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Home/ Environnement & Ecologie/ Group items tagged La vie

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BVA - La vie immobilière des Français - 0 views

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    Des Français peu nomades et assez conservateurs dans leur conception de la vie immobilière Loin de vouloir expérimenter divers lieux de vie, les Français aspirent dans leur majorité (79%) à s'installer dans un endroit et à y rester le plus longtemps possible. Dans les faits, ils habitent dans près de 3 départements différents et déménagent 5 fois au cours de leur vie. L'idéal de vie poursuivi par les Français reste classique : accéder à la propriété (84%) et habiter une maison (78%), si possible en bord de mer (50%). A l'encontre des idées reçues, les jeunes n'ont pas une conception différente des autres générations. Un idéal de vie impossible à atteindre ? Habiter une maison est un rêve relativement accessible : si 78% des Français ont cette aspiration, 62% l'ont concrétisée. Mais recherchée par 84% des Français, l'accession à la propriété ne concerne que 58% d'entre eux (51% en Ile-de-France). Le lieu de vie peut aussi être objet de frustrations. Si les Français aimeraient vivre de préférence en Provence-Alpes-Côte d'Azur, Occitanie ou Nouvelle Aquitaine, le top3 de leurs régions préférées, ils résident le plus souvent en Ile-de-France ou en Auvergne-Rhône-Alpes. Au final, 62% des Français vivent actuellement dans leur région idéale (84% chez les Bretons). Ils sont également plus urbains qu'ils ne le souhaiteraient. Le déroulé de la vie immobilière, fortement influencé par la vie de couple Lorsque les Français déménagent, c'est avant tout suite à un mariage/concubinage (pour 43% des personnes interrogées), puis suite à un changement professionnel (40%) ou à la naissance d'un enfant (33%). L'union est également le premier évènement de vie venant concrétiser l'achat du premier logement.
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Season of Creation - Le Guide de Célébration de la Saison de la Création est ... - 0 views

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    Les communautés chrétiennes du monde entier sont invitées à commencer à planifier leurs célébrations de la Saison de la Création grâce au nouveau Guide de célébration de la Saison de la Création, désormais disponible sur le site Web de la Saison. Ce guide de 52 pages propose de nombreuses façons pour les chrétiens et les communautés de participer à la célébration annuelle de prière et d'action pour notre maison commune, qui aura lieu plus tard cette année. Parmi les idées énumérées dans le guide gratuit : Les chrétiens sont invités à organiser une marche pour la création ou à découvrir de nouvelles façons de rendre leur vie plus durable, en accord avec la création d'un avenir plus résilient pour notre maison commune. Les institutions sont encouragées à réfléchir dans la prière à la manière dont elles peuvent aider leurs communautés à vivre au mieux la saison, par exemple en organisant des événements sur la durabilité tout au long du mois ou en mettant en œuvre des changements à une échelle institutionnelle plus large, par exemple en réalisant un audit énergétique et en y donnant suite. La Saison de la Création commence le 1er Septembre, Journée mondiale de prière pour la sauvegarde de la création, et se termine le 4 Octobre, fête de Saint François, le Saint Patron de l'écologie aimé de nombreuses confessions chrétiennes. Cette année, 2,3 milliards de chrétiens du monde entier s'unissent autour du thème "Une maison pour tous ? Renouveler l'Oikos de Dieu". "Le thème de la Saison de la création met l'accent sur le fait que la Terre appartient à Dieu et que chaque créature bien-aimée appartient à cette maison commune (cf. Psaume 24,1)", a déclaré le pasteur Chad Rimmer, Président du comité directeur de la Saison œcuménique de la création et responsable des programmes de théologie et de pratique luthériennes pour la Fédération luthérienne mondiale. "Le mot grec pour
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CORREF - L'encyclique Laudate si' et la vie religieuse - 1 views

