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Christophe Deschamps

l'Entreprise 2.0 dans une impasse ? - 0 views

  • "Aujourd’hui, la plupart des solutions Web 2.0 mises en place dans les grandes entreprises sont dans une impasse ou en voie de l’être. Personne n’en parle, ni l’acheteur, ni le vendeur, parce que l’échec est sans conséquence. Le logiciel est mis en place et après quelques mois plus personne ne l’utilise à l’exception de quelques « déviants » (j’en fais partie !) que j’appelle des « ambassadeurs de l’intelligence collective » ou « créatif culturel ». Il faut espérer qu’un jour, leur rôle soit reconnu et valorisé. Mais, avec ou sans déviants, l’échec passe inaperçu parce qu’un logiciel que personne n’utilise, ça ne fait pas de bruit et ça ne dérange personne. L’organisation continue à fonctionner comme avant et tout le monde est conten
  • Ce que Olivier Zara explique ici, c'est que l'utilisation des outils 2.0 en Entreprise ne peut fonctionner que : - s'ils répondent à de réels besoins quotidiens et métiers. - s'ils sont accompagnés par des mesures de changement de la culture et d'accompagnement
  • Si l'échec de ce type de projets est "sans conséquence", et cela doit être le cas effectivement pour un grand nombre d'entre eux, n'est-ce pas le signe : - que l'organisation a été trop timide dans sa démarche ? - qu'elle a précisément choisi un projet où le besoin n'était pas assez fort pour être critique en cas d'échec ?
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  • Les outils "2.0" recouvrent un certain nombre de solutions telles que les flux RSS, les Tags (taxonomies et/ou folksonomies), les blogs, les wikis, les commentaires, les votes, les réseaux sociaux,... Tous n'imposent pas les mêmes contraintes en terme de mise en oeuvre, d'accompagnement, de gestion du changement.
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    Dans un article récent intéressant, Olivier Zara, consultant très connu pour ses publications sur l'Intelligence collective, semble pessimiste sur la mise en oeuvre des solutions issues du web 2.0 dans l'Entreprise.
Christophe Deschamps

Entreprise 2.0, collaboration et contraintes individuelles - 7 views

  • Le groupe ne délivre en effet que la somme de la tâches effectuées par ses membres. D’où l’importance de la coordination. On peut même se dire que par une étrangle ironie du sort, le travail des travailleurs du savoir donne une part encore plus belle à la tâche individuelle de l’individu au sein du groupe : si on peut effectuer une tâche physique ensemble on ne peut penser ensemble. On pense individuellement et le travail de groupe demande de multiplier les intéractions entre tous pour rester coordonné et cohérent.
  • Ce qui se traduit à nouveau par un travail individuel même si ponctué de nombreux échanges qui donnent une impression de collectif. Mais il n’en est pas moins que chacun se retrouve avec une tâche personnelle.
  • Mais l’apport du “2.0″ peut être important dans la multiplication des signaux “informels” donnant aux autres de la visibilité sur son travail et leur permettant de s’adapter en évitant une coordination lourde, peu réactive et chronophage.
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  • C’est là qu’une logique “2.0″ commence à porter ses fruits : on s’en remet au réseau, et à d’éventuelles communautés où des discussions sur le sujet auraient lieu. Si le sujet a déjà été traité tant mieux, sinon on trouve des personnes pertinentes à qui le soumettre, soit dans une communauté soit en identifiant un individu à contacter (très souvent on trouve ces personnes car leur activité “sociale” enrichit leur profil…et une recherche suffit.
  • l’individu part de lui, passe ensuite au groupe et ensuite aux réseaux/communautés. Il passe d’un travail solitaire à un travail coordonné dans une équipe définie avant de passer à quelque chose d’informel, avec une logique destructurée, dans un périmètre humain relativement flou.
  • On améliore l’efficacité au sein du groupe en se donnant la possibilité d’en sortir si besoin. On est, quoi qu’il en soit, dans une problématique d’organisation : on amplifie le potentiel des pratiques existantes, on en met en place éventuellement de nouvelles mais de manière très “orientée tâche”. On construit du “social” autour d’un business process, d’un workflow dont on essaie d’augmenter la bande passante. On “étend” le périmètre de l’existant.
  • il faut que des communautés actives et pertinentes existent pour pouvoir mener la logique à son terme, pour permettre au collaborateur de passer en mode “réseau” lorsque le groupe montre ses limites.  Là on entre dans une logique plus “sociale”. Ces communautés seront composées de personnes qui décideront volontairement de partager expériences et réflexions sur un sujet donné, de faire un pas au delà du travail qui leur est demandé, de donner une sorte de supplément d’âme à leur investissement professionnel.
  • on est dans le “pur 2.0″ : des conversations, des communautés qui se forment et vivent librement, de la collaboration “douce”, informelle, non structurée, de l’imprévisible et une importante composante humaine car ici on parle de l’envie d’avancer avec les autres, de partager, d’apprendre, de se lier à des personnes que l’on aurait peut être jamais rencontré autrement. En général c’est surtout cette dimension qui vient à l’esprit lorqu’on parle d’entreprise 2.0
  • les collaborateurs (et quelle que soit leur génération) tiennent à garder une frontière claire entre leurs vies privées et professionnelles et surtout dans les pratiques liées à chaque. On “socialise” entre amis mais pas dans l’entreprise. Ou avec d’infinies précautions et dans un périmètre connu. Ce qui nous ramène au “moi, mon groupe, mon réseau” énoncé plus haut.
  • ceux qui n’ont d’autres objectifs que de faire leur travail, se limitent à intéragir dans le périmètre de leur équipe et vont occasionnellement plus loin s’il n’y a pas moyen de faire autrement.
  • ceux qui, en plus, ont envie de s’investir pour échanger, benchmarquer, apprendre, proposer…sur des sujets professionnels,
  • Cela est tout sauf anecdotique lorsqu’on conçoit un projet 2.0 au niveau macro : il faut des scénarios d’usages pour chacun et surtout ne pas s’imaginer qu’on pourra emmener tout le monde dans le communautaire et l’informel, ce que d’aucuns appelleront le chaotique.Il faut penser non pas à ce qu’on aimerait que les gens fassent dans un monde idéal voire fantasmé mais s’adapter à leur logique de collaboration.
  • On dit que l’entreprise 2.0 c’est beaucoup de choses : connecter, engager, partager… Je pense qu’on oublie trop souvent une dimension qui est pourtant l’essence même de l’entreprise: réaliser des choses. C’est pour cela que le collaborateur n’a que faire d’être 1.0 ou 2.0, il veut juste une logique claire qui lui permette de faire son travail plus efficacement.
  • L’entreprise 2.0 n’est pas la fin du groupware, n’est pas le “tout réseau”, “tout communautaire”. C’est le fait de mettre en face de chaque situation les bons outils et les bons usages en fonction de l’objectif à atteindre et de la capacité d’engagement de chacun.
  • Quoi qu’il en soit il n’y a pas un contexte de travail et de collaboration unique mais une infinité de contextes dans lesquels on peut et doit développer des logiques d’intéractions spécifiques qui permettront aux collaborateurs de passer d’un extrême à l’autre en faisant des petits pas intermédiaires en fonction de son contexte propre.
  • Le collaborateur n’est pas si opposé au changement que cela, il veut juste des petits pas plutôt qu’un grand saut et que le processus respecte sa logique propre, fasse sens par rapport à ses besoins et ne violente pas sa volonté de s’engager ou non.
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    Très intéressant billet de @bduperrin sur les besoins des travailleurs du savoir
Christophe Gauthier

