Skip to main content

Home/ Groups/ Développement durable
Jon Snow

Une nouvelle économie vertueuse | incredible edible info - 0 views

  •  
    A bas les pelouses, vive les potagers ! :)
Christophe Gauthier

Affichage publicitaire : les paysages oubliés ? - 0 views

  • Engagement du Grenelle, le décret qui met en œuvre la réforme de la réglementation applicable à la publicité extérieure est paru le 31 janvier au Journal officiel. La mise en consultation du projet par le ministère de l'Ecologie en février 2011 avait suscité de vives critiques de la part des associations, mais aussi des professionnels de la publicité, qui avaient dénoncé une menace directe sur les 15.000 emplois générés par le secteur
  • le contenu du décret, entre la version mise en consultation l'année dernière et sa version définitive, ait sensiblement évolué, mais pas dans le sens préconisé par les associations. Ainsi, Paysages de France extrêmement remonté, dénonce l'assassinat du Grenelle. "La responsabilité de cet assassinat incombe directement à un gouvernement qui s'est fait le complice attentif du travail de sape poursuivi par les afficheurs depuis plus d'un an", fulmine l'ONG.  Tout comme le Collectif des déboulonneurs qui s'interroge : "alors, ce Grenelle de l'environnement, protection des paysages ou des intérêts des copains ?". Les professionnels, regroupés au sein de l'Union pour la publicité extérieure (UPE), comprennent la colère des associations. Mais, là où Paysages de France dénonce trois années de concertation "bidon" et où le Collectif des déboulonneurs pointe "le silence radio" du Gouvernement après la fin de la consultation sur le texte, Stéphane Dottelonde, président d'UPE, estime lui que "le débat n'a pas été tronqué". Les différentes parties prenantes (parlementaires, élus locaux, associations, professionnels…) se sont exprimées selon ce dernier. Le décret serait le fruit d'un compromis entre ces parties prenantes, de la même manière que cela existe pour l'adoption des règlements locaux de publicité
  • L'explication de la fronde viendrait du fait que la première version proposée à la consultation était une version "exclusivement ministère de l'Ecologie", alors que la version finale est interministérielle. Pas moins de quatre ministres (écologie, intérieur, économie et culture) ont effectivement cosigné le texte. Paysages de France confirme une perte d'influence de l'Ecologie au profit de Bercy qui "aura systématiquement apporté sa contribution aux offensives conduites en vue de dépecer le projet et ce jusqu'au dernier moment, dans l'enceinte du Conseil d'État".
  • ...2 more annotations...
  • Paysages de France estime que pourront continuer à être installés massivement des enseignes murales géantes ainsi que des centaines de milliers de panneaux publicitaires "4x3" scellés au sol, dans le paysage quotidien de 40 millions de Français, et cela, jusque dans les parcs naturels régionaux (PNR), les secteurs sauvegardés, le champ de visibilité des monuments historiques, les zones de protection du patrimoine urbain et paysager, etc. Pour le Collectif des déboulonneurs, parmi "les reculs les plus flagrants introduits dans cette version" figurent les écrans numériques de grand format de 8 m2, et même de 50 m2 autour des aéroports, les bâches de chantier qui pourront supporter 50% de publicité, la mesure de limitation de la densité des panneaux "vidée de son contenu" selon le collectif. De même que le mobilier urbain, qui n'est pas concerné par l'extinction pour les économies d'énergie et pourra supporter de la publicité numérique. Les professionnels de la publicité ne voient effectivement plus dans ce texte la menace qu'ils dénonçaient il y a un an. "La visibilité réduite du secteur dépend plus aujourd'hui de la situation du marché que de la réglementation", reconnaît Stéphane Dottelonde.
  • la ministre de l'Ecologie elle-même, ne déclarait-elle pas, le 30 août dernier, que la remontée des données recueillies par les directions départementales du territoire (DDT), croisée avec les chiffres fournis par le ministère de l'Economie, "fait apparaître un taux très faible (de 5 à 15%) de dépose ou de mise en conformité du parc publicitaire existant du fait du projet de décret. Ce taux est nul pour ce qui concerne le mobilier urbain qui n'est pas impacté par le décret. Par ailleurs, un développement important de secteurs comme ceux du micro-affichage, des bâches, des dispositifs innovants, des publicités sur aéroports ou gares est prévu, permettant d'envisager une progression de 10 à 30% des chiffres d'affaires des entreprises investissant dans ces domaines d'activité"
Jon Snow