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    "L'encyclique Laudate si', sur la sauvegarde de la maison commune, a un propos plus large qu'une simple soutien aux propositions écologiques de tous ordres. Il s'agit de la vision d'une écologie intégrale, d'une révolution de perspective où environnement, souci des pauvres, développement et justice sont liées, de la mise en œuvre d'un autre mode de vie. Et c'est bien là que nous, religieux, sommes interpelés. La vie religieuse est un style de vie à la suite du Christ. Qu'allons-nous accueillir et changer, à la lecture de ce texte, de notre manière de vivre, personnellement et dans nos communautés ? dans la prise de conscience, avec d'autres, des responsabilités qui nous incombent dans l'avenir de l'humanité, de l'avenir de la terre devenue plus fragile. Lucide et percutante, la parole du pape est aussi appel à l'espérance : « le monde est plus qu'un problème à résoudre, il est un mystère joyeux que nous contemplons dans la joie et la louange ». Dimensions au cœur de la vie religieuse. Sr Joëlle Ferry, 1ère vice-présidente de la Corref"
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Réseau Action Climat - Pour donner à chacun le pouvoir de vivre : l'urgence d... - 0 views

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    L'ancien ministre de la Transition écologique Nicolas Hulot et le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, lancent avec 19 ONG et syndicats un pacte pour faire face à l'urgence sociale et environnementale. Opposer l'urgence sociale à l'urgence climatique relève d'un non sens. C'est ce que défendent 19 organisations, dont La Fondation Nicolas Hulot, la Fondation Abbé Pierre, la CFDT, La Cimade, Réseau Action Climat... Ces acteurs de la société civile ont présenté, mardi 5 mars, 66 propositions réunies dans un pacte social et écologique. Ce dernier explore notamment la question de l'accès universel aux droits, la solidarité et la justice sociale, la transition écologique et l'enjeu démocratique, à destination de l'exécutif, des élus, des décideurs et des citoyens. Véritable « projet de société », ce pacte devrait déboucher sur la création d'un « Observatoire » pour mieux évaluer les politiques publiques grâce à des indicateurs sociaux et environnementaux. Concrètement, pour lier social et écologie, les organisations proposent par exemple d'en finir avec le mal logement et les « passoires énergétiques », en finançant leur rénovation et en interdisant leur mise en location. Les 66 propositions ne sont toutefois pas très détaillées. Cet appel à l'alliance du social et de l'écologie a-t-il des chances d'être entendu ?« L'exécutif n'a pas encore répondu à notre première demande de rendez-vous », note Samuel Léré, porte-parole de la Fondation Nicolas Hulot. En pleine période de Grand Débat National, ces acteurs porteront leurs propositions lors de tables rondes et de la Marche pour le Climat. « Nous allons nous réunir prochainement pour voir comment nous pouvons faire vivre concrètement ce pacte, notamment dans les territoires ». Reste à savoir s'il pourra constituer un moyen de pression suffisant. « C'est un projet global. Le gouvernement ne pourra pas choisir parmi les propo
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CESE - Résolution - Construire Demain - 0 views

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    La crise du Covid-19 a bouleversé nos vies, elle a révélé et parfois même exacerbé les inégalités et les failles de notre société. Le CESE ainsi que l'ensemble des représentants des organisations qui y siègent se sont organisés pour réfléchir collectivement à « l'après ». Ce sont ainsi toutes les formations de travail qui se sont attelées, aux côtés de la société civile, à identifier les sujets et les actions à mettre en place pour se préparer aux conséquences de cette crise sanitaire. La résolution « Construire demain » donne les pistes d'actions du CESE pour aborder l'après Covid-19. Patrick Bernasconi, président du CESE et rapporteur de la résolution, déclare : « Cette crise sanitaire nous a amené à poser un regard nouveau sur nombre de sujets qui touchent à notre quotidien, à celui de nos concitoyens, à notre pays, à l'environnement dans lequel nous vivons, à notre devenir. » Produite par la société civile organisée, elle est articulée autour de quatre axes interrogeant notre modèle, nos modes de délibération, nos investissements et notre protection sociale. Ces quatre axes, ensemble, dessinent un horizon et des pistes pour aujourd'hui. Martine Vignau, membre du Bureau du CESE, déclare dans la présentation faite à l'assemblée : « Cette résolution, produite par la société civile organisée, au plus près du terrain, à vocation à dépasser les murs de notre chambre pour irriguer l'ensemble de la société. Elle est une des réponses au bouleversement du monde qui vient, une réponse résolument optimiste, celle d'une société portant en elle une confiance résolue dans l'avenir. » Repenser notre modèle, délibérer ensemble, cibler nos investissements, développer nos protections, tel est le combat qu'il convient de mener avec détermination pour redonner confiance à toutes et tous. Pour y parvenir, le CESE propose un chemin : Définir la société que nous voulon
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Nantes - Pour une relecture de la crise - 0 views

