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Laurent Bordet

Yupeek : le réseau social pour étudiants, entreprises et écoles - 0 views

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    Avantage de ce réseau social pour les entreprises, les écoles / universités et les étudiants
Laurent Bordet

Démocratisation du supérieur : le conseil économique et social remet de timid... - 0 views

  • "En 1970, 75% des étudiants étaient à l’université, aujourd’hui ils ne sont plus que 56%. Les écoles publiques et privées ont bénéficié de cette situation sans que cela améliore le nombre de diplômés du supérieur". Selon lui : "l'université doit reprendre une place centrale dans l'enseignement supérieur et les filières courtes, les BTS et les IUT, doivent bénéficier davantage aux bacs professionnels et technologiques". L’avis du CESE en cela n’innove guère. Il a cependant le mérite de corroborer les résultats de l’enquête générationnelle 2007 du CEREQ ainsi que les études menées par la DEPP.
Laurent Bordet

« Les écoles et les universités doivent former à la responsabilité sociale » ... - 0 views

  • Comment transformer le contenu de l’enseignement ?Il faut apprendre aux futurs managers à être socialement responsables et pour cela le contenu des formations ne doit pas être exclusivement orienté vers les recruteurs. L’enseignement doit les former aux enjeux de la société et leur donner de nouvelles compétences en faisant intervenir l’ensemble des parties prenantes avec qui ils devront coconstruire (ONG, syndicats, experts en risques psychosociaux, etc). Car ils seront confrontés un jour ou l’autre à la gestion de ces risques. Les entreprises ont besoin de dirigeants qui sauront dialoguer avec des publics différents, qui auront une vison de long terme pour l’entreprise tout en sachant répondre aux impératifs du court-terme. Demain, les ressources naturelles seront insuffisantes et coûteront trop cher aux entreprises de ne pas récupérer leurs déchets...Gérer la rareté et être capable de modifier le business model sera impératif. 
  • Où en est le processus de labellisation pour les campus durables ?La Conférence des Présidents d’Université (CPU) et la Conférence des Grandes Ecoles (CGE) ont créé un comité labellisation et travaillent à le mettre en cohérence avec les autres initiatives internationales, comme « Stars » aux USA ou « LIFE » en Grande- Bretagne. Les premiers labels seront attribués en 2013. A terme, nous esperons que ces labels deviennent un des critères pour l’évaluation des écoles et des universités. 
Laurent Bordet

Ce que "l'enfer des prépas" ne dit pas - LeMonde.fr - 0 views

  • Est-on si sûr en fin de compte que les premiers cycles universitaires soient moins "infernaux" et plus épanouissants que les prépas, avec leurs amphis bondés, leurs classes de TD surchargées, leur absence de suivi individualisé, leurs emplois du temps en forme de gruyère, leur spécialisation précoce, et leurs professeurs trop souvent inaccessibles ? Et moins socialement inégaux, quand les enfants d'ouvriers à l'université sont 12,3 % en licence, 7,7 % en master et 4,7 % en doctorat ? Sur-sélection insidieuse car progressive et silencieuse. Aucune statistique ne permet d'ailleurs d'affirmer que la consommation d'anti-dépresseurs ou le taux de suicide sont plus élevés chez les jeunes en prépa plutôt que dans les premiers cycles universitaires.
  • L'idéal, sans doute, serait d'allier le meilleur de l'université (mixité sociale plus grande en premier cycle, lien avec la recherche, autonomie des étudiants) et le meilleur de la prépa, en créant des "Collèges universitaires" accessibles à tous, qui délivreraient les diplômes de Licence. Mais à en croire les projets des candidats déclarés à la prochaine élection présidentielle, aucun d'entre eux ne semble jusqu'à présent mesurer l'importance d'une réforme indispensable pour une jeunesse qui n'a pas le temps d'attendre.
Laurent Bordet

L'éducation à l'heure des réseaux sociaux | The Roxane Company - 0 views

  • Aujourd’hui, plus 3 millions d’étudiants américains suivent des cours en ligne, on prévoit qu’en 2019 50% des cours seront délivrés en ligne aux Etats-Unis.
  • Quant Harvard engage un directeur « marketing et communication » ce n’est pas pour travailler sur la notoriété mais bien parce que la présence sur les réseaux sociaux de la prestigieuse université est fondamentale pour son image.
  • il apparait que la communication sur les réseaux sociaux est de plus en plus importante. Et pourrait bientôt impacter les fameux classements des écoles, comme aux Etats-Unis où le site Mashable a ajouté un indicateur de « connectivité social media » au classement des universités de U.S. News.
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  • De plus, les réseaux sociaux permettent de nouvelles méthodes et fonctionnalités de travail. Notamment la mise en place de serious games ou de concours destinés aux étudiants, comme celui organisé par Viadeo : le Viadeo Student Challenge.
  • emple, Sprint subventionne et équipe une classe au Boston Emerson College en échange de leur généreuse contribution à la communication digitale du groupe (ils bloguent, tweetent et produisent des vidéos Youtube).
Laurent Bordet