Sens du client - Le blog des professionnels du marketing client: Les 10 tendances du Se... - 3 views

  • Les 10 tendances du Sens du client 2010
  • LE CLIENT SERA PLUSIEURS Le client est devenu mutliple. Présent à plusieurs endroits sous une forme différente, c’est un individu fragmenté auquel les marketers doivent désormais faire face. Multiples identités (on compte en France 2,4 adresses mails par personne et 65% ont 2 adresses ou plus), contextes variables : le client est plusieurs et il devient parfois invisible. Pour les entreprises qui gèrent des données concernant leurs clients (une catégorie en très forte augmentation), l’organisation de ces données, la déduplication et la segmentation sont devenues des exercices complexes.
  • Au moment ou le marketing de masse laisse place au marketing comportemental ou ciblé, le marketing des données devient un marketing de masse. La preuve : le one-to-one est moins à la mode que la gestion des communautés qui est une espèce de one to many. On parle désormais de social CRM comme pour habiller délicatement l’ignorance dans laquelle se trouvent beaucoup d’entreprises. Les systèmes d’information qui ont couté des millions aux entreprises se révèlent insuffisants pour appréhender la réalité du client. Comment donner du sens à ces masses de données ? Comment appréhender les nouveaux segments de clients ?
  • ...26 more annotations...
  • les nouveaux segments sont devenus un fait acquis, alors demandez-vous : comment concevrais-je mon organisation si je savais que dans les cinq prochaines années, 5 ou 6 segments émergeront pour occuper plus de la moitié de mon chiffre d'affaire ?
  • la convergence des canaux de relation et la cohérence des sollicitations. Comment avoir une vision unique du client et comment gérer la pression de communication ? Comment comprendre un client multiple et anticiper son comportement ?
  • LE CLIENT SERA SEUL Le self-service est un progrès de notre société
  • LE CLIENT SERA ECO-SENSIBLE Passer la marque à la machine sur le programme « GreenWashing » : l'occupation de ces dernières années pour les entreprises au marketing qui lave plus vert. Sous la pression d’une actualité dramatisante et de clients anxieux, presque toutes les entreprises adoptent les valeurs « développement durable » ou « respect de l’environnement », espérant réchauffer le climat entre leurs clients et elles
  • Mais le client veut des marques ou des enseignes disponibles et réactives, il désire être autonome, échanger en temps réel n’importe quel jour et à n’importe quelle heure, dans une relation personnalisée
  • En 2009, 36% des entreprises, soit deux fois plus qu’en 2008, (selon cette étude) « ont opté pour les modes de communication économiques, comme le Web et le self-service ». Parfois mauvais calcul quand on constate que –selon la même étude- « Malgré la mise en place de ces services sur Internet, les centres de contacts constatent que le nombre d’appels entrants n’a pas été impacté
  • Dès qu’on ouvre un nouveau canal de relation avec le client type Serveur Vocal Interactif, celà aurait plutôt tendance à faire croitre le nombre de contact globalement. Au bénéfice de la marque qui maitrise l’information qui la concerne et héberge la conversation, et au bénéfice du client qui choisit son mode de communication
  • apporter un vrai bénéfice au client lorsqu’il est seul. Seul face à un site Internet, avec un SVI, une borne interactive, il se sent trop souvent abandonné
  • Bénéfices évidents du client seul : l’aspect pratique et la réduction des prix.
  • LSA nous rapporte qu’une enseigne espagnole a conçu et marketé son espace de vente en trois circuits d’achat : court (convenience store), moyen (achats quotidiens) et longs (courses de la semaine) pour répondre aux besoins du client.
  • LE CLIENT SERA ORGANISE On sait que le client est multiple, tout comme le sont les propositions commerciales qui s’adressent à lui. Lorsque celles–ci manquent de clarté ou sont défaillantes dans le bénéfice réel, le client revoit ses préférences et hiérarchise ses fournisseurs. Parfois perdu (8 français sur 10 ignorent encore ce que sont les soldes flottants ), souvent sur-sollicité (rappelons que nous sommes confrontés à 400 messages commerciaux par jour-source Francoscopie 2010), le client doit s’organiser
  • les marques ont l’occasion unique de redonner du sens à leur discours avec des valeurs et de créer du lien avec leurs clients. Seront gagnantes les marques qui apporteront des preuves concrètes, qui feront des gestes sans calcul cynique sur un sujet qui n’est pas prêt de quitter l’esprit du client
