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Sud Radio - Laïcité, PMA, bioéthique… Qu'attendent les catholiques d'Emmanuel... - 0 views

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    "Reportage Sud Radio. Alors qu'Emmanuel Macron va rencontrer les évêques de France ce lundi au collège des Bernardins à Paris, les catholiques français font part de leurs attentes envers le président français. C'est une soirée quelque peu inhabituelle qui s'annonce ce soir au collège des Bernardins à Paris, où le chef de l'État Emmanuel Macron échangera avec les évêques de France sur de nombreux sujets de société. Lui-même baptisé et ayant connu l'enseignement des jésuites dans sa jeunesse, le président de la République ne s'est pas encore trop mouillé sur le thème de la laïcité. Une question sur laquelle l'attendent certains catholiques aujourd'hui. "La laïcité sombre un peu dans l'athéisme, on n'a plus le droit de parler de Dieu. Le président de la République a de gros défis devant lui, et je ne pense pas qu'il soit capable de les relever", affirme Nicolas (24 ans), tout juste baptisé, au micro de Sud Radio. Très engagé dans son aumônerie parisienne, Jean-Eudes déplore lui une évolution sociétale difficile pour les chrétiens. "On aimerait bien avoir plus de place, on a la sensation d'être devenus une minorité parmi d'autres", regrette-t-il. DS 3 PERFORMANCE LINE Entrez dans le cercle, et profitez d'une prime reprise de 3000€ "On attend de lui de la mesure et de la réserve sur ces sujets" Pour Sylvie en revanche, la distance entretenue jusqu'ici par Emmanuel Macron sur les questions de religion n'est pas une mauvaise chose. "On attend de la mesure. La posture de notre président, qui est plutôt sur la réserve sur ces sujets, est plutôt sécurisante», pense-t-elle. Catherine, de son côté, attend du président de la République qu'il entretienne une valeur qui lui est chère : le vivre-ensemble. «Je suis une catholique très ouverte, profondément attachée à ce que le Christ nous enseigne, particulièrement ce respect de l'être", indique-t-elle. Cette soirée devrait sans
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TradiNews: [Abbé Hervé Mercury - A Crucetta] Les Confirmations de Mgr Bonfils... - 0 views

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    "[Abbé Hervé Mercury - A Crucetta] Les Confirmations de Mgr Bonfils - Entretien avec l'abbé Hervé Mercury 2/2 SOURCE - Abbé Hervé Mercury - A Crucetta - Octobre 2012 La rédaction d'A Crucetta précise que cet entretien a été réalisé avant le renvoi de l'abbé Mercury de la Fraternité Saint-Pie X. A Crucetta : Monsieur l'Abbé, dans quelle mesure les fidèles ont-ils été associés à la décision de laisser Mgr Bonfils procéder aux confirmations? Abbé Mercury : Dans la semaine qui a suivi le 23 janvier, après avoir transmis l'information à l'abbé Radier, j'ai avertiles parents concernés que Mgr Bonfils tenait à faire lui-même les confirmations dans la forme extraordinaire du rite romain. Je leur ai demandé de réfléchir à la question et de me donner leur avis. Il était évident que, si les fidèles étaient contre, le projet tombait à l'eau de lui-même. Certaines familles m'ont demandé des éclaircissements sur la validité et la licéité du rite dans un cas pareil. Je leur ai présenté les arguments que j'ai déjà développés dans la première partie de cet entretien. Elles ont été rassurées de voir que nous ne marchions pas à l'aveuglette. Ce qui nous guide, ce sont les principes obvies de la théologie catholique.Les discussions durant cette période ont été sereines. Les fidèles ont pu avoir tous les éléments nécessaires pour se forger une opinion et envisager calmement la venue ou non de Mgr Bonfils dans leur chapelle. Finalement, il n'y a eu aucune opposition de la part des fidèles contactés. Le 12 février, je leur ai annoncé que les confirmations auraient bien lieu le 11 mars selon ce qu'en avait décidé l'évêque du diocèse. Je n'avais aucune nouvelle des supérieurs. S'ils ne m'avaient pas contacté pour une affaire aussi grave, c'est qu'ils ne voyaient aucun obstacle majeur à cette cérémonie. Vu la proximité de la date du 11 mars, j'ai commencé immédiatement la
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Transmettre (2) | Aumônerie Militaire Catholique - Diocèse Aux Armées Françaises - 0 views