Génération précaire met en garde contre un boom des stages | Question(s) soci... - 0 views

  • De quoi s'agit-il ? D'appliquer au stage les cinq critères retenus pour définir le cadre de référence de l'alternance : un temps unique de formation (6 mois non renouvelables maximum par année de formation), un pilotage de la formation associant école et entreprise, un tutorat effectif, un apprenant en situation professionnelle réelle dans le cadre d'une relation contractuelle et une reconnaissance des compétences acquises en entreprise, ce qui permettrait au stage de "recouvrer sa dimension pédagogique".
  • Pour éviter les dérives c
  • notamment certaines écoles de commerce
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  • les stages ne pourraient pas commencer avant que 50% des heures de formation n'aient été suivies et que les examens du premier semestre aient été passés.
  • ropose enfin une cotisation forfaitaire de 100 euros par stage au titre de la cotisation retraite et de 50 euros au titre de la cotisation chômage,
Laurent Bordet

La fac ? Tu raques ! - Résultat d'exploitation(s) - 0 views

  • C'est que le financement des études pose un problème majeur. Le cycle de vie peut-être vu en "U". De la naissance au premier emploi, l'individu coûte à la société. Ensuite, il a un emploi et contribue au fonctionnement de celle-ci. Enfin, à partir de la retraite, il devient à nouveau un coût.
  • les études supérieures sont financées par l'impôt. Les étudiants qui "consomment" le plus d'études sont ceux qui auront les plus gros revenus et qui paieront le plus d'impôts pour financer les études de leurs successeurs. Est-ce forcément vrai ? Le hic, c'est que si 55% des étudiants accèdent à l'enseignement supérieur, c'est vrai pour 84% des enfants d'enseignants, 80% des enfants de cadres mais seulement 36% des ouvriers non qualifiés.
  • Enfin, la non-sélection à l'entrée de l'université engendre un taux d'échec très élevé en 1ère année (25% de redoublement, 25% de sortie de l'université). Enfin, à la sélection purement académique s'ajoute une sélection par l'argent : les étudiants qui ne peuvent vivre décemment (logement, nourriture) sont contraints d'arrêter ou de raccourcir leurs études.
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  • certains prêts pour imposer un "numerus clausus" soft sur certaines filières à faibles débouchés. Plus globalement, cela pourrait être un moyen de canaliser les étudiants vers les filières les plus utiles pour la communauté. Un choix qui serait très explosif politiquement ou socialement d'autant que cela reviendrait à donner plus de choix (d'aller vers des filières "bouchées" ceci dit) aux plus riches.  
  • ertains pourront rembourser aisément le prêt mais d'autres, à cause d'un "rendement trop faible" de leur diplôme ou d'accidents ou de choix de vie, ne le pourront pas. Il faut alors aménager la possibilité d'un effacement partiel ou total de la dette. Celui-ci doit être relativement "fin" pour éviter l'aléa moral
  • a manne servant aujourd'hui à payer les universités est convertie de façon à payer à tous les étudiants, quel que soit le niveau de ressources de leurs parents, un "revenu d'autonomie". Les 25 Mds€ de budget actuels pourraient permettre d'allouer 800€/mois/étudiant.
  • ais nous avons tort de considérer le système etat-uniens comme totalement pervers et le nôtre, basé sur la liberté et une apparente quasi-gratuité, totalement vertueux. Surtout, notre système a le grand tort d'occulter totalement la question de la vie extra-scolaire de l'étudiant et transforme ceux-ci en nouveaux pauvres.  Un choix guère acceptable alors que la formation est un ingrédient indispensable de notre future compétitivité.
Laurent Bordet