  • LE CLIENT SERA AMELIORE (Photo Avatar). Le client est un roi doté de super-pouvoirs. Entourés, enrichis, connectés, les français sont 67% à avoir accès à Internet chez eux (+6% en un an), et 82% des Français de plus de 12 ans ont un téléphone mobile. Le monde dans le creux de sa main est une réalité pour déjà 5 millions de personnes utilisant Internet mobile (doublement en un an) Source : ARCEP. Le client est assisté, aidé : il ne faut plus faire partie d'une minorité de privilégiés pour savoir qu'il faut tourner à droite dans 200 mètres avec son GPS embarqué dans sa voiture ou sur son téléphone mobile... Le client français a adopté les réseaux sociaux : près de 16 millions d’inscrits dont les trois quarts pour « rester en contact avec leurs amis ». Le réseau social virtuel qui entoure le client l’aide aussi à faire des choix dans sa consommation. Selon Harris interactive (pour Fleishman Hillard), "50% des français pensent qu’Internet les aide à prendre de meilleures décisions d’achat" et "85% des consommateurs consultent les avis des internautes avant d’acheter". Le téléphone est devenu « smart » pour 3,5 millions d’utilisateurs nouveaux en une année, et pas tous des professionnels ! Que vous partiez en voyage ou que vous vous rendiez au restaurant du coin, vous trouverez sur la route de votre choix des avis de consommateurs en qui vous avez confiance.
  • prendre sa place dans un monde digital et virtuel pour y accueillir son client. Proposer de nouvelles voies d'accès et de dialogue avec lui.
  • LE CLIENT SERA OCCUPE La moitié des adolescents regardent déjà la télé en surfant sur le net et 47% utilisent leur téléphone mobile en étant connectés (source Forrester). La multi-activité se développe
  • Le client est surbooké et ce que nous nommons une maladie pour nos enfants n’est que la caricature et le signe précurseur d’un futur proche de consommateur de média. Le client n’est pas absent ou distrait, il est très occupé. Les Français ont eu en moyenne 40,4 contacts par jour avec une activité média ou multimédia (hors ordinateur) en 2009, un chiffre toujours en augmentation. Un français sur deux se connecte chaque jour à Internet, et les médias sont de plus en plus consultés sur de nouveaux supports
  • LE CLIENT SERA FAN Les grandes marques vont sortir de la crise avec panache et le client n’attend que ça. Pourquoi ? Parce qu’il a désormais la possibilité de se manifester et de faire savoir qu’il aime une marque ou qu’il s’y intéresse sur les réseaux sociaux. 40% des inscrits à Facebook sont amis ou fans des marques et 25% « suivent » des marques sur Twitter selon Razorfish
  • LE CLIENT SERA BAVARD Si je me fie à ce compteur Twitter, au mois de mars prochain, nous passerons la barre des 10 milliards de tweets. Rien qu’en France, si on suit les 25 premiers utilisateurs de ce réseau social, on peut lire 360 000 posts de 140 caractères Pour 23% des Français de plus de 12 ans inscrits sur les réseaux sociaux , le quotidien est fait de conversations.
  • Un tweet sur 5 concernerait un échange d’expérience à propos d’une marque. C’est considérable. A la recherche de la relation authentique, de l’avis sincère, le client est prêt à contribuer et donner de son temps. Sur le très fiable site d’avis consommateurs Beauté Test par exemple, tous les jours, 400 nouveaux avis sont postés et 10 à 20 nouveaux produits sont référencés. On donne la parole au client, il en fait un usage à son profit !
  • les avis seront de plus en plus donnés en temps réel (18% des membres Facebook mettent à jour leur profil depuis un téléphone mobile)
  • favoriser l’expression du client en la rationnalisant. Et face à l’infopollution, investir dans le tri sélectif
  • LE CLIENT SERA AVENTUREUX Seuls 15 %, c’est-à dire un client sur sept se déclare «fidèle » aux marques et 21 % sont moins fidèle qu’avant, c’est ce qu’avait révélé l’étude faite en 2009 à l’occasion de la Saint Fidèle sur ce blog.
  • Laurent Habib de RSCG C&O déclarait à LSA le 29 octobre dernier : «les marques ne parviennent plus à justifier leur positionnement premium, ni a susciter la préférence et la fidélité». Sensible au prix, le client observe avec un scanner dans les yeux les propositions low cost et les propositions premium, délaissant un ventre mou sans odeur et sans saveur. Il privilégie la valeur d’usage et se montre critique envers les innovations sans bénéfice
  • proposer aux clients de vraies innovations, prendre des risques. C’est le moment de mettre en pratique le subtil précepte de Jacques Séguéla (qui a le sens de la formule) : « moins de tests, plus de testicules »
  • LE CLIENT SERA ENTENDU 20% des français ont déjà dénoncé en ligne des entreprises ayant mal agi à leurs yeux TNS Sofres LSA 11/09. Nous sommes entrés dans le nouvel âge de la relation client, l’époque où le client peut s’exprimer et être entendu par des milliers de personnes (cf mon billet à ce sujet). Le patron d’Amazon disait "Si vous rendez vos clients mécontents dans le monde réèl, ils sont susceptibles d'en parler chacun à 6 amis. Sur internet, vos clients mécontents peuvent en parler chacun à 6000 amis."
  • gérer sa réputation et repenser son organisation pour l’orienter vers un client omniprésent. Il ne s’agit plus de surveiller ou faire du buzz monitoring mais bien de pratiquer une écoute active et participer à un nouvel échange.
Yan Thoinet

émergenceweb : blogue » Blog Archive » Pourquoi bloguer ? Pour se souvenir ! - 0 views