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    "« Le Fils de l'homme, quand il viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? Lc 18, 8. Dans notre précédente rubrique, nous avons voulu insister fortement sur la nécessité de transmettre la culture aux jeunes générations noyées sous un flot d'informations et de savoirs qui ne leur permettent pas de développer leur humanité. La culture, disions-nous, est « inséparable de la vie et de sa croissance ». Or n'est-ce pas précisément l'enjeu de la foi chrétienne que d'accueillir la Vie, c'est-à-dire le Christ lui-même venu révéler Dieu ? Dans la finale de leur évangile, les trois évangélistes Matthieu, Marc et Luc rapportent la mission que le Christ ressuscité confie à ses Apôtres : aller dans le monde entier pour y faire des disciples [1]. C'est la nature même de la foi que d'être transmise. Cependant le christianisme définit la foi comme un don de Dieu lui-même, c'est l'Esprit qui la transmet. Alors que veut-on dire aujourd'hui lorsque l'on parle de « transmettre la foi » ? Que faut-il entendre par foi ? « Il y a croire et croire, et cette différence paraît dans les mots croyance et foi. La différence va même jusqu'à l'opposition ; car selon le commun langage, et pour l'ordinaire de la vie, quand on dit qu'un homme est crédule, on exprime par là qu'il se laisse penser n'importe quoi, qu'il subit l'apparence, qu'il subit l'opinion, qu'il est sans ressort. Mais quand on dit d'un homme d'entreprise qu'il a la foi, on veut dire justement le contraire. »[2] Faut-il opposer la croyance et la foi au risque, comme le laisse entendre ici le propos d'Alain, de dévaloriser la première pour ne retenir que la seconde ? Il est vrai que l'usage courant du verbe « croire » ne va pas sans ambiguïté selon qu'on l'utilise dans le sens de « croire que » ou dans le sens de « croire en ». Lorsque « je crois que », je signifie que « je tiens po
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Voeux de Mgr Mathieu, notre évêque - 0 views

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    "Le tourbillon des nouvelles quotidiennes nous fait perdre le Nord... Entre violences des conflits fratricides et menaces effrayantes sur l'environnement, d'une part, et inventions scientifiques non contrôlées aux capacités insoupçonnables, d'autre part, quelles routes allons-nous emprunter ? Chacun a bien ses raisons de vivre, pour se lever chaque matin, faire son ouvrage, son « métier » d'homme ou de femme, qu'on soit jeune, ou adulte, ou vieillard, en bonne santé ou marqué par divers handicaps. L'on est attaché à des êtres chers et des projets passionnants. En ces jours d'hiver où les nuits sont longues, les lumières ne manquent pas, scintillements qui éblouissent et aveuglent, ou qui éclairent nos routes. Puisque nous allons fêter Noël et le Nouvel An, je me pose d'abord deux questions : À quelle source pouvons-nous boire ? Vers quoi allons-nous ? « Tout nous est donné » ou « le subversif de la crèche ». Evidemment, en croyant que je suis, la source est à la crèche ! Quelques-uns en font un épouvantail et d'autres un drapeau. Elle est d'abord un pauvre berceau, inoffensif. C'est l'accueil d'un enfant. Nous sommes tous passés par là. La crèche nous renvoie à ceux dont nous sommes venus, qui nous ont façonnés, marqués, notre héritage génétique, la couleur de nos yeux, notre tempérament. L'éducation reçue dans la famille et à l'école nous a fait grandir. Notre histoire est jalonnée de nos réussites, nos échecs. De multiples rencontres nous ont influencés, et aussi des épreuves, et les carrefours de la maladie, des ruptures. Des choix successifs nous ont construits. Chacun peut se souvenir de son histoire personnelle, comment notre enfance, notre adolescence et notre jeunesse nous ont ouverts à l'autre, à la vie ensemble. Je sais bien - ou plutôt je pressens - le poids de nos conditionnements dans tous les lieux et communautés où nous avons grandi. À notre tour nous les avons mar
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Bioéthique et avancées scientifiques : le point de vue du père Saintôt - 0 views