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    "Depuis la mi-mars, nous vivons une situation totalement inédite. La lutte contre la pandémie du covid-19 a conduit les gouvernements de nombreux pays - dont le nôtre - à prendre des mesures drastiques pour limiter la propagation mortelle du virus. Nous savons déjà que cette crise a un impact profond sur notre société et sur nous-mêmes. Les mesures de confinement auxquelles nous avons été contraints ont été pour tous une épreuve, au sens d'une difficulté mais aussi au sens d'une vérification de ce à quoi nous tenons vraiment. Même si une sortie du confinement s'esquisse, nous n'en avons certainement pas fini avec cette crise. À quoi ressemblera le « monde d'après » ? Si nul ne peut le dire, nous pouvons espérer qu'elle soit l'occasion d'une réflexion, d'une conversion, qu'elle soit l'occasion de nouveaux choix, tant à l'échelle de la société dans son ensemble qu'aux plans personnel, familial, professionnel, ecclésial… Comme citoyens, et aussi comme chrétiens, nous avons à prendre nos responsabilités pour que « l'après » soit comme une nouvelle naissance. Le fait que la crise ait recouvert le temps du carême et le temps pascal nous invite à l'envisager comme un passage, une Pâque, vers une vie nouvelle. Dans la Bible, le peuple de Dieu se tourne vers l'avenir en ayant pris le temps de relire son histoire, pour y reconnaître ce que Dieu lui dit à travers cette histoire. Même si nous ne sommes peut-être qu'au milieu du gué, nous pouvons déjà faire de même : qu'avons-nous vécu ? qu'en retenons-nous ? dans quelle direction entendons-nous un appel à nous engager ? Nous proposons un outil de relecture avec la grille ci-jointe, à s'approprier pour qu'elle rejoigne au mieux la réalité que nous vivons. Elle pourra être utilisée en groupe, en équipe de mouvements, en service diocésain, en communautés religieuses… et donner lieu ensuite à une synthèse diocésaine. Cette s
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Crédoc - Baromètre du numérique - édition 2023 - Rapport - 0 views

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    "Les résultats présentés sont des résultats redressés : ils sont donc représentatifs de la population de 12 ans et plus résidant en France métropolitaine et, à ce titre, mis en regard des précédents résultats, issus d'enquêtes menées en face-à-face. Les résultats sont présentés en trois parties : La première partie s'intéresse aux principaux taux d'équipements (en téléphone fixe, téléphone mobile, ordinateur à domicile, mais aussi smartphone, tablette, connexion internet à domicile et télévision) et présente la proportion d'internautes et d'internautes quotidiens dans la population française ainsi que les modes de connexion les plus couramment utilisés à domicile. D'autres équipements plus récents sont également passés en revue : enceinte connectée, objets connectés La seconde fait le point sur les usages, en distinguant les usages sur téléphone mobile (navigation sur internet et messageries instantanées) et, plus largement, en étudiant les usages sur internet (achat, réseaux sociaux, e-administration, recherche d'emploi …). Pour la première fois, des questions s'intéressent à la pratique de jeux en ligne. Un volet de l'enquête est dédié cette année à la satisfaction des usagers quant à la qualité de service sur les réseaux fixes et mobiles. Des questions sur le télétravail ont été reprises, et, pour la première fois on s'intéresse à l'usage radiophonique et télévisuel, en tentant de dresser les pratiques et les préférences des Français en la matière. La dernière partie évoque plus largement le numérique dans la vie quotidienne, que ce soit en termes de temps passé sur les écrans (dont le temps passer à jouer) ou de rapport au numérique et précautions prises, ou pas, dans l'usage d'internet : confiance, place donnée aux plateformes, protection de la vie personnelle, paramétrage des cookies, recours à la reconnaissance digitale ou faciale, recours aux fo
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Nîmes - Le Dieu de Jésus n'est en aucun cas un Dieu lointain - 0 views