  • Comment intégrer les nouvelles générations en entreprises et surtout comment créer à leur intention une mémoire d’entreprise ? J’ai fait de nombreux billets sur mon blogue, au cours des derniers mois, pour expliquer mes réflexions sur la mémoire d’entreprise. Pour la créer, neuf pré-requis : Bâtir les savoirs (multiplication des wikis) Communiquer les savoirs (aggrégation de blogues)* Identifier les savoirs (mise en relation) Localiser les savoirs (géo-localisation) Récupérer les savoirs (Peer-to-peer avec les retraités) Documenter les savoirs (Carnets de vie)* Gérer les savoirs (Les entrepôts de données)* Rechercher les savoirs (tagging, recherche sémantique) Transmettre les savoirs (vLearning)
  • le wiki, les blogues d’entreprise sont des espaces individuels de communication et de partage, qui permettent de regrouper (ou agréger) et mettre en valeur les expertises internes.
  • les blogues sont clairement définis comme un lieu particulier où l’on trouve des groupes d’expertise, des lieux d’échanges et de communication sur des sujets très précis et pertinents à la mission et aux objectifs d’affaires de l’entreprise.
  • ...8 more annotations...
  • mélanger (mashup) deux technologies du Web 2.0, soit le blogue et les fils de presse Web, que l’on nomme habituellement flux RSS (pour Really Simple Syndication), et ainsi de créer un mini-portail personnalisé de blogues d’expertise, selon l’unité, la division, le service.
  • Faites la transposition de Netvibes en entreprise… Il est donc facile de concevoir, par exemple, une agrégation de blogues d’experts en vins à la SAQ, de conseillers en rénovation chez Rona ou d’experts en efficacité énergétique à Hydro-Québec !
  • Pour toutes sortes de raisons, bonnes ou mauvaises, on craint que cette « liberté d’opinion » mette en danger l’image, la sécurité, la réputation et les avantages concurrentiels.
  • Il n’est pas rare de voir des employés d’entreprises ou de sociétés publiques tenir leur propre blogue professionnel. Pourquoi ne pas utiliser ces forces vives pour la construction d’une expertise collective interne
  • À l’interne, on a donc mis ces produits à bon usage. Résultat : 26 000 blogues individuels, 20 000 wikis regroupant 100 000 participants… et un réseau social appelé BluePages qui «réseaute» plus de 400 000 personnes ! Tous les employés peuvent bloguer et «podcaster». Pour éviter les débordements, personne n’est autorisé à rester anonyme dans l’intranet et l’entreprise s’attend à ce que chacun respecte un code de conduite spécifique.
  • Et, en plus de déclencher le partage de connaissance et d’expertise, les agrégations de blogues, ou fermes de blogues, comme certains les nomment, permettent l’articulation et l’organisation des idées, développent et maintiennent les expertises, humanisent l’entreprise, génèrent la communication et favorisent l’appartenance à l’entreprise.
  • dans la majorité des sondages internes effectués par les entreprises sur la satisfaction des employés, la question de la non-reconnaissance de l’expertise et des réalisations des employés revient toujours
  • Combien de fois entend-on la réflexion suivante en entreprise : « Mon expertise n’est pas reconnue. Ils préfèrent écouter un consultant externe » ? Les blogues d’expertise constituent une des réponses à cette question.
Christophe Deschamps

Management 2.0 : quel rôle pour le management de proximité dans les organisat... - 0 views

  • Dans l'entreprise 2.0, l'information devient accessible à tous et le manager perd ce pouvoir traditionnel. De même, le rôle du manager est d'évaluer son équipe. Dans un système en réseau on est beaucoup plus proche d'un "personal branding interne" qui va forcément jouer sur la réputation du collaborateur au sein de l'entreprise. De nouveau le rôle d'évaluateur traditionnel est amoindri.
  • Comme je l'avais expliqué dans ma petite liste de conseils pour passer à l'entreprise 2.0, ne laisser personne derrière soi, que ce soit d'un point de vue technologique ou organisationnel. Plus les managers de proximités seront impliqués tôt, moins ils auront l'impression d'être "la dernière roue du carrosse" et seront ouverts à ce changement.
  • L'évaluation de la performance non plus individuelle, mais collective doit les inclure. Les managers de proximités jouent un rôle dans ce changement culturel et eux aussi doivent être reconnus pour ce travail d'apports à l'entreprise collaborative. Cela doit faire partie de leur évaluation, même si eux aussi devront s'adapter à cette idée de "personnal branding interne".
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    Problématique cruciale pour l'entreprise 2.0
Eric Delcroix

Twitter et les TPE : Interview de Pascal Frion - IEIFKMDC - 0 views

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    Si on se place dans une petite entreprise traditionnelle, la vision de Twitter est vite faite. Dans une petite entreprise, il n'y a pas seulement quelques milliers de personnes, comme de nombreux disc ... Hébergé par Overblog
Christophe Deschamps

L'entreprise 2.0 et le mythe de la création de contenu - 0 views

  • L’employé ne produit pas des contenus mais de l’information, il en produit de plus en plus, et en vertu du principe selon lequel “si seulement l’entreprise savait ce que sait l’entreprise”, il serait bon qu’il en produise davantage.
  • Une collection de best practices que personne ne consulte et ne met en œuvre n’a d’autre valeur que celle d’exister. Il faut donc peu a peu faire acquérir ce réflexe aux collaborateurs, faire en sorte que concentrer expression des besoins et des solutions en un même endroit.
  • La “génération du contenu” étant un acte unique alors que le besoin pouvant se répeter un nombre indéfini de fois dans le temps temps, éviter ce qui était une perte de temps a priori donne lieu à de multiples pertes de temps a postériori.
  • ...4 more annotations...
  • l’entreprise a l’habitude de considérer que ce qui ne répond pas à ces critères ne sert à rien (ce qui n’est pas faut car ne répondant pas à un besoin) et donc que sa génération est du temps perdu. C’est là où les fameux contenus resemblent à ceux du web 2.0 : générés, mis à dispostion, sans pour autant savoir a priori comment ils seront utilisés par la suite. Et lorsqu’elle ne sait pas a priori a quoi quelque chose va servir, l’entreprise a tendance à decreter que ce quelque chose est inutile.
  • Cette mise en relation sera logicielle et humaine. Logicielle car il existe aujourd’hui des outils de publication / classement / évaluation / recherche / redirection de l’information parfaitement adaptés.
  • Humaine ensuite car la logique de sollicitation de ses contacts afin qu’à leur tour ils sollicitent les leurs afin de trouver une solution, une réponse, qui est existe et a prouvé son efficacité depuis la nuit des temps de va pas disparaitre pour autant. Il s’agit simplement de la faciliter, connecter les bonnes personnes sur des critères de pertinence afin qu’elles intéragissent entre elles, partagent informations et contacts. Par contre le caractère chronophage de ce type de pratique est proportionnel à la taille de l’organisation. Il s’agit donc de fluidifer et rationaliser tout cela, et là intervient la composante réseau social qui va devenir bientôt nécessaire à tout système d’information nécessaire.
  • rien ne sera possible tant que la logique amenant du contenu à la valeur ne sera pas explicitée et que ce qui permet de passer de l’un à l’autre ne sera pas mis en place. Contenus, outils et bonnes pratiques ne se suffisent pas, il faut les trois. Et les managers verront alors l’intérêt de voir leurs équipes générer du contenu.
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    Très bon article de Bertrand Duperrin sur la création de contenu dans l'entreprise et comment y parvenir.
Christophe Deschamps