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    "La science est légitimement en quête d'efficacité, d'amélioration des techniques et de compréhension des causes des maladies et des handicaps pour les guérir. Les espoirs soulevés par des découvertes récentes semblent pousser la société à vouloir aller vers un contrôle systématique de la naissance, de la maladie et de la mort, vers la perfectibilité de l'être humain. Où se trouve la frontière entre ce que l'on peut faire et ce que l'on pourrait être capable de faire ? Quelle est celle à ne pas franchir au-delà de laquelle on porte atteint à l'être humain ? Il ne s'agit pas de remettre en cause les recherches scientifiques, mais d'en maîtriser l'usage. Aucune science ne trouve en elle-même sa pleine signification. Elle doit se confronter à d'autres pour aborder la question de leur sens et des conséquences des progrès scientifiques pour l'avenir. L'Église a fait de nombreuses déclarations sur le sujet. Comment la théologie peut-elle contribuer à développer les capacités de réflexion, d'argumentation et d'action des chrétiens confrontés aux difficiles questions de bioéthique ? Le jésuite Bruno Saintôt collabore au Département d'Ethique Biomédicale du Centre Sèvres à Paris. Il est interrogé par Thomas Chabolle RealAudioMP3 "Je pourrais dire qu'à la lumière de ce nouveau pontificat, le Pape veut remettre au centre l'Évangile et peut-être pas d'abord l'interdit. Mais il n'a rien changé, je pense qu'il ne va rien changer sur à la fois la doctrine sociale mais aussi les grandes références anthropologiques et éthiques de ces prédécesseurs Benoît XVI, Jean-Paul II, Jean-Paul VI, Jean XXIII. Il ne va rien changer sur la doctrine fondamentale. Par contre on pourrait dire, qu'il remet au centre l'Évangile : la Bonne Nouvelle, l'accueil fondamental de l'autre et aussi le pouvoir que l'homme a de faire le bien. Il faut toujours commencer par révéler aux hommes le pouvoir qu'ils ont de faire l
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Homélie de la Messe pour la Paix - 11 janvier 2015 - 0 views

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    "mélie de la Messe pour la Paix - 11 janvier 2015 Messe pour la paix Cathédrale des soldats, 11 janvier 2015 Accueil Le 13 septembre 2014, le pape François commémorait le début de la Grande Guerre. Il affirmait alors : « L'ombre de Caïn nous recouvre aujourd'hui, dans ce cimetière. On le voit ici. On le voit dans l'histoire qui va de 1914 jusqu'à nos jours. Et on le voit aussi de nos jours. Avec un cœur de fils, de frère, de père, je vous demande à vous tous, et pour nous tous, la conversion du cœur : passer de « Que m'importe ? », aux larmes. Pour tous ceux qui sont tombés dans le « massacre inutile », pour toutes les victimes de la folie de la guerre, en tout temps. Les pleurs. Mes frères, l'humanité a besoin de pleurer, et c'est maintenant l'heure des larmes. » La France pleure. Le monde pleure. Par le silence, nous exprimions notre proximité. Ce matin, nous voulons vivre un grand moment religieux où la proximité devient prière. A cette prière, nous joignons notre reconnaissance pour toutes les forces de sécurité et pour nos soldats. Chaque jour, depuis 13 ans, ils paient un lourd tribut pour nous défendre. Nos amis policiers ne sont pas les derniers à avoir payé le prix du sang. Ils font notre admiration. Ils sont notre fierté. Qu'ils soient remerciés et félicités par tous. Ils ont encore montré aujourd'hui leurs compétences et leur dévouement. Nous sommes tous là, autorités politiques, militaires et religieuses, simples croyants pour pleurer, prier et bénir. Faisons-le avec force et humilité. Homélie La mort fait irruption chez nous avec une brutalité inouïe. Nommons-la : c'est celle de la guerre. Nous autres militaires, nous sommes aussi bouleversés que les autres. Mais nous sommes peut être moins surpris que les autres. Nous le savions : à force de rôder dans le jardin, l'ennemi finit par fracturer la maison. Il devient alors un voleur de vies, un violeur de destinées. La g
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Élargir la PMA ? "Cela pourrait rouvrir des plaies", dit Monseigneur Pontier - 0 views