Universités : les mensonges de Sarkozy - Libération - 1 views

  • En 2012, le budget total de la recherche et de l’enseignement supérieur sera de 25,4 milliards d’euros (soit un peu plus de 1,2% du PIB). Sur ce total, la moitié ira aux formations supérieures et à la recherche universitaire (12,5 milliards d’euros). Cette somme représente la totalité des moyens allant aux universités et aux diverses écoles et instituts, quel que soit leur ministère de rattachement. L’autre moitié ira aux aides étudiantes (2,2 milliards) et aux divers organismes de recherches : CNRS, ANR, Inra, Inserm, mais aussi recherche spatiale, nucléaire, etc. (10,7 milliards).
  • En attribuant les moyens des organismes de recherches aux étudiants (ce qui est douteux), on arrive péniblement à une dépense totale de l’ordre de 10 000 euros par étudiant en France, quand les Etats-Unis dépassent les 30 000 euros.
  • Que l’on ne s’y trompe pas : c’est grâce à cet investissement dans leurs campus que les Etats-Unis conservent leur suprématie économique et leur influence intellectuelle et culturelle, en dépit des failles de plus en plus évidentes de leur modèle politique et social hyperinégalitaire.
Laurent Bordet

Les secrets d'Harvard, la première des universités - 0 views

  • "Les cours doivent plaire. Il ne faut pas que les élèves s'ennuient et nous devons toujours nous interroger : comment sera reçu mon cours ? Cette question, je ne me l'étais jamais posée lorsque j'enseignais en France, seulement préoccupée du contenu du cours", confie Stéphanie Grousset-Charrière.
  • 'université est dotée d'un capital de 30 milliards de dollars géré par une centaine de professionnels rompus aux subtilités des marchés financiers. Les frais de scolarité y sont, bien sûr, élevés, à raison de 43 600 dollars l'année, mais les contributions des anciens élèves (les Alumni) sont généreuses. "En contrepartie tacite, certains enfants de ces bienfaiteurs bénéficient à leur tour d'une éducation à Harvard. Privilège inavoué ou schéma typique de reproduction sociale ?",
Laurent Bordet

Réseaux sociaux et universités, une situation paradoxale selon une étude Capg... - 1 views

  • Alors que les universités ont tout intérêt à s'emparer des réseaux sociaux pour développer des stratégies ambitieuses, elles ne font finalement qu' « acte de présence », constate Capgemini consulting dans une étude publiée sur le web fin mai 2012. Etonnant pour des établissements dont le cœur de métier se trouve précisément dans l'organisation d'interactions, dans la diffusion la plus large du savoir et dans la mise en place de réseaux pour rayonner nationalement, internationalement ou disciplinairement. Un champ des possibles s'ouvrent aux universités françaises, encore fait-il qu'elles sachent s'en saisir rapidement...
  • Une frilosité générale sur le numérique ? Le problème est peut-être précisément là. Et si la frilosité des universités envers les réseaux sociaux ne trahissait pas un mal plus profond, la difficulté à se positionner clairement dans un processus d’innovation par le numérique ? Pour Marie Angliviel, directrice associée de Capgemini consulting et responsable du pôle « enseignement supérieur et recherche », le réseau social doit s’inscrire dans le cadre d’une « politique de l’université » en matière numérique, « un sujet colossal qui touche l’ensemble des aspects de l’université, difficile à appréhender pour des structures qui doivent accompagner tant de transformations depuis la mise en place de la LRU jusqu’aux idex et autres projets du grand emprunt, aux opérations de fusion, etc. ».
  • Les universités auraient également intérêt à consolider par les réseaux sociaux « les liens avec les enseignants-chercheurs et les personnels Biatos ». Mais à cet égard, force est de déplorer le faible nombre de dispositifs alors qu’il « se passe des choses plus ambitieuses du côté des grandes écoles ».
Laurent Bordet

Financement de l'éducation : attention bombe à retardement ! | Le blog de Jea... - 0 views

  • Selon l’UNESCO, l’enseignement supérieur accueillera 262 millions d’étudiants en 2025, contre 97 millions en 2000 et 153 millions en 2007.
  • L’éducation a un coût mais la « non éducation » aura un prix bien plus élevé ! Nos jeunes générations aspirent à la connaissance et notre responsabilité est d’éviter les frustrations et les violences sociales qu’engendrerait la rupture du système.
  • Le visible : les frais de scolarité sont payés par les familles et les étudiants avec des aides (bourses). C’est le modèle anglo-saxon que la crise économique en occident met à mal.
  • ...2 more annotations...
  • oit nous arrivons à une refonte globale soit nous serons obligés de vivre un système à deux vitesses en sélectionnant de manière drastique les étudiants, par le mérite ou par l’argent.
  • l visite actuellement les campus américains et discute avec des étudiants inquiets de voir leurs droits d’inscription augmenter plus vite que l’inflation. Et
Laurent Bordet