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    "Saurons-nous demain, individuellement et collectivement sortir de la course à la rentabilité et à la performance ? Serons-nous capables de mettre au premier rang l'écoute, la bienveillance, le souci de l'autre, en un mot la relation à l'autre ? Serons-nous attentifs à tous ceux qui sont les oubliés de notre société, ceux qui restent invisibles dans l'anonymat et la solitude ? Cette crise sanitaire remet en cause la manière dont fonctionnent nos sociétés libérales, sociétés de consommation où l'argent et roi, où seul compte le profit et la rentabilité. Elle nous obligera à transformer en profondeur notre rapport à la nature, à l'environnement sous peine de crises encore plus graves à l'avenir. Cette crise mettra chacun devant des interrogations fondamentales touchant le sens de la vie. Et comment ne pas repenser à ces paroles de Jésus dans l'évangile « à quoi sert à l'homme de gagner le monde entier s'il en vient à perdre son âme ? Pouvons-nous continuer à produire et à consommer toujours plus, quitte à épuiser les ressources naturelles de la terre et à rendre notre monde invivable et inhabitable ? Pourrons-nous continuer à vivre à un rythme effréné, à courir d'une activité à l'autre sans prendre le temps de nous arrêter pour réfléchir au sens de notre vie, à ce qui donne sens à nos vies d'hommes et de femmes ? C'est ce que le pape François dans son encyclique « Laudato si » appelle « l'écologie intégrale. » Cette écologie intégrale cherche à mettre en œuvre la solidarité, le souci de l'autre et tout particulièrement des plus faibles. Elle rappelle le respect de la vie de la naissance à la mort, le respect de la dignité humaine, le souci de la justice sociale et du bien de tous."
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Message du pape François pour la deuxième journée mondiale de prière pour la ... - 0 views

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    "La Salle de presse du Saint-Siège a rendu public, le 1er septembre 2016, le message du pape François à l'occasion de la deuxième journée mondiale de prière pour la sauvegarde de la création. C'est en 2015 que le pape a institué cette journée qui coïncide avec celle préalablement établie par le patriarche Bartholomée, le 1er septembre de chaque année. Dans son message, le pape s'est d'abord réjoui du fait que la préoccupation pour l'avenir de la planète est devenue une question œcuménique et même interreligieuse. Ensuite, il a rappelé comment les appels des patriarches Bartholomée et Dimitrios pour une « attention croissante pour l'intégrité de la création » ont suscité à l'échelle mondiale des initiatives entre chrétiens et non-chrétiens afin de promouvoir une « justice environnementale ». Et le pape d'insister, à son tour : « La terre crie parce que nous avons péché. » Il a donc émis le souhait que le jubilé de la miséricorde soit pour les chrétiens l'occasion d'une conversion écologique « soutenue de façon particulière par le sacrement de la pénitence ». Pour cela, a-t-il ajouté, il faut un examen de conscience. « C'est le premier pas sur le chemin de la conversion » ouvrant la voie au repentir et à l'adoption d'un « style de vie prophétique et contemplatif ». Ce changement de style de vie, précise le pape, concerne aussi bien les individus que les sociétés et les organismes internationaux. Avant de conclure son message par une prière, vu l'importance de la sauvegarde de la création, le pape a suggéré que soit inscrite dans la liste des œuvres de miséricorde corporelles et spirituelles la sauvegarde de la création."
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Sénat - Délégation à prospective - Rapport d'information sur les mobilités da... - 0 views

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    À l'issue du rapport de la délégation à la prospective du Sénat de novembre 2018, et après le vote de la LOM, il a paru nécessaire d'approfondir la question de l'avenir des mobilités dans les espaces peu denses3(*), qui sont marquées à la fois par de multiples initiatives et innovations, mais aussi par la difficulté à pérenniser les expériences, à monter en puissance et faire changer les habitudes profondément ancrées d'utilisation quasi-exclusive de la voiture pour tous les déplacements individuels. Ce mode de transport s'avère en effet le plus souple et le plus efficace dans ces espaces, à condition bien entendu d'en avoir les moyens. Ayons cependant à l'esprit que le modèle automobile dans tous les types de territoires sera nécessairement appelé à évoluer avec la perspective d'ici 2040 de la fin des moteurs thermiques, en application de l'objectif de décarbonation des déplacements, ainsi qu'une révolution technologique liée à l'automatisation et à la diffusion de véhicules autonomes. À plus court terme, le passage de la vitesse maximale autorisée de 90 à 80 km/h sur les routes secondaires contribue à changer le rapport à la route. Les nouveaux travaux menés par la délégation à la prospective sur la question des mobilités ont visé à imaginer la transformation des modes de déplacement dans les zones peu denses à l'horizon 2040. Ces territoires sont de plus en plus prisés en raison des faibles prix du foncier et pour la recherche d'une meilleure qualité de vie que dans les villes denses. L'expérience du confinement du printemps 2020 a probablement renforcé l'attrait pour les campagnes. Pour autant, l'absence de solutions de mobilités adaptées constitue encore un obstacle et un frein dans la vie quotidienne qu'il convient d'examiner avec attention. Cela apparaît comme une nécessité sociale et écologique, mais également de cohésion territoriale dans la République.
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Poitiers - Message de Mgr Wintzer "Adultes dans la vie, adultes dans la foi" - 0 views