Impermanence Film - Episode 1! - 0 views

  •  
    Premier épisode d'une longue série de films sur les actions alternatives en cours dans le monde et ... à côté de chez nous! Faites tourner!
Jon Snow

- (IM)PERMANENCE - 0 views

  •  
    un jeune couple et leur fille qui voyage à travers le monde pour nous faire découvrir les methodes les plus diverses qui soit afin de produire de meilleurs aliments !
Jon Snow

Video Interview - Water, le pouvoir secret de l'eau - Energies Positives - 23 Mars 2012 - 0 views

  •  
    Interview avec le producteur du film Water et un chercheur sur les propriétés cachées de l'eau.
Jon Snow

WATER, LE POUVOIR SECRET DE L'EAU : BANDE-ANNONCE - Vidéo Dailymotion - 0 views

  •  
    Il sort le 28 mars 2012 en salles. Il m'a l'air super intéressant. Let's check out!
Jon Snow

Fukushima : l'équivalent d'une région française devenue radioactive - Nucléai... - 0 views

  • Autre sujet d’inquiétude : le taux de contamination en césium des rivières de la région de Fukushima. Une étude universitaire évalue le niveau de contamination à l’embouchure de l’Abukumagawa à environ 50 milliards de becquerels répandus dans la mer chaque jour. L’équivalent, au quotidien, du césium déversé dans la mer pour tout le mois d’avril, par les eaux « faiblement contaminées » relâchées par Tepco depuis les réacteurs.
  • Un rapport publié fin novembre par les autorités japonaises souligne que 8 % du territoire du Japon est fortement contaminé par du césium radioactif. Soit 30 000 km². L’équivalent de la superficie de la Bretagne ou de la région Paca. Le césium s’est diffusé à plus de 250 km vers l’ouest, et jusqu’à la préfecture d’Okinawa, à 1 700 km de la centrale, selon le ministère des Sciences [1]. Une zone de 20 km autour de la centrale a été évacuée en mars, et à 30 km les habitants avaient pour consigne de se calfeutrer chez eux, prêts pour une évacuation. Les dernières cartes publiées par le ministère montrent que la zone à risque est beaucoup plus étendue. 300 000 personnes vivent dans la ville de Fukushima, où la radioactivité cumulée atteignait en mai plus de 20 fois la limite légale.
  • À Hitachinaka, à une centaine de km de la centrale, le taux de radiation est de 40 000 becquerels/m², près d’un million de fois supérieur à la radioactivité naturelle locale, avant la catastrophe [2]. Après l’accident de Tchernobyl, les zones où les niveaux de radioactivité dépassaient 37 000 becquerels/m² étaient considérées comme « contaminées », rappelle le journal Asahi, principal quotidien du Japon. Dans le quartier Shinjuku de Tokyo, le taux est toujours de 17 000 becquerels/m² [3]. Dans certaines régions montagneuses, à 180 km de Fukushima, la radioactivité se situe entre 100 000 et 300 000 becquerels/m². Une contamination qui aura des conséquences durables, car la demie-vie du césium 137 est de 30 ans.
  • ...2 more annotations...
  • Le gouvernement se veut pourtant rassurant. Beaucoup d’habitants n’ont de toute façon pas les moyens de quitter les zones contaminées. La plupart des 160 000 Japonais évacués après la catastrophe attendent toujours des indemnités de la part de Tepco. Le propriétaire de la centrale est de plus en plus critiqué pour sa gestion de l’après-catastrophe. Lors d’un procès concernant la décontamination d’un terrain de golf au Japon, Tepco a sidéré les avocats en se dédouanant de ses responsabilités, affirmant que « les matériaux radioactifs (comme le césium) qui ont été disséminés par le réacteur n° 1 de la centrale de Fukushima et sont retombés appartiennent aux propriétaires des terres et non plus à Tepco » !
  • Pendant ce temps, la vie continue dans les régions contaminées. Le 13 novembre, dans la ville de Fukushima, était organisé le marathon annuel, Ekiden. Des jeunes femmes ont couru 40 km, sans aucune protection, dans une des zones les plus contaminées du Japon. Un journaliste japonais y a relevé des taux de 1,4 microsieverts/h (soit plus de 12 fois la limite d’exposition aux rayonnements autorisée pour la population civile en temps normal). L’organisateur de la course a fait signer aux participants un formulaire stipulant qu’ils ne pourraient le poursuivre en justice s’ils avaient des problèmes de santé. À Fukushima, la vie ressemble à un jeu de roulette russe où les victimes ne sont pas ceux qui appuient sur la gâchette. Eux jouissent, pour le moment, d’une impunité totale.
Jon Snow