KnowledgeMag - Numéro 1 - Octobre 2008 - 0 views

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    Loin d'être figées, les activités de veille dans les entreprises évoluent. La tendance actuelle est de favoriser la collaboration au sein d'une même entreprise entre les personnes impliquées dans le processus de veille mais aussi, et c'est plus récent, entre plusieurs entreprises notamment au travers des réseaux d'entreprises. Cette tendance à la collaboration intra et inter entreprises s'est nettement accélérée avec l'arrivée du web 2.0, de ses nouveaux modes de travail et de ses nouveaux outils.
Christophe Deschamps

Entreprise 2.0 en 2011 : la valeur ou le déni ? - 3 views

  • Maintenant il y a loin des discours aux actes et tout dépendra de la capacité de l’entreprise 2.0 à sortir d’une forme de déni d’entreprise. Accepter de parler franchement de valeur, mettre les mains dans les sujets complexes et sensibles de la mécanique productive, sortir de la vision idéaliste et angélique d’une entreprise rêvée menée par la passion, l’ouverture et les bons sentiments seront des sujets clé en 2011.
  • C’est ce qu’il nomme la mise en capacité de l’organisation par la technologie (ou tech-enabled organization). Ce mode de fonctionnement étant rendu souhaitable, voire nécessaire, par la transformation des modes de travail induite par l’évolution de notre économie et des modèles de création de valeur, on a essayé d’implanter ces fameux outils dans l’entreprise. Souvent en vain. On s’est alors rendu compte (pour ceux qui en doutaient) que l’outil n’était qu’un facilitateur
  • il est devenu évident qu’il fallait s’attaquer en profondeur à la structure du travail et de l’organisation (voir mes “prédictions” 2009 et 2010), à la fois pour rendre les choses possibles et pour s’assurer du bénéfice de l’opération en termes de création de valeur. Ce qui a amené un certain consensus courant 2010 vers la nécessité de s’attaquer, entre autres, aux business process à la fois pour des raisons d’alignement et d’impact sur la valeur.
  • ...12 more annotations...
  • Récapitulons : • Prise de conscience qu’il faut s’attaquer aux rouages, à la mécanique de l’organisation • Prise de conscience qu’il faut articuler les dynamiques “hors flux” et “dans le flux” de travail (in the flow et above the flow pour les érudits). • Prise de conscience qu’il faut aller au delà des simples dynamiques communautaires. • Développement, par ailleurs, d’un grand savoir faire sur la mise en place de ces dynamiques communautaires. Soyons honnêtes : on a les best practices, des monceaux de méthodologie, des cas à foison et des outils pour supporter le tout. On sait faire fonctionner des communautés et ce qui donne le sentiment contraire, fait penser que la réussite dans ce domaine est rare, c’est qu’on veut transformer en communautés ce qui n’en n’est pas (d’où l’intérêt d’aller voir au delà…). • On a des outils qui tiennent la route.
  • N’avez vous pas remarqué que finalement peu de choses nouvelles vraiment intéressantes ont été dites ou écrites ces derniers mois (j’ai dit “peu”…pas “pas”) ? Qu’on pourrait republier nos billets d’il y a un an sans que personne ne s’en rende compte ? Deux reponses à cela : soit nous étions quelques visionnaires vraiment en avance…soit rien n’a changé. Et je penche plutôt pour la seconde solution.
  • La raison ? Le microcosme 2.0 se complait dans une forme d’angélisme fondé sur une sorte de “flower power management” qui aurait été de bon teint dans les années 70. Tout doit n’être qu’engagement volontaire, passion, démonstration, engouement. Le process c’est le vieux monde et c’est sale. La valeur et l’argent aussi. Le ROI n’en parlons pas. Il y a un point de basculement a passer, des choses à acter, une direction à prendre mais au delà du consensus mou il y a une gêne évidente. On rechigne a abandonner le territoire de l’entreprise confraternelle idéalisée pour mettre le bleu de chauffe et aller réparer la chaudière et la tuyauterie dans la salle des machines.
  • quelques tendances fortes pour 2011 :
  • 1°) Futile : Beaucoup de temps et d’énergie seront gaspillés à discuter les mérites respectifs de l’entreprise 2.0 et du social business. Ca évitera de parler d’autre chose et laissera les entreprises dans un doute encore plus profond qu’aujourd’hui.
  • 2°) Stratégique : soit l‘entreprise 2.0 reste dans le déni de réalité soit elle met les mains dans le cambouis. Dans le second cas on sera encore là pour parler du sujet dans un an ou deux, avec des résultats tangibles et mesurables, dans le premier les entreprises se seront lassées avant.
  • Avoir le courage de parler des sujets qui font peur : redéfinir le travail, la manière dont on évalue la contribution de chacun à la création de valeur, dont on rémunère les gens en fonction, trouver des indicateurs financiers et comptables pertinents pour rendre les modes de fonctionnement nouveaux acceptables.
  • Assumer le fait que soit on parle d’un projet stratégique d’entreprise qui doit s’imposer à tous, ce qui implique d’assumer ses choix et avoir le courage d’en tirer toutes les conséquences, soit on est dans le nice to have cosmétique et se demander si l’énergie et l’argent dépensés en valent la peine.
  • Et attendons à entendre des choses du genre “pour faire les malins avec des médias sociaux et avoir des discussions sympas y’a du monde, pour régler des vrais problèmes business y’a plus personne”. Et ça sera mérité.
  • On ne transformera pas l’essai tant que les “outils sociaux” constitueront une bulle à part, seront indépendants du reste des outils de l’entreprise. Devoir dire à un utilisateur : “rendez vous sur tel outil” c’est déjà perdre la partie.
  • intégration avec toute type d’outil du SI traditionnel et possibilité d’utiliser (et enrichir)les fonctionnalités de l’application en tant que services hors de l’application, au sein d’une couche sociale commune à l’ensemble du SI.
  • Une entreprise est une structure économique et sociale qui regroupe des moyens humains, matériels, immatériels (service) et financiers, qui sont combinés de manière organisée pour fournir des biens ou des services à des clients dans un environnement concurrentiel (le marché) ou non concurrentiel (le monopole) avec un objectif de rentabilité.
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    Excellent billet de @bduperrin
Christophe Deschamps