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    Depuis plusieurs semaines nous vivons une situation inédite et à laquelle nul ne pouvait s'attendre ; pourtant, si l'événement touche chacun, les manières d'y faire face, de le traverser sont infiniment différentes. Elles sont fonction de nos caractères, de nos convictions, de nos expériences, de nos conditions sociales et économiques de vie. Egaux dans l'événement, nous ne le sommes pas dans ce que celui-ci produit chez chacun. Ceci n'a cependant rien d'étonnant : quoi que ce soit qui marque la vie sociale, nous savons que nous vivons les choses de différentes manières. Il en est ainsi pour notre foi ; la Bible est la même, mais la manière d'y percevoir des appels de l'Esprit est fonction de nos histoires personnelles. C'est donc une gageure de m'exprimer auprès de vous, ici comme d'ordinaire ; je sais que mon propos est déterminé par qui je suis. Pourtant, est-ce que nous serions condamnés à nous résigner au mutisme qui résulterait d'une impossibilité à une parole commune, comprise par tous ? Certes non, sinon aucune vie familiale, sociale, nationale, ecclésiale, ne serait possible. Je tiens que chacun a la possibilité de se mettre à distance de lui-même, de ses affects, pour comprendre un événement et en exprimer quelque chose à d'autres qu'à lui-même. Je pense que, au-delà des inquiétudes liées à la pandémie, les semaines qui viennent de s'écouler, libérant du temps par rapport à l'ordinaire de nos vies, ont permis au plus grand nombre de réfléchir sur le sens de sa vie, ses choix, la société qu'il veut, et aussi, pour nous, catholiques, libérer du temps pour la prière, la lecture de la Bible et des engagements au service des communautés chrétiennes dont nous sommes les acteurs aujourd'hui et demain.
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Sénat / Commission de l'aménagement du territoire - Synthèse - Rapport d'info... - 0 views

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    Si rien n'est fait pour réduire son impact sur l'environnement, le numérique pourrait représenter près de 7 % des émissions de gaz à effet de serre de la France en 2040, soit une augmentation de 60 % par rapport à aujourd'hui. C'est ce que montrent les résultats des travaux menés depuis six mois par la mission d'information relative à l'empreinte environnementale du numérique, qui présente 25 propositions pour une transition numérique écologique. Secteur économique majeur, le numérique est pourtant largement ignoré en tant que tel des politiques publiques visant à atteindre les objectifs climatiques fixés par l'Accord de Paris : il n'existe pas de stratégie transversale publique visant à en atténuer les impacts environnementaux. Les chiffres dévoilés par la mission montrent que : - les terminaux sont à l'origine d'une très grande part des impacts environnementaux du numérique (81 %), plus encore qu'à l'échelle mondiale (63 % des gaz à effet de serre émis par le secteur selon le GreenIT.fr), - la fabrication et la distribution (la "phase amont") de ces terminaux utilisés en France sont responsables de 70 % de l'empreinte carbone totale du numérique en France, alors que cette proportion est de 40 % au niveau mondial. Les implications de ces constats sont majeures. La réduction de l'empreinte carbone du numérique en France devra en effet tout particulièrement passer par une limitation du renouvellement des terminaux, alors que la durée de vie d'un smartphone est aujourd'hui de 23 mois. Il s'agit d'un impératif environnemental mais aussi économique : en passant du tout-jetable à un modèle circulaire, les politiques publiques peuvent favoriser la création durable d'emplois non délocalisables, et implantés dans les territoires. "À cet égard, la réduction de l'empreinte environnementale du numérique en France constitue également un acte de souveraineté économique" a souligné
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Sénat / Commission de l'aménagement du territoire - Rapport - Rapport d'infor... - 0 views