Courants-marins du monde - 0 views

  •  
    Ouf les courants du japon sont bloqués par le coin de la carte... On a eu chaud.
Jon Snow

Mer du Japon : absence de radioactivité grâce aux courants marins: Voix de la... - 0 views

  •  
    L'exemple français de 1986 en plein action.
Jon Snow

La radioactivité des courants marins progresse vers le sud du japon : PLANETE - 0 views

  • Boust attire l'attention sur « les algues qui font partie intégrante du régime alimentaire des japonais et qui pourraient être assez vite frappés d'interdiction à la consommation».   La raison est simple : « L'algue, particulièrement la brune , est un végétal qui concentre très fortement l'Iode pour la simple raison que cet iode est nécessaire à son système de défense ».   Le facteur de concentration de l'algue s'agissant de l'Iode  est en effet  très élevé et se situe entre 1000 et 10 000 !  Ce qui veut dire que pour 1 seul becquerel par litre d'eau, les algues peuvent concentrer 10 000 becquerels par kilo. Voir le site de l'ACRO
  •  
    Fini les makis...
Jon Snow

CADTM - Pourquoi faire un audit citoyen de la dette publique française ? - 0 views

  • Parmi ces éléments connus qui permettent de qualifier cette dette comme illégitime et non due, on peut citer pêle-mêle pour la dette publique française (à compléter) : Pour la dette publique de l’Etat central :   l’obligation depuis 1973 d’avoir recours aux marchés financiers ;
  • l’effet « boule de neige » qui a consisté à payer des taux d’intérêt sur les obligations d’Etat supérieurs à l’accroissement des ressources nécessaires à ce paiement (décision politique) ;
  • le mode de gestion de la dette publique : sa gestion est confiée à une agence et non au Trésor public ; le marché primaire de la dette, c’est-à-dire l’émission des obligations d’Etat ou « marché du neuf », est donnée à une vingtaine de banques privées (4 françaises et 16 étrangères) qualifiées de Spécialistes en Valeurs du Trésor et qui se sucrent au passage ;
  • ...6 more annotations...
  • les plans de sauvetage en faveur des banques et du secteur de l’automobile avec le pillage de la Caisse des dépôts et consignations ;
  • Pour la dette des collectivités locales :   les décrets qui ont ouvert à la concurrence le marché des prêts aux collectivités et permis le désengagement de l’Etat depuis les premières lois de décentralisation (décentralisation Mauroy 1 et 2 et décentralisation Balladur). Ce sont ces textes, le démantèlement de la Caisse d’Aide à l’Équipement des Collectivités Locales et le désengagement de l’Etat aux profits des banques privées et d’organismes financiers qui sont à l’origine des prêts dits « structurés » qui, avec des taux exorbitants, frappent aujourd’hui des collectivités locales et des hôpitaux (cf.à titre d’exemple la carte publiée par le journal Libération pour les prêts toxiques de Dexia :http://labs.liberation.fr/maps/cart...)
  • Pour la dette des organismes de protection sociale :   on peut énumérer depuis les plans « Barre » jusqu’aux diverses et récentes mesures Fillon toutes les décisions politiques qui ont contribué à baisser au profit des employeurs les ressources des organismes de protection sociale (fiscalisation de la sécurité sociale avec la création de la Cotisation Sociale Généralisée et de la Contribution pour le Remboursement de la Dette Sociale Inclus) ;   sans oublier le non reversement de la part de l’Etat de diverses ressources affectées à la protection sociale (dénoncée année après année par la Cour des Comptes) ;   la désindexation des salaires sur les prix ;
  • le pillage par l’Etat des ressources des organismes excédentaires ;   on peut aussi ajouter la réforme du mode de gestion de la dette de ces organismes avec la création de la CADES et de la CRDS en 1996 (plan Juppé). Cette très opaque CADES (Caisse d’Amortissement de la Dette Sociale), et au statut très dérogatoire, a bien davantage rémunéré les intérêts des organismes financiers prêteurs que comblé les très hypothétiques « trous de la sécu ». (cf. les comptes publiés sur le site de la CADES)Il pourrait être confié à un groupe d’experts de chiffrer le coût de ces mesures et leur traduction en montant de stock de la dette publique, émission de dette après émission de dette, coût des intérêts servis compris. Une fois ce chiffrage nécessaire effectué (qui avoisinerait certainement 100% du montant de la dette publique), il suffirait alors de revendiquer son annulation par l’abrogation unilatérale du paiement de cette dette (il pourrait même être envisagé de réclamer le remboursement, voire des pénalités sous formes d’intérêts aux bénéficiaires des profits réalisés sur la dette publique depuis une date à déterminer).
  • C’est un peu comme le rapport au droit. Le droit international et de nombreuses dispositions constitutionnelles de pays fournissent nombre de moyens pour définir ce qu’est une dette illégitime ou odieuse. Le droit international dit aussi qu’un Etat est souverain et qu’il peut, au nom de l’état de nécessité, satisfaire en priorité les besoins fondamentaux de la population, décider de ne pas payer cette dette et de poser là un acte unilatéral parfaitement légitime.
  • Auditer les dettes publiques dans les pays riches ou considérés comme tels pour en déterminer la part illégitime ou odieuse à annuler ne doit pas nous faire oublier les créances que nos pays (et les banques et autres organismes financiers) détiennent envers les pays du Sud de la planète.Ces créances maintiennent les pays du Sud dans un rapport néocolonial de facto et permettent entre autres le pillage des ressources du sol et du sous sol de ces pays.Exiger et obtenir la publicité des contrats de prêts qui concernent les pays du Sud est un outil incontournable pour la solidarité internationale. Ces contrats de prêt sont d’Etat mais aussi privés avec la caution de l’Etat. Pour les dénoncer, encore faut-il les connaître !
  •  
    "Il s'agit, avec cette démarche ouverte, de permettre ce qui est interdit par la logique de délégation de pouvoir, à savoir la réappropriation démocratique et collective de ce qui nous concerne. Ouvrir les livres des comptes publics va dans ce sens. Rendre public ce qui est aujourd'hui interdit de connaître de par la loi comme l'identité des créanciers ou encore la rémunération des banques en charge du marché primaire de la dette est une nécessité si on veut en combattre efficacement les conséquences antisociales. Après le pourquoi et le comment, il s'agit de faire connaître à tous qui sont ceux qui en profitent, qui sont les créanciers de la dette."
Jon Snow