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    "L'archevêque de Marseille demande à Emmanuel Macron de ne pas "court-circuiter le temps du débat". Elizabeth Martichoux L'invité de RTL Elizabeth Martichoux Télécharger L'invité de RTL du 15 août 2017 Crédit Image : BERTRAND GUAY / AFP | Crédit Média : Jérôme Florin | Durée : 10:15 | Date : 15/08/2017 La page de l'émission Jérôme Florin Jérôme Florin Journaliste RTL Partager l'article publié le 15/08/2017 à 08:48 C'est un sujet qui revient régulièrement sur le devant de la table. Alors qu'Emmanuel Macron a promis d'élargir la procréation médicale assistée (PMA) aux couples de femmes et aux femmes célibataires, Monseigneur Pontier, l'archevêque de Marseille, pense que cela pourrait "rouvrir des plaies" et entraîner de nombreuses manifestations comme ce fut le cas lors des manifestations contre le mariage pour tous. "Il y a en jeu, non seulement le désir de chacun, mais le respect de l'enfant qui est le plus fragile. En cela, nous pensons qu'il n'est pas juste de faire de l'enfant un droit", a-t-il déclaré au micro de RTL. L'archevêque de Marseille, qui est également président de la Conférence des évêques de France, appelle de ce fait à la prudence. "Il faut aller très très prudemment et ne pas court-circuiter le temps du débat", annonce-t-il assurant que "le droit à l'enfant est quelque chose d'inacceptable". La rédaction vous recommande Oise : une fête pour célébrer "la vertu" des jeunes filles fait débat 7 prêtres refoulés d'un pub : "Désolé, pas d'enterrement de vie de garçon" Le père Bertrand Chevallier, prêtre à Saumur Saint-Étienne-du-Rouvray : "L'annonce a été tellement brutale", témoigne la sœur du père Hamel Religions PMA Société Vous aimerez aussi Découvrez les offres suréquipées de la Kia cee'd, garantie 7 ans ! Kia cee'd Suréquipée Ce thérapeute défie l'industrie des régimes Ventre plat Super rapport qualite/prix pour cette chaise haute ultra fonctionnelle et t
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N° 2430 - Proposition de loi (...) relative au respect du principe de laïcit... - 0 views

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    "PROPOSITION DE LOI relative au respect du principe de laïcité dans le cadre scolaire, EXPOSÉ DES MOTIFS Mesdames, Messieurs, La France est une République laïque au terme de l'article 2 de la Constitution. Elle l'est par tradition depuis la Révolution et par vocation dans la mesure où la laïcité est le corollaire naturel des principes de liberté et d'égalité qui fondent notre modèle républicain. L'article X de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen proclame que « nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas la loi ». Le préambule de la Constitution du 27 octobre 1946 affirme que « la loi garantit à la femme, dans tous les domaines, des droits égaux à ceux de l'homme ». La France est, en outre, signataire de la Convention internationale des droits de la femme qui dispose, en son article V, que les États signataires s'engagent à « modifier les schémas et modèles de comportements socioculturels de l'homme et de la femme en vue de parvenir à l'élimination des préjugés et des pratiques coutumières ou de tout autre type, qui sont fondés sur l'idée de l'infériorité ou la supériorité de l'un ou de l'autre sexe ou d'un rôle stéréotypé des hommes ou des femmes ». La laïcité, appliquée à l'école, transcrit un idéal de liberté. Elle garantit la liberté de conscience en dehors des dogmes officiels et des religions. L'élève peut vivre, penser, juger et décider en écoutant sa propre conscience. Face aux particularismes religieux qui entraîneraient l'absentéisme spécifique des élèves dont les croyances s'opposeraient aux contenus de certains cours ou au calendrier scolaire commun, la jurisprudence administrative confirme qu'aucune communauté religieuse ne peut se soustraire aux obligations scolaires essentielles. Ce principe de laïcité est clairement menacé sous le coup de poussées communautaris
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La CEF (Conférence de Evêques de France), lieu de pouvoir - Le Terrorisme pas... - 0 views

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    "La CEF, (Conférence des Evêques de France), lieu de pouvoir. Les informations que nous donnons ci-après vont surprendre ceux qui ont lu l'article de Laurent Dandrieu dans Valeurs Actuelles. Laurent Dandrieu voit dans les années du Cardinal Vingt-Trois à la tête de la CEF un « repositionnement » de l'Eglise de France qui était avant lui plus à gauche. Il voit aussi décroître le « centralisme démocratique » de cette institution et même il découvre une « conception minimaliste » de la CEF. Les exemples qu'il donne à l'appui de sa thèse sont assez surprenants. L'un d'entre eux surtout, la prière du 15 août 2012. Je rappelle qu'à cette date de nombreux évêques ont déjà parlé contre les lois scélérates et que le président de la CEF suit le mouvement. Je rappelle aussi que Mgr Antoine Herouard cité comme membre du « Siècle », par Emmanuel Ratier, a été secrétaire général adjoint puis secrétaire général en 2007de la CEF. Que dire de l'application de Summorum Pontificum ! Rappelons encore que l'archevêque de Paris est le Chancelier de l'Institut Catholique de Paris et qu'à ce titre il a nommé doyen de la FASSE (Faculté des sciences économiques et sociales) Sylvie Bukari de Pontual, avocate membre du service Justice et Paix de la CEF ( en réalité lieu où s'élabore l'idéologie de la CEF), et membre de la FIACAT (Fédération Internationale contre la torture) dont l'actuel président du CCFD, Guy Aurenche a été le président .Ce même Guy Aurenche a été nommé par le président de la CEF, Mgr Vingt Trois, à la tête du CCFD. Inutile de multiplier les exemples du « recentrement » de celui qui a étonné la presse internationale en noyant les quatre points non négociables dans une dizaine de priorités. Laurent Dandrieu n'a pas vu que le redressement de l'épiscopat en France est essentiellement dû à une poignée d'évêques et aux enseignements reçus de Benoît XVI p
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CRISE DE FOI - Des caméras dans les travées de l'église ? | Big Browser - 0 views