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    Si rien n'est fait pour réduire son impact sur l'environnement, le numérique pourrait représenter près de 7 % des émissions de gaz à effet de serre de la France en 2040, soit une augmentation de 60 % par rapport à aujourd'hui. C'est ce que montrent les résultats des travaux menés depuis six mois par la mission d'information relative à l'empreinte environnementale du numérique, qui présente 25 propositions pour une transition numérique écologique. Secteur économique majeur, le numérique est pourtant largement ignoré en tant que tel des politiques publiques visant à atteindre les objectifs climatiques fixés par l'Accord de Paris : il n'existe pas de stratégie transversale publique visant à en atténuer les impacts environnementaux. Les chiffres dévoilés par la mission montrent que : - les terminaux sont à l'origine d'une très grande part des impacts environnementaux du numérique (81 %), plus encore qu'à l'échelle mondiale (63 % des gaz à effet de serre émis par le secteur selon le GreenIT.fr), - la fabrication et la distribution (la "phase amont") de ces terminaux utilisés en France sont responsables de 70 % de l'empreinte carbone totale du numérique en France, alors que cette proportion est de 40 % au niveau mondial. Les implications de ces constats sont majeures. La réduction de l'empreinte carbone du numérique en France devra en effet tout particulièrement passer par une limitation du renouvellement des terminaux, alors que la durée de vie d'un smartphone est aujourd'hui de 23 mois. Il s'agit d'un impératif environnemental mais aussi économique : en passant du tout-jetable à un modèle circulaire, les politiques publiques peuvent favoriser la création durable d'emplois non délocalisables, et implantés dans les territoires. "À cet égard, la réduction de l'empreinte environnementale du numérique en France constitue également un acte de souveraineté économique" a souligné
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Sénat / Commission de l'aménagement du territoire - Infographie - Rapport d'i... - 0 views

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    Si rien n'est fait pour réduire son impact sur l'environnement, le numérique pourrait représenter près de 7 % des émissions de gaz à effet de serre de la France en 2040, soit une augmentation de 60 % par rapport à aujourd'hui. C'est ce que montrent les résultats des travaux menés depuis six mois par la mission d'information relative à l'empreinte environnementale du numérique, qui présente 25 propositions pour une transition numérique écologique. Secteur économique majeur, le numérique est pourtant largement ignoré en tant que tel des politiques publiques visant à atteindre les objectifs climatiques fixés par l'Accord de Paris : il n'existe pas de stratégie transversale publique visant à en atténuer les impacts environnementaux. Les chiffres dévoilés par la mission montrent que : - les terminaux sont à l'origine d'une très grande part des impacts environnementaux du numérique (81 %), plus encore qu'à l'échelle mondiale (63 % des gaz à effet de serre émis par le secteur selon le GreenIT.fr), - la fabrication et la distribution (la "phase amont") de ces terminaux utilisés en France sont responsables de 70 % de l'empreinte carbone totale du numérique en France, alors que cette proportion est de 40 % au niveau mondial. Les implications de ces constats sont majeures. La réduction de l'empreinte carbone du numérique en France devra en effet tout particulièrement passer par une limitation du renouvellement des terminaux, alors que la durée de vie d'un smartphone est aujourd'hui de 23 mois. Il s'agit d'un impératif environnemental mais aussi économique : en passant du tout-jetable à un modèle circulaire, les politiques publiques peuvent favoriser la création durable d'emplois non délocalisables, et implantés dans les territoires. "À cet égard, la réduction de l'empreinte environnementale du numérique en France constitue également un acte de souveraineté économique" a souligné
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Le Mans - Message de Noël de Mgr Le Saux - 0 views

