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Emmanuel AURAY

Pourquoi les réfugiés de guerre doivent-ils encore risquer leurs vies pour de... - 0 views

  • Pourquoi les Syriens, une fois arrivés en Turquie, au Liban ou en Jordanie, ne demandent-ils pas tout simplement un visa auprès des ambassades consulats européens, plutôt que d’entreprendre un périlleux et coûteux voyage ? Avec un visa, ils pourraient se rendre en Europe en avion. Et demander l’asile une fois sur place sans devoir se risquer dans des embarcations de fortunes ni confier leur vie à des criminels potentiels. Un vol du Liban ou de Turquie vers l’Allemagne, la France ou la Suède coûte quelques centaines d’euros, bien moins que le chemin extrêmement dangereux de la mer et des Balkans. Un voyage pendant lequel les réfugiés n’ont d’autres choix que d’enrichir les passeurs et d’alimenter la corruption. Ce serait évidemment beaucoup plus simple. Trop simple pour l’Union européenne.
  • Dans les faits, les demandes d’asile déposées dans les aéroports sont très peu nombreuses : 1100 en France en 2014 , 643 dans les aéroports allemands la même année, dont 178 de Syriens, 96 d’Afghans... [7] Car les États de l’UE ne donnent presque pas de possibilités légales et sûres pour les réfugiés syriens de se rendre en Europe. « C’est absurde, nous avons en Europe un système d’asile, et c’est bien, mais pas de système d’accès à l’asile, analyse Ska Keller. Il faut créer des voies légales d’arrivée en Europe pour les réfugiés. »
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    Mise en cause de l'hypocrisie des États européens
Emmanuel AURAY

Les scolarités des enfants d'immigrés de la sixième au baccalauréat : différe... - 0 views

  • les origines migratoires réduisent les performances scolaires en début de parcours (effet primaire), mais les augmentent au moment de l’orientation à l’issue du collège (effet secondaire)
  • Une autre explication est à rechercher du côté des aspirations élevées des parents immigrés, maghrébins en particulier, et de la persévérance des enfants à rester dans les filières académiques, pour éviter les métiers non qualifiés, le chômage et anticiper la discrimination sur le marché du travail. Les mobilisations familiales sont fortes dans certaines familles compte tenu des ressources initiales.
  • Les élèves d’origine maghrébine sont ensuite dirigés principalement vers les filières technologiques. S’agit-il d’une « seconde chance ou [d’une] élimination différée ? »
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