Comment préserver l'intérêt général quand partout, l'argent semble remplacer le vote ? Depuis 7 ans, Larry Lessig dénonce sans relâche l'emprise des intérêts privés sur la démocratie américaine. Défenseur de la culture libre, c'est un pilier de la Silicon Valley. Professeur de droit et d'éthique à Harvard, conseiller d'Obama en 2008, fin constitutionnaliste, il connaît tous les rouages de Washington.
nous nous trouvons dans un environnement Web 2.0
la e-participation est une nécessité dont le citoyen est le centre de ce qu'on appelle la "démocratie Karmique"
Voici la captation intégrale (18 minutes) de cette intervention sur la "démocratie augmentée", c'est à dire comment utiliser les médias sociaux pour rendre la démocratie française plus démocratique:) On y parle Hadopi, cumul des mandats, forums en ligne, débat identité nationale, accordéon, et lune de miel entre les électeurs et leur président !
Existe-t-il une cyber-citoyenneté ? Existe-t-il un citoyen numérique ? Le numérique est une forme de révolution culturelle avec une série de conséquences, y compris des conséquences politiques, des conséquences sur la démocratie. Face à ces conséquences, le citoyen peut-il encore réagir ?
La responsabilité environnementale ( écoresponsabilité ou la responsabilité humaine dans l'habitat) consiste à appliquer les savoirs écologiques, un état de conscience réelle et l'imputabilité des décisions au décideur. Elle s'applique tout au long des processus de la gouvernance (prospective, administration, gestion, caractérisation, évaluation, entretien, consultation, réparation, création...)
La résolution de conflit est un concept associé aux relations humaines, principalement lié au management et aux méthodes et outils d'aide à la prise de décision. Elle consiste dans le choix d'une solution à un affrontement et sa mise en œuvre.
« Si j'avais eu à choisir le lieu de ma naissance, j'aurais choisi une société d'une grandeur bornée par l'étendue des facultés humaines, c'est-à-dire par la possibilité d'être bien gouverné, et où chacun se satisferait de son emploi, nul n'aurait été contraint de soumettre à d'autres les fonctions dont il serait chargé : un État où tous les particuliers se connaîtraient entre eux, où ni les manœuvres obscures du vice ni la modestie de la vertu n'eussent pu se dérober aux regards et au jugement du public, et où cette douce habitude de se voir et de se connaître, fît de l'amour de la patrie l'amour des citoyens plutôt que celui de la terre »
J.-J. Rousseau