"Internet est le réseau informatique mondial accessible au public. C'est un réseau de réseaux, sans centre névralgique, composé de millions de réseaux aussi bien publics que privés, universitaires, commerciaux et gouvernementaux, eux-mêmes regroupés, en 2014, en 47 000 réseaux autonomes."
Le programme gouvernemental Transition Numérique vise à former les entreprises sur les usages professionnels du numérique. E-commerce, géolocalisation, terminaux mobiles, réseaux sociaux, gestion informatisée, logiciels de CRM, export, dématérialisation, etc. : tous les thèmes seront abordés et permettront aux entreprises d'assurer leur transition vers l'économie numérique.
Vinton "Vint" Gray Cerf, né le 23 juin 1943 à New Haven, au Connecticut, aux Etats-Unis, est ingénieur, inventeur et entrepreneur. Il est l'un des co-inventeurs du protocole TCP/IP qui permettra de relier différents réseaux ensemble et donnera ainsi naissance à Internet. Il est de ce fait considéré comme l'un des pères fondateurs d'Internet.
"La notion de réseau s'appuie précisément sur cet équilibre entre les clients (les machines que nous avons sous la main) et les serveurs (les machines appartenant au fournisseur du service en question)."
"Louis Pouzin est un des premiers ingénieurs français à s'intéresser à la discipline de l'informatique.
Dans les années 1970, sur la base de ses connaissances acquises au MIT (Massachusetts Institute of Technology) et chez Bull, il dirige le projet Cyclades, un des premiers réseaux ordinateurs au sein de l'Iria (ex-Inria). Dans le cadre de ce projet, il créé le datagramme et le modèle de transmission des données par paquet. Ces travaux seront à l'origine de la création du protocole TCP/IP par Vinton Cerf et Robert Kahn. Il s'agit du principe d'Internet.
Aujourd'hui, face au développement de l'Internet mondial, Louis Pouzin préconise des évolutions et prend notamment position dans des affaires telles que celle des écoutes de la National Security Agency (NSA)."
« Dès son essor, l'usage d'Internet a été caricaturé comme une « machinisation » des êtres humains [...] Mais il faut recontextualiser cette problématique avec l'effacement de la militance dans les années 90 au profit d'une culture de réseau plus souple et évolutive, dont les avatars ont eu une expression visible dans des mouvements comme celui des sans-papiers, des chômeurs et des altermondialistes. Dans ces exemples-là, Internet a été un outil (parmi d'autres) qui a permis d'éviter l'emprise d'organisations pyramidales et de leurs bureaux. »
La neutralité du net [...] est un principe fondateur de la culture numérique. Dans ce réseau, les informations doivent transiter de façon indifférenciée, quels que soient leurs origines, leurs destinations ou leur contenu, sans privilégier un protocole de communication et sans modification et examen du contenu. Un principe à la fois garant de la liberté d'expression... et de la libre concurrence sur internet.
"Grâce à la combinaison des réseaux et des ordinateurs, les informations numériques circulent si vite qu'elles ont pris une place centrale dans la société. C'est pourquoi on parle de transition de la société industrielle vers la société de l'information.
Ceux qui contrôlent la circulation des informations contrôlent les ressources matérielles."
Entre les informaticiens et les visionnaires, un intermédiaire : Doug Engelbart. Ce génie n'occupe guère de place dans les livres d'Histoire. Or ce fut bien l'un des scientifiques les plus importants du XXe siècle. Car il fit le lien entre les hommes d'esprit de Palo Alto et les informaticiens spécialistes payés par les militaires pour créer techniquement les premiers réseaux informatiques.
"La révolution scientifique qui vit naître internet s'est donc produite simultanément à l'éclosion de la beat generation et du mouvement hippie, révolutionnaires eux aussi, à leur manière. Pendant que les uns manifestaient contre la guerre du Vietnam, les autres, dans la Silicon Valley, travaillaient à la défense des droits déjà menacés par une société de l'information en essor continu et au nivellement des différences que permettraient les réseaux informatiques.
D'abord limité à quelques centres de recherches et universités, internet, dans les années 1980, s'étendra à l'ensemble du monde académique pour devenir totalement public au cours de la décennie suivante. Les années 1990 verront croître et multiplier les grands débats sur la liberté de l'information. Internet commencera alors à être envisagé comme le remède à toutes les censures. "
Histoire d'Internet, partage, ordinateur, écologie de l'esprit, interaction, société de l'information, cybernétique, programmation neuro-linguistique (PNL).
L' autoformation est le fait pour une personne de se former elle-même, dans un cadre qui lui est propre, d'une façon plus ou moins éloignée des structures et institutions enseignantes et formatives. Si l'autodidacte est habituellement présenté comme une personne poursuivant une démarche solitaire, il est de plus en plus facile de trouver des ressources d'autoformation collective : groupe d'échange de savoirs, réseaux sociaux d'apprentissage...
Un écoquartier ne pourrait pas se faire sans grands acteurs du bâtiment. On retrouve donc des promoteurs, investisseurs et gestionnaires de réseaux. En France, les bailleurs sociaux se sont beaucoup impliqués dans les quartiers puisqu'ils ont tout intérêt à voir les factures énergétiques diminuer. Ils sont devenus un moteur majeur dans le lancement de telles opérations.
Développé par quatre étudiants new-yorkais, Diaspora est fidèle à l'esprit du logiciel libre. Contrairement à Facebook, ce réseau permet à chaque internaute de conserver ses droits sur ses données.
"Les inquiétudes engendrées par l'arrivée des médias sociaux sont légitimes ; toute mutation s'accompagne de dérives qu'il est souhaitable de détecter aussi précocement que possible."