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    "Cette crise nous révèle que l'individualisme comme mode d'organisation de la société est une erreur. Nous devons sortir du mythe de l'autosuffisance et de la toute puissance. Nous avons besoin les uns des autres. Je vous invite à laisser la lumière de Noël éclairer nos vies et  cette situation de crise qui nous affecte tous. Le récit de la nuit de Noël que nous lisons dans les églises, invite à ne pas avoir peur. Il annonce une grande joie pour tout le peuple et la paix pour tous les hommes que Dieu aime. Accueillons la joie véritable. La joie ne se réduit pas aux divertissements. La joie naît du renoncement à la superficialité qui ne peut produire que la tristesse. La joie naît de la relation à l'autre. C'est la joie de s'oublier soi-même parce que l'on aime et que l'on est aimé. Noël est une invitation à l'humilité. L'épidémie nous a ramenés à notre vulnérabilité. Nous devons renoncer à l'illusion de penser que nous pouvons tout maîtriser. La vulnérabilité humaine participe de la beauté et grandeur de l'homme. Dieu a choisi le chemin de la vulnérabilité et de la fragilité. Ce ne sont pas la science et la technique qui sauvent le monde, mais l'amour. Noël, c'est l'annonce de la paix. Nous ne pouvons pas répondre à la violence par la violence. Renonçons à la violence physique et à la violence verbale. C'est ensemble que nous devons construire l'avenir, pas les uns contre les autres, pas les uns avec les autres. Mais, à quoi sommes-nous prêts à renoncer pour le bien des autres ? Prenons soin les uns des autres."
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La Rochelle - La messe chrismale est le signe donné aux hommes de l'unité de ... - 0 views

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    "Prendre soin de la nature et de nos frères et sœurs afin que chacun trouve sa place, afin que chacun soit sauvé et pour cela, chers amis consacrés, Dieu a besoin de vous, pour que vous indiquiez le chemin qu'il trace. L'histoire nous apprend que dans le champ de la création, l'être humain produit, agit, mais que ses initiatives sont aussi source de dégradation de la nature et d'humiliation des autres. Toute l'aventure humaine pose la question du salut de l'homme et du soin ou du manque de soin de la création qui lui est confiée, comme elle l'est à un serviteur. La crise écologique, la pandémie que nous subissons rendent plus urgentes ces questions. Les échanges que nous avons dans la cité et entre chrétiens, y compris dans notre diocèse, et la semaine dernière, entre évêques, sur le sujet de la création et de la production, nous montrent que seule une abondance de vie spirituelle peut nous permettre de vivre une sobriété matérielle et en cela la vie fraternelle sous toutes ses formes, notamment la vie religieuse nous indique un chemin à suivre. Seigneur, avec le psalmiste, nous te disons : «Tu es notre Dieu, notre père, notre roc, notre salut », nous savons que tu nous gardes ton amour et que ton alliance est fidèle !"
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Cese - Résolution - La valeur de la matière première secondaire : l'exemple d... - 0 views

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    C'est dans le contexte imposé par les pollutions des sols et des océans et l'urgence climatique liées à l'omniprésence de l'usage du plastique issu du pétrole que le projet de loi « anti-gaspillage pour une économie circulaire » a été présenté en juillet en Conseil des ministres, en vue d'une adoption annoncée pour mars 2020. Parmi les principales mesures, le texte réintroduit la consigne avec pour objectif d'améliorer la collecte séparée de produits à des fins de réemploi ou de recyclage. Longtemps pratiquée en France pour les emballages de boissons en verre, la consigne a peu à peu disparu dans les années 1980 avec le développement des emballages à usage unique et la mise en place du tri sélectif. Pourtant, parce qu'elle donne une « valeur » aux emballages, la consigne est un outil de la REP (responsabilité élargie du producteur) qui peut favoriser un changement de comportement chez les consommateurs. Au cœur d'un vif débat entre d'un côté le Sénat, les collectivités et les recycleurs qui s'opposent à la consigne pour recyclage et le gouvernement et les industriels qui la souhaitent, le CESE propose une troisième voie pour encadrer le principe de retour de la matière plastique pour recyclage et prioriser le financement des dispositifs de réemploi (verre). En effet, la seule mise en place de la consigne pour recyclage risque de maintenir le modèle actuel d'utilisation des contenants plastique à usage unique ; c'est pourquoi il s'agit de coupler le cadrage de la consigne pour recyclage et la mise en place systématique de la consigne pour réemploi. Concernant les flux financiers impactant les collectivités et les consommateurs, le CESE recommande la réalisation d'une étude d'impact afin, entre autres, d'estimer les conséquences de la mise en place du retour matière ou de la consigne pour recyclage plastique pour les collectivités, d'estimer et compenser les sommes de la déconsi
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Nîmes - Lettre aux paroissiens : Pour traverser la crise ! - 1 views