« Le prototype de l'école d'ingénieurs généralistes à la française » | Le nou... - 0 views

  • Au niveau international, ce que l’on comprend, c’est quelque chose qui s’appelle université.
  • . Nous avons l’énorme chance d’avoir à Paris XI un président qui a très bien compris cela, le but n’étant pas de faire une université française très traditionnelle du XXe siècle, mais une université moderne avec une gouvernance moderne et des ambitions.
  • Le cycle ingénieurs est passé à 520 diplômés et la cible est de 650. Cette évolution se fera très peu par le concours mais grâce aux mesures d’ouverture sociale, d’augmentation de la proportion des étudiants étrangers, 40 % peut-être, mais on pourrait arriver au seuil limite de 50 %.
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  • Après Centrale à Pékin, on va certainement faire Centrale à Casablanca. Le Maroc, c’est beaucoup plus simple. Il y a déjà des classes préparatoires, l’enseignement en français y est excellent, le bac de très bon niveau, parfois meilleur qu’en France.
  • L’Inde possède de très belles institutions très sélectives comme l’Indian Institute of Technology et l’Indian Institute of Management qui ne prennent que quelques milliers de candidats sur le demi-million qui se présente au concours.
  • Quand même 85 % des étudiants font autre chose que de la banque ! D’ailleurs, c’est assez compliqué de faire la part de ce qui est l’industrie et ce qui n’en est pas.
  • l’assurance, notamment pour l’analyse de risques
  • L’esprit entrepreneurial
  • otre filière de troisième année de préparation à la création d’entreprise doit dépasser 10 % de la promo, avec au moins 30 élèves dans la filière entrepreneurs. Du coup, notre incubateur est plein de projets de création d’entreprises.
  • Nous voyons émerger des effets absolument négatifs avec la communication par Internet. Aussi sommes-nous actuellement très attentifs à multiplier pour les étudiants les situations de communications interpersonnelles physiques, c’est essentiel. N
  • Deuxième étape, nous réfléchissons maintenant pour relancer notre cursus, à la valeur d’une présentielle. Je suis très admiratif, par exemple de ce que font Cambridge et Oxford, où un étudiant brillant, pendant 2 ans, travaillera avec un prof qui va s’occuper de lui ! Il va l’accompagner dans son chemin, guider ses choix.
Laurent Bordet

Le Figaro - France : Les anciens étudiants, radins envers leurs facs - 0 views

  • Un sondage réalisé en octobre par Opinionway à la demande d'une agence de collecte de fonds démontre que seuls 7% des 601 diplômés de l'enseignement supérieur interrogés ont déjà donné une somme d'argent
  • le «terrain» n'est pas fermé en France, selon ce sondage qui révèle que les anciens se sentent attachés à leur établissement.
  • Ce sentiment varie de 58% à l'égard de l'université à plus de 80% pour les anciens étudiants en école de commerce et d'ingénieurs.
  • ...7 more annotations...
  • : 41% estiment ainsi «qu'il est normal de faire des dons à son école ou à son université pour participer à son développement et à son rayonnement».
  • Reste que 80% des diplômés n'ont jamais été sollicités ou n'ont jamais pensé passer à l'acte.
  • Pourquoi les autres ne donnent-ils pas ? Principalement parce qu'ils n'ont jamais été sollicités (52%) voire parce qu'ils n'en ont pas les moyens (43%). Et 18% se disent aussi hostiles au financement privé des établissements...
  • Pour les universités, la difficulté est grande car elles n'ont pas de communauté constituée d'anciens élèves.
  • Université de Toulouse I Capitole de 1999 a 2004. Des amphis poussiéreux et inconfortables, des sièges qui grincent ou qui se relevent en claquant bruyamment, des couloirs lugubres, de ordinateurs dignes de l'ex RDA, des plafonds et des murs craquelés, des lumières blafardes, un service d'information et d'orientation fantôme, ou la potiche qui vous accueille ne connait pas la différence entre un DEA et un DESS ( a l'époque , avant la réforme des Masters ) etun enseignement théorique et prétentieux, à des années lumières des attentes des entreprises et des compétences réclamées sur le marché du travail. A l'issue de 5 années passées entre ces murs glauques, 3 ans de galère de CDD en intérim, en petits boulots et postes de sous fifre pour finalement décrocher un emploi digne de ce nom, correctement rémunéré, et avec un vague rapport avec les études réalisées.
  • Je viens d'un milieu ouvrier et j'ai eu la chance de faire bonnes études universitaires quasi-gratuites qui m'ont permis de prendre l'ascenseur social. Je suis aujourd'hui cadre supérieur, reconnu dans mon domaine d'expertise. Je dis bien humblement, n'en déplaise aux libéraux pur sucre, que je n'y serais pas arrivé dans un pays où l'université est payante. Je suis reconnaissant au système universitaire français.
  • Depuis 5 ans, je suis chargé de cours dans un master II et je ne perçois pas la rémunération correspondante. C'est une façon de renvoyer l'ascenseur, agréable, car l'enseignement est aussi un plaisir. Si cela vous tente, contactez vos anciens profs, ils sont demandeurs.
  •  
    Intéressant, surtout la partie réaction... A méditer
Laurent Bordet