Ce qui manque aux médias sociaux ? L'intelligence - 4 views

  • La valeur de ces outils dans l’entreprise repose sur l’intelligence, et ce à double titre :- l’intelligence que les utilisateurs y déposent- l’intelligence dont ils font preuve pour s’y retrouver
  • Aujourd’hui les utilisateurs les plus actifs en entreprise sont ceux qui satisfont le second critère, que ce soit par habitude personnelle ou capacité à apprendre vite. Ce qui pose deux problèmes :- la valeur résultant d’un certain niveau critique d’utilisation, il faut aller au delà de ce premier groupe de personnes et rendre les choses simples pour n’importe qui dans l’entreprise.- tout étant question de temps, il est logique qu’au niveau de l’entreprise on soit soucieux de voir les collaborateurs utiliser leur temps pour partager de l’intelligence et l’utiliser dans le cadre de leur travail que la trier pour se la rendre utilisable.
  • il serait bon de ne pas seulement se fier à l’intelligence des utilisateurs mais également essayer d’incorporer une forme d’intelligence dans le produit. Autrement dit, après avoir exploré la manière de mettre les logiques de social media au service de la Business Intelligence, essayons de mettre la BI au service de ces outils.
  • ...5 more annotations...
  • il importe donc de réunir l’ensemble de ces signaux en un endroit unique où ils pourront être traités sans que le collaborateur ne se disperse, ce qui rend encore plus indispensable de rendre cet endroit unique intelligent. Cela peut se faire de deux manières :- en laissant l’utilisateur “dire” à l’outil ce qui est le plus important pour lui- en rendant l’outil capable de comprendre les priorités de chacun en apprenant de leurs usages, ce qui est un pur travail de BI.
  • on ne s’attend pas une seconde à ce qu’un outil métier anticipe un besoin et vienne se mêler à une conversation. C’est pourtant quelque chose de souhaitable qui finira bien par arriver.
  • . Plus on rendra le système intelligent plus le collaborateur pourra se consacrer à des tâches où sa valeur ajoutée est unique, où il est irremplaçable. L’outil métier, avant d’intéragir avec l’utilisateur doit en effet être capable d’apprendre de lui.
  • Une dernière raison à cette évolution inéluctable : lorsqu’on regarde le marché des logiciels “sociaux” d’entreprise on ne peut que constater deux choses :- leur valeur réside dans l’intelligence des collaborateurs- en termes de produit n’importe qui peut, avec quelques moyens, développer une application comprenant blogs, wikis, boomarks, microblog, espaces communautaires et activity stream. La preuve : de nouvelles plateformes voient le jour chaque semaine et la plupart se ressemblent trait pour trait.
  • Pour exister durablement sur ce marché, un éditeur devra apporter une valeur ajoutée propre, interne au produit. On va donc passer d’outils “qui ne font rien” et tirent leur valeur de ce que font les utilisateurs à des outils qui “font” et apportent une valeur ajoutée à l’utilisateur.
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    Bertrand Duperrin pour l'intégration d'algos apprenants et de BI dans les plateformes sociales, au service de l'utilisateur final. Comment être contre?
Christophe Deschamps

L'homophilie peut-elle freiner les dynamiques de réseau? - 3 views

  • Si le concept d'homophilie - les personnes qui se ressemblent ont de fortes chances de se rassembler - peut jouer de façon positive sur les dynamiques des réseaux sociaux, il est également à l'origine d'interférences sur les mécaniques relationnelles
  • Dans les logiques de réseaux professionnels, l'intégration d'un salarié dans un groupe correspond à une validation managériale, qui vise à encourager l'activité réelle et productive des acteurs de l'entreprise", développe-t-il. Ainsi, selon le spécialiste, il s'agit d'une logique beaucoup plus fonctionnelle qu'affinitaire. Cette première différence corrige certains écueils de l'homophilie. "La deuxième différence majeure, qui nuance également ce phénomène, c'est la présence de community managers sur les plates-formes collaboratives professionnelles"
  • Le principal : ces membres perdent contact avec les autres groupes du réseau. En entreprise, des distanciations sont aussi possibles, liées aux mouvements à l'œuvre au sein de l'institution : "si l'on change de service, si l'on cesse de travailler sur un projet, s'il y a une réorganisation des groupes de travail, des connexions peuvent se briser", note le spécialiste. "C'est la raison pour laquelle il faut renforcer les méta-connexions, les nuages de tags, les passerelles entre les secteurs d'activité"
Yan Thoinet

Entreprise 2.0 at Savoirs en réseau - 0 views

  • 2008, l’année de l’entreprise 2.0 selon Forrester 03.02.08 - 12:45 Selon le Forrester Research, l’année 2008 sera l’année de l’entreprise 2.0. Toujours selon lui, 42 % des entreprises n’envisagent pas de recourir aux technologies Web 2.0. Et pourtant, trois raisons résumées par Anthony Poncier, devraient les faire changer d’avis : 1. De nombreuses personnes qui travaillent dans les nouvelles techonologies utilisent déjà des services web […]
Yan Thoinet