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    "Cette crise, cette catastrophe, nous appelle à rebâtir notre « maison commune », notre monde ébranlé. Pour ce faire, pour repartir sur des bases solides, il faudra revisiter d'abord notre maison intérieure, y revenir tel le fils prodigue revenant avec humilité vers son père après avoir dépensé tous ses biens. Nos habitudes reprennent, certes, mais avec la conviction qu'il existe aussi d'autres voies possibles : Le retour vers la maison du Père nous oblige à trouver le temps de penser, de chercher, d'apprendre à simplifier notre existence. La traversée du désert purifie notre regard et balise notre route qui débouchera sur une deuxième naissance. L'expérience du confinement éclaire notre conscience pour inventer une autre culture, un autre mode de vie, un autre climat. La crise permet de revoir nos priorités, de faire le tri entre le nécessaire et le superflu. En expérimentant la frugalité imposée, la possibilité de ne plus trouver certains produits à la superette du coin, on s'aperçoit que, au fond, beaucoup de choses qui semblaient indispensables ne le sont pas. Nous ressentons tous le besoin de ralentir. Nous sentons bien qu'il nous faut réduire notre pression et notre empreinte sur les écosystèmes avec lesquels nous cohabitons. Cette épidémie a paradoxalement le mérite de mettre tous les peuples à la même enseigne. Nous ralentissons tous en même temps. Nous sommes tous liés les uns avec les autres, pour le meilleur et pour le pire. L'être humain est un être social, un être-avec. Nous avons besoin de la proximité avec les personnes, du territoire et du terroir, de l'enracinement, d'un idéal communautaire. Nous avons besoin que nos traditions (ce qui est bon à tirer et à garder du passé) perdurent dans la fidélité à nos anciens, à les transmettre aux jeunes générations. Comme le temps hébreu, Dieu nous a accompagnés pour nous guider loin d'Egypte, loin de notre confort, en traversant
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Le Puy - De la peur à la vraie vie - 0 views

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    "u cours du carême la pandémie du Covid-19 a envahi le monde et notre pays est touché. Tous nous sommes inquiets.  Néanmoins, durant ce temps de Carême, ce sont les jours où les évêques nous proposent de partager avec le Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement - Terre Solidaire (CCFD-TS). Il nous rappelle d'autres contextes, moins médiatiques,  ne perturbant pas notre quotidien où la vie est fragilisée, écourtée. 2,1 milliards de personnes dans le monde n'ont pas accès à l'eau potable à domicile. 800 000 millions de personnes souffrent quotidiennement de la faim. 2 milliards souffrent de carence alimentaire (soit : une personne sur 3 souffre de malnutrition) Et en même temps : plus de 41 200 kilos de nourriture sont jetés chaque seconde dans le monde. Cela représente un gaspillage alimentaire de 1,3 milliard de tonnes d'aliments par an, soit 1/3 de la production globale des denrées alimentaires dédiées à la consommation. Constatant ou faisant l'expérience de la vie en péril, nous sommes amenés à nous poser quelques questions : Quelles sont les causes de ces maux ? Quels critères allons-nous avoir pour les résoudre ? (choisir la catégorie où l'âge des personnes à soigner ? Sauver la santé ou sauver le marché ?…) Qu'allons-nous changer ?"
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OPECST - Les équilibres psychosociaux à l'épreuve de la Covid-19 - 0 views

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    La lutte contre la pandémie de Covid-19 a bouleversé la vie sociale : proscription des contacts corporels, raréfaction des face-à-face, confinement, dématérialisation des échanges humains. S'il faut espérer que certains de ces changements vont disparaître avec elle, d'autres laisseront sans doute une empreinte plus profonde et plus durable. Trois domaines particuliers retiennent ici l'attention : le travail des soignants, la vie de la jeunesse (ainsi que, à la charnière des deux, la situation des étudiants en médecine), le monde de l'emploi tertiaire. Sans surprise, c'est là où des évolutions étaient déjà en cours que l'effet des mutations dues à la lutte sanitaire pourrait être pérenne. Malgré son caractère contraint, l'expérimentation à vaste échelle du télétravail a pu notamment modifier les rythmes de la vie sociale et réduire son décalage chronique avec l'horloge biologique individuelle. Mais l'augmentation de la sédentarité induite par le confinement reste un sujet de préoccupation.
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