Le cœur de l'enseignement supérieur bascule-t-il vers d'autres horizons ? | L... - 0 views

  • le cœur de l’enseignement supérieur mondial n’est-il pas en train de basculer vers l’extrême orient et le sud ?
  • La « vieille Europe » se retrouve coincée entre les deux grandes puissances avec lesquelles ses relations ne sont pas au beau fixe : des Etats-Unis sur la défensive et une Chine flamboyante.
  • 1. Le Qatar renforce son campus d’excellence tout comme Dubaï, Singapour ou la Malaisie.
  • ...10 more annotations...
  • Sur le modèle de Singapour, les émergents misent sur la matière grise et l’innovation pour se développer et rendre leur territoire mondialement attractif. « L’innovation est essentielle pour améliorer tant l’accès à l’éducation que sa qualité », a rappelé le président de Wise.
  • Education hubs comme l’explique le journal « Le Monde » daté du 10/11/2011 (pp. 16-17) «bousculent la planète universitaire » :
  • créés à Dubaï, Singapour ou au Qatar », ils redessinent la géographie de la connaissance.
  • 2. L’EFMD accrédite l’Afrique.
  • Même si les écoles africaines n’ont pas encore atteint les standards internationaux, elles s’en rapprochent de plus en plus. Les écoles de commerce de Casablanca, d’Ifrane, d’Alger ou de Dakar occupent la tête du classement africain (hors Afrique du sud) réalisé par Jeune Afrique
  • La question, pour les étudiants africains se posera, à terme, entre un séjour en Afrique du sud, au Maroc ou en France
  • 3. Les business schools chinoises ciblent nos étudiants.
  • Les écoles de commerce chinoises ciblent les étudiants occidentaux par un recrutement agressif.
  • mais révèlent un changement profond du paysage de l’enseignement supérieur à l’échelle mondiale
  • a concurrence en matière d’enseignement supérieur se situe, aujourd’hui, à l’échelle mondiale. J’ai expliqué ce phénomène maintes fois dans ce blog. - Quelles réponses apporter ? Faut-il prendre le risque de poursuivre notre modèle concurrentiel construit autour de baronnies et de cloisonnements ou opter pour un modèle collaboratif et ouvert ? A l’avenir, les étudiants décideront de leur parcours à une échelle qui mettra l’offre des formations supérieures hexagonale au même niveau que celles offertes à l’étranger. - Le développement des écoles doit accompagner celui des entreprises. L’étudiant (français ou étranger) choisira son établissement en fonction de la qualité des relations écoles-entreprises qu’il entretiendra au plan national et international. Ayons une vision mondiale et ouverte, ne pas accepter cette mutation, c’est voire notre influence et notre positionnement décliner. *Les organismes de référence en matière d’accréditation des business schools sont les suivants : l’AACSB (Association to Advance Collegiate Schools of Business), l’EFMD (European Foundation for Management Development, Equis ou Epas) et l’AMBA (Association of MBAs). Share and Enjoy: Tags: Afrique, Chine, Enseignement supérieur Article du on Jeudi, novembre 10th, 2011 at 10:57 dans la rubrique Enseignement supérieur, géopolitique. Pour suivre les flux RSS de cet article : RSS 2.0 feed. Vous pouvez laisser un commentaire , ou un trackback sur votre propre site. « Et pourquoi pas un G20 Education ? Laisser un commentaire Name (required) Mail (will not be published) (required) Website Un blog A propos du Blog Tous les blogs Educpros Charte du blog Flux RSS Pages À propos Géopolitique Articles récents Le cœur de l’enseignement supérieur bascule-t-il vers d’autres horizons ? Et pourquoi pas un G20 Education ? Quand broyer du noir n’est pas forcément synonyme de morosité L’enjeu des compétences métier Relations étudiants/entreprises : il faut s’attendre à des surprises. Catégories Conjoncture économique Voir tous les articles classés dans diversit
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