper d'un proche malade, autant d'éléments qui ont pu perturber le suivi des études. Les signes de détresse psychologiques ont été dans l'ensemble plus nombreux dans la population étudiante pendant cette période de confinement, de même que la consommation d'alcool ou le renoncement aux soins. La formation à distance, mise en place dans la plupart des établissements, a permis de révéler de nouvelles inégalités au sein de la population étudiante : avec le développement des cours en mode distanciel, disposer d'un ordinateur personnel, d'une bonne connexion internet ou encore d'un environnement calme, sont devenus particulièrement essentiels pour la réussite de chacun·e. Les étudiant·e·s étranger·e·s, par l'éloignement de leur famille et leurs conditions de vie et de travail plus précaires, apparaissent ainsi comme les grand·e·s perdant·e·s de la crise sanitaire. La perte ou la diminution de l'activité salariée, l'annulation ou le report des stages ou encore l'interruption des mobilités internationales ont également transformé l'expérience étudiante, fragilisant davantage les catégories les plus précaires. Ces transformations ont également généré des inquiétudes particulièrement importantes parmi les étudiant·e·s en fin d'études, allant jusqu'à mo

"500 000 « jeunes aidants » assistent au quotidien un proche malade ou handicapé à la maison. Au prix, souvent, de leur enfance et de leur scolarité. Ce travail gratuit, normalement effectué par des professionnels de l'aide à domicile, représente une charge physique et mentale invisible." [RDP du 12 mai 2020]

"La Fondation Fassic qui regroupe les œuvres de Congrégations religieuses d'Angers au service des malades, des personnes âgées ou en situation de handicap propose aux jeunes de la ville, étudiants ou professionnels de vivre une expérience inédite. Le Béguinage St Martin situé dans un parc magnifique du quartier de la Doutre à proximité immédiate du CHU est constitué de 26 logements pour des personnes non dépendantes de plus de 60 ans, fragilisées par leur isolement et leurs faibles revenus. L'objectif est de leur permettre une vie qui conjugue animation et spiritualité tout en ayant un "chez soi". 4 studios de 28 à 30 m² sont réservés à des jeunes qui souhaiteraient partager cette vie de Béguinage. Celui-ci comporte un oratoire pour la vie spirituelle et une salle de convivialité."

"Pendant tout le temps du confinement, la pastorale des jeunes avec Cédric Galoyer, et le service de l'Evangile auprès des personnes malades avec Régine Racine ont proposé aux jeunes qui le souhaitaient de contacter des personnes âgées isolées : mission fleurir le désert"

Diocèses Angoulême Présentation du week-end BL - Vu le 03/10/2012

"Les jeunes constituent une cible privilégiée en matière de prévention des troubles de la santé mentale (les trois quarts des pathologies psychiatriques débutent avant l'âge de 25 ans). Pour assoir les bases de son projet de prévention, Ipsos et la Fondation Pierre Deniker ont souhaité dresser un état des lieux des perceptions et des représentations des maladies mentales et en mesurer la prévalence."

"Dans le cadre de la célèbre régate Spi Dauphine qui se tiendra du 18 au 25 avril 2015"

"Inconsolables après le décès de leur fils Vincenzo, les parents du jeune homme de 15 ans ont eu l'heureuse surprise de recevoir dans leur boîte aux lettres une lettre écrite… par le Saint-Père, lui-même. Un an plus tôt, « l'amitié » entre le Pape et le jeune homme débutait."

"L'esprit de service constitue l'un des piliers du scoutisme. Pas étonnant donc que les jeunes engagés dans l'un des nombreux mouvements existants en France aient été nombreux à se proposer naturellement comme bénévoles pendant la crise du covid-19." [RDP du 06 mai 2020]

"Un week-end pour faire la TEF… Dès le samedi après-midi à 16h, un village va investir la cathédrale de Lille pour y présenter les différents mouvements de jeunes. De nombreuses animations et concerts s'y produiront autour de la scène ouverte avec des artistes régionaux. Les participants pourront aussi rencontrer les artistes sur le plateau de la radio Métropolys, replacé dans la cathédrale pour l'occasion."