ASSOCIATION NON AU MERCURE DENTAIRE - 0 views

  • DU MERCURE DANS LES SOINS DENTAIRES : UN SCANDALE SANITAIRE MAJEUR  Le MERCURE (Hg) est un métal trace dont la toxicité est connue et redoutable : c’est un neurotoxique, un reprotoxique, un immunotoxique, un génotoxique… Le mercure métallique est classé parmi les substances CMR2 (cancérogènes, mutagènes, toxiques pour la reproduction) qui doivent être chassées de tous les usages pour leur dangerosité. Au cours de la vie, le mercure s’accumule dans l’organisme : c’est un toxique bioaccumulable. Rejeté dans l’environnement, il s’y accumule aussi : c’est un polluant persistant qui se concentre tout au long des chaînes alimentaires aquatiques sous sa forme méthylée, contaminant les poissons carnassiers (bioamplification). LES AMALGAMES, PREMIERE SOURCE D'EXPOSITION AU MERCURE Les amalgames dentaires sont composés pour 50% de mercure métallique, et représentent la 1ère source d’exposition à ce métal dans les pays développés.
  • PROTECTION NECESSAIRE LORS DES TRAVAUX   Toute intervention sur un amalgame dentaire (dépose ou fraisage avant une pose de couronne par exemple) comporte des risques graves en raison d'une libération de vapeurs de mercure en quantité importante. C'est pourquoi nous ne préconisons pas de systématique dépose des amalgames, décision qui doit toujours être prise en parfaite connaissance de cause, et accompagnée d'un suivi médical par un médecin "averti". Toute intervention sur un amalgame doit être faite selon un PROTOCOLE très strict précisant toutes les précautions à prendre. (voir aussi le protocole préconisé par l'IAOMT) Par ailleurs, nous ne préconisons aucun traitement de désintoxication en particulier, mais informerons au mieux (y compris sur les éventuels risques) en nous appuyant sur des publications scientifiques. Nous signalons le danger que représente toute auto-médication avec des chélateurs de métaux dits lourds ; ceux-ci nécessitent un avis et un suivi médical durant toute la période du traitement. En aucun cas les informations générales délivrées sur ce site ne doivent être interprétées comme des prescriptions médicales.
Jon Snow