Entreprise 2.0 - Wikipédia - 0 views

  • "Entreprise 2.0 est un terme pour les technologies et pratiques commerciales qui libère la force de travail des contraintes des outils de communication et de productivité comme l'email. Il permet aux cadres d'accéder à la bonne information au bon moment à travers un réseau d'applications inter-connectées, services et dispositifs. Entreprise 2.0 permet d'accéder à l'intelligence collective de nombreuses personnes, transférant un énorme avantage compétitif se traduisant par une augmentation de l'innovation, la productivité et de l'agilité."
Yan Thoinet

Bloc Note de Bertrand DUPERRIN » Comment passer votre entreprise au 2.0 - 0 views

  • S’il s’agit juste d’adopter des outils 2.0 en interne je suis 100% d’accord avec Euan. Laissons faire…Il est évident qu’aucune entreprise ne pouvant tolérer de laisser rentrer de nouveaux outils, cela doit se faire à la marge de l’organisation dont on espère bien que l’inertie empêche un éventuel contre-feux en attendant que s’installent des pratiques que personne ne remettre alors en cause
  • ce qui caractérise l’adoption d’outils 2.0 n’est pas l’outil en soi mais la manière dont en s’en sert. Il ne s’agit pas là d’installer à la sauvette un navigateur web autre que le navigateur officiel certifié par la DSI de l’entreprise
  • Oui. A moins que… A moins que l’entreprise ne décide elle même que l’adoption de nouveaux modes d’interactions interpersonnels ne soit nécessaire à sa compétitivité dans le monde d’aujourd’hui. Et la seule manière de rendre ces pratiques effectives dans l’entreprise déconcontrée est de rendre ces pratiques effectives sur le seul lieu de rencontre et d’échange commun à tous les membres de l’entreprise : l’intranet.
    • Yan Thoinet
       
      Ca tombe bien ; )
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  • Les outils seraient donc, à ce moment, le support d’une politique d’entreprise et ils y trouveraient de suite leur place par le besoin même de l’organisation.
  • Stratégie 2.0 implique ==> Management 2.0, Outils 2.0, marketing 2.0, recrutement 2.0, Rh 2.0 afin de construire ==> Entreprise 2.0.
  • Le projet entreprise 2.0 doit donc être un projet d’entreprise.
Yan Thoinet

Le meilleur moteur de recherche c'est vous | Bloc Note de Bertrand DUPERRIN - 0 views

  • l’information est le nerf de la guerre d’une part, et on en a de plus en plus d’autre part.
  • Ce qui revient peu ou prou à reconnaitre que le meilleur moteur de recherche n’est autre que l’individu, les moteurs “outils” les plus performants ne faisant finalement que capitaliser les comportements des utilisateurs humains
  • le meilleur moyen de trouver la bonne information reste d’essayer de trouver la personne qui la connait.
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  • Le rapport du Aspen Institute ne concluait il pas que “la forme la plus accessible de connaissance est la conversation” ? Reste à faire naitre les dynamiques d’échanges informels qui permettent ces transferts de connaissance, et capitaliser le tout.
  • roiser les expériences acquises dans chacun des domaines permet souvent des enrichissements possibles et même une capacité d’innovation”.
  • Il faut renforcer la convergence des actions et des efforts de chacun, organiser de nouvelles relations entre acteurs, abolir des clivages désuets et contribuer à la naissance de nouvelles coopérations. Cela commence immanquablement par des dialogues. D’où la nécessité de façonner leurs”creusets”
Yan Thoinet

Les outils 2.0 en entreprise exigent un temps d'adaptation - 0 views

  • L'usage des Wikis, des blogs, des flux RSS, des podcasts ou des réseaux sociaux est à peu près partout en augmentation
  • Paradoxalement, les Etats-Unis sont le continent où le web 2.0 suscite le plus de réserves avec environ un tiers de personnes insatisfaites
  • à l'enthousiasme des débuts succède souvent une prise de conscience des difficultés qu'il y a à tirer parti de ces outils qui ne sont pas une fin en soi.
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  • percée sur de nouveaux marchés
  • développer l'interactivité avec ses clients et ses partenaires.
Christophe Deschamps

L'entreprise et le web - 0 views

  • On ne consulte plus le web, on l’utilise.
  • Interfaces légères, utilisation intuitive, dimension sociale : on ne regarde plus le web sans se parler entre nous mais on s’en sert pour intéragir.
  • Soyons honnêtes, tout cela a été quelque peu survendu mais la masse critique était telle qu’il devait forcément en sortir quelque chose.
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  • Un des éléments nécessaires au succès était le contexte, une dimension largement moins facile à importer que la technologie elle-même.
  • Pour la première fois l’appropriation technologique que l’entreprise pratiquait jusque là avec succès devait se doubler d’une appropriation comportementale. Un challenge d’autant plus difficile que les personnes en charge de l’un ne sont pas celles en charge de l’autre et que les fameux “usages” inquiétaient à juste titre : il fallait de plus les professionnaliser.
  • La professionalisation des usages est possible mais encore difficile à comprendre pour l’entreprise qui a besoin de quelque chose de plus structurant pour avancer. Ce qui amène à penser que la prochaine étape sera davantagé liée aux processus opérationnels.
  • Il n’est plus question ici d’importer des technologies mais de construire des “services” répondant à des besoins organisationnels. Cela peut sembler complexe mais c’est en fait plus compréhensible pour l’entreprise  car se rapproche de logiques d’organisation de production qui lui sont plus familières que les logiques d’usage. Par services j’entend des couples “outils / mode de travail”
  • Le “web en tant que plateforme” au sein de l’entreprise va servir à enrichir les processus existants et donner de l’autonomie au collaborateur pour atteindre ses objectifs dans une entreprise en réseau.
  • Et dans l’entreprise utilisation signifie production et gains de productivité.
  • Un alignement des outils doit donc également être mis en place. Le collaborateur ne peut passer sa vie à servir de gare de triage entre les flux des outils internes, des outils utilisés avec clients et partenaires et des outils permettant de communiquer avec le monde au sens large.
  • En fait la qualité de l’adoption du web dans une entreprise dépend quasi exclusivement de la capacité de celle-ci  à penser conjointement l’évolution de la technologie, des modes de travail et des rapports de l’entreprise à son ecosystème.
  • La preuve que finalement le web en tant que tel n’a aucune importance : il arrive naturellement dans tout projet d’entreprise bien pensé, s’appuyant sur une vraie vision.
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    Finalement beaucoup de débats actuels sont liés à la capacité de l'entreprise à comprendre, apprivoiser et utiliser le web à son profit, en interne. Un sujet a priori anodin puisque purement technologique et nécessitant des compétences autrement plus simples que celles mises en œuvres jusque là sur les infrastructures d'entreprise. Mais au final un sujet pas si anodin que cela.
Christophe Deschamps

Socialiser son entreprise ? Qu'est ce que ce cela veut dire - 0 views

  • Dites “on va lancer une démarche KM” ne présage en rien de sa réussite mais permet à n’importe qui dans l’entreprise de comprendre de quoi on parle. Dites donc “la solution est une démarche entreprise 2.0″ et voyez l’air dubitatif de 95% des collaborateurs et vous comprendrez que vous n’êtes pas sorti de l’auberge.
  • Toute le monde a besoin de comprendre “pourquoi, quoi, comment ?”. C’est la condition préalable à l’appropriation indispensable qui est une condition de réussite. Et cette appropriation nécessite donc non d’amener l’interlocuteur sur un terrain inconnu donc considéré comme hostile, mais de partir d’un terrain connu et d’en repousser les frontières. Le tout en ayant du sens par rapport à leur quotidien, à ce qui constitue leur paradigme actuel.
  • la nécessité d’impliquer le client dans un grand nombre de processus qui, auparavant, étaient exclusivement internes, est aujourd’hui évidente. Et l’impact sur le cœur du business l’est tout autant. Cela répond à la question “pourquoi faire autrement ce que je fais aujourd’hui très bien en isolant et cloisonnant”
  • ...7 more annotations...
  • La question n’est pas de mettre du “social” partout et n’importe où mais d’en mettre là où cela contribue à faire mieux.
  • La socialisation permet donc ici d’identifier, mobiliser et faire intéragir de manière plus ou moins provisoire des personnes extérieures à l’équipe “formelle”. Voire de favoriser les intéractions au sein de cette équipe et favoriser la formalisation des expériences “au fil de l’eau”.
  • L’objectif est clair : rendre possible l’exécution d’un process, d’une succession de tâches, en minimisant les retards liés aux circonstances imprévues et en l’améliorant au vu des “correctifs” effectués.
  • ci on crée des intéractions en fonction de besoins réels, de problèmes quotidiens sans essayer de donner corps à d’hypothétiques communautés qu’on aimerait voir échanger dans le vide.
  • un process de résolution de problème et d’amélioration permanent. Une logique qui s’outille avec des wikis, blogs, profils riches, outils de microblogging, réseaux sociaux… mais dont la logique est compréhensible de tous.
  • Bien sur tout ne se socialise pas, d’une part, et selon des périmètres restreints, d’autre part. Parfois ce sera au sein d’une équipe, parfois au niveau de l’entreprise, parfois avec des clients, et d’autres avec le grand public.
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    L'objectif ici n'est pas de disserter sur une quelconque approche du management mais de positionner l'entreprise 2.0 par rapport à l'entreprise "réelle".
Christelle Gamache

Entreprise 2.0 et dircom's : le mythe de la prise de parole | Bloc-Notes de Bertrand DU... - 0 views

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    Au rang des multiples incompréhensions qui peuvent freiner la diffusion de nouvelles pratiques et des outils qui les accompagnent, on trouve la crainte que la direction de la communication peut avoir de ce qui est présenté comme étant une libération de la prise de parole du collaborateur.
Christophe Deschamps

Obtenir des résultats grâce aux réseaux sociaux - 0 views

  • Il est donc plus que jamais temps de comprendre que : • Business (or corporate) Social Netwoks have nothing to do with General Public  Social Networks on the web.
  • • Le réseau social n’est pas né avec les logiciels du même nom qui ne sont que des catalyseurs. C’est la manière dont travaillent effectivement les collaborateurs depuis longtemps. Votre entreprise est truffée de réseaux sociaux quand bien même aucun collaborateur n’aurait d’ordinateur à sa disposition.
  • • Le réseau social n’est pas quelque chose de figé et stable que l’on “met en place”, c’est quelque chose de mouvant, de vivant, dont l’activité interne n’est pas prévisible.
  • ...4 more annotations...
  • • Le réseau social n’est pas un enchevêtrement de personnes qui se “lient” et échangent (ou non) de l’information. C’est une manière de travailler afin d’obtenir des résultats. On parle trop de Facebook alors que le concept même de réseau social en entreprise n’a rien à voir, a des règles et des objectifs qui lui sont propres
  • En effet ça n’est pas parce que ces réseaux sont pas définition informels que l’entreprise doit les négliger, ou pire, les combattre. Il y a des méthodologies permettant de comprendre le fonctionnement des réseaux internes à l’entreprise, d’en identifier les acteurs clé, d’identifier les circuits de création de valeur afin de pouvoir en tirer le meilleur. Et essayer de les développer là où ils sont nécessaires.
  • la contribution d’un individu à la création de valeur n’est pas forcément liée à son poste mais peut résulter de son rôle central dans un réseau ou entre deux réseaux.
  • Je suis d’ailleurs surpris du nombre d’entreprises qui se lancent dans des projets de réseaux sociaux sans avoir pris la peine de comprendre leur rôle actuel dans leur organisation et essayent de développer des réseaux en partant de rien et en recopiant leur organigramme tout en négligeant totalement de procéder à une analyse de l’existant.
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    Compte-rendu de l'ouvrage Driving Results Through Social Networks de Robert Cross.
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