Le mercure dentaire, un neurotoxique qui empoisonne les Français - Santé publ... - 0 views

  • Dentistes : une profession à risques Les fabricants d’amalgames édictent des fiches de sécurité envoyées aux dentistes particulièrement alarmantes. On peut y lire des « risques d’effets létaux aigus toxiques avec des symptômes d’intoxication par inhalation », une préparation « susceptible de s’accumuler dans le corps humain en cas d’absorption répétée », ou bien encore que « le mercure est reconnu comme causant des malformations du fœtus ou des troubles de la reproduction »  [4].
  • Dès 1999, la Suède a contourné l’impossibilité d’interdire les amalgames dentaires en les déremboursant. Aujourd’hui, la Norvège demande à ce que la stratégie européenne s’intéresse enfin aux amalgames, qui constituent l’utilisation la plus importante de mercure dans les produits non soumis à restriction au sein de l’Europe. Bien que le groupe d’experts chargé de réfléchir à la révision de la stratégie communautaire sur le mercure préconise l’arrêt des amalgames en Europe, la France est le seul pays qui s’y est officiellement opposé.
  • « On assiste à un lobbying féroce de la profession dentaire sous l’égide de la Fédération dentaire internationale, très présent à l’OMS », souligne la scientifique Marie Grosman. Elle a encore pu le constater lors de la 3e session de négociation d’un traité sur le mercure, du 31 octobre au 4 novembre 2011, sous l’égide des Nations unies. Elle était présente au titre de vice-présidente pour l’Europe de l’Alliance mondiale pour une dentisterie sans mercure. À cette occasion, les représentants de la région Afrique ont réitéré leur refus de devenir « la poubelle des pays riches ». « L’Afrique réclame la fin de l’usage du mercure dentaire dans les 3 à 5 ans qui suivent la signature du traité, soit entre 2016 et 2018 », rapporte Marie Grosman. Une position ferme suivie par la région Asie-Pacifique et le Grolac (Amérique latine) pendant que les États-Unis et l’Australie demandent la disparition programmée des amalgames.
  •  
    Naïvement (again...) je pensais qu'il était interdit en france.
Jon Snow

CRIIRAD - Pétition pour une transparence totale sur la radioactivité de l'air... - 0 views

  •  
    Suite aux rejets radioactifs de Novembre 2011 en Europe, la Criirad demande la transparence sur les données récoltées.
Jon Snow

Iode 131, césium 134 et césium 137 à la centrale de Krško (Slovénie) - Le blo... - 0 views

  •  
    ???
Jon Snow

Que se passe-t-il au Japon ? - Le blog de Fukushima - 0 views

  • Après la catastrophe de mars 2011, le gouvernement japonais a discrètement augmenté les normes de la radioactivité de l’eau potable : le taux limite précédent était de 10 Bq/litre pour le césium et l'iode. Les nouveaux niveaux sont de 200 Bq/litre pour le césium et 300 Bq/litre pour l'iode. Pour comparaison, alors que le taux recommandé par l'OMS est de 1 Bq/L, l'Allemagne applique 0,5 Bq/L et les Etats-Unis 0,111 US Bq/L. (1)
  • Au lieu de rassembler les déchets radioactifs dans une zone et une seule afin de ne pas contaminer plus le pays, les Japonais ont semble-t-il décidé de répandre ces déchets radioactifs dans le pays entier. La ville de Tokyo a ainsi décidé d’acheminer des déchets radioactifs dans le site de la baie de Tokyo.
  • Le gouvernement nippon veut envoyer les denrées contaminées par la catastrophe de Fukushima comme aide humanitaire dans les pays du tiers-monde
Jon Snow

Appel à mobilisation - sit-in et campagnes photos de soutien aux femmes japon... - 0 views

  •  
    Le japon s'apprète à remettre des centrales en route contrairement à ce qui avait été décidé. Avec du MOX français qui plus est. D'où le sit-in d'une centaine de femmes japonaises depuis octobre pour dénoncer cette lâcheté.
« First ‹ Previous 81 - 100 of 307 Next › Last »
Showing 20 items per page