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    "8 juillet 2013 CRISE DE FOI - Des caméras dans les travées de l'église ? La vidéosurveillance peut-elle apporter une réponse aux églises soucieuses de leur sécurité ? La République du Centre explique, lundi 8 juillet, que "des mesures de sécurité inédites sont sur le point d'être prises entre les murs de la cathédrale [d'Orléans]". Le Centre de sécurité orléanais va en effet surveiller vingt-quatre heures sur vingt-quatre les travées de la cathédrale Sainte-Croix à l'aide de quatre caméras, "dont une placée dans la sacristie". Ces quatre appareils viennent s'ajouter à 140 caméras de vidéoprotection déjà disséminées dans la ville, explique La République du Centre. Cette surveillance renforcée fait suite à l'action menée par neuf personnes en mai, qui avaient réussi à grimper en haut des tours de l'édifice religieux pour déployer des banderoles dénonçant leurs problèmes de garde d'enfants. Un acte spectaculaire et très médiatisé, qui a relancé les interrogations sur la sécurité de l'église. Ces dernières années, la cathédrale d'Orléans a déjà eu faire face à un exhibitionniste et à un vol de tableau. Claude Girault, le recteur de la cathédrale Sainte-Croix, semble se résigner à cette intrusion des caméras. "Des gens peuvent se mettre à hurler subitement (…), détaille-t-il au quotidien régional. Vous savez, la frontière entre foi et folie peut parfois être infime ! Il peut aussi y avoir des incivilités, du vandalisme, ou de petits larcins… [Il] y a plus agréable, mais il faut bien y passer, je crois." Des diagnostics de sécurité en Essonne D'autres églises sont confrontées au même dilemme. A Berck-sur-mer, des caméras pourraient être installées dans deux édifices de la ville, l'église Saint-Jean-Baptiste et l'église Notre-Dame-des-Sables, révèle également La Voix du Nord. La demande a été faite auprès de la sous-préfecture par l'association Saint-Jean-des-Sables, qui gè
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Editorial de notre évêque dans le numéro de novembre 2014 d' « Eglise en Sart... - 1 views

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    "Editorial de notre évêque dans le numéro de novembre 2014 d' « Eglise en Sarthe » JPEG - 60.2 ko Nous venons de célébrer la fête de la Toussaint. Chaque année, la liturgie de l'Église nous invite à faire mémoire de tous les saints du ciel, connus et inconnus. Tous ceux qui, au cours de l'histoire, ont suivi le Christ par amour pour lui et pour aimer comme lui. L'Église est mystère de communion, à l'image même de la sainte Trinité. La communion ne s'arrête pas à la mort, comme nous le rappelle le Concile Vatican II. « Les uns parmi ses disciples continuent sur terre leur pèlerinage ; d'autres, ayant achevé leur vie, se purifient encore, d'autres enfin sont dans la gloire, contemplant dans la pleine lumière, tel qu'il est, le Dieu un en trois personnes. » (LG 49) Je suis personnellement sensible à la récente béatification du pape Paul VI, le pape qui a porté le Concile Vatican II. J'ai toujours été bouleversé par son courage, sa sagesse, sa joie. Il n'a pas toujours été compris, en particulier en France. On lui doit l'encyclique « Humanae vitae », texte prophétique, n'en déplaise à quelques-uns. L'exhortation « Evangelii nuntiandi » qui est la base de la réflexion sur la nouvelle évangélisation, son amour du Christ, de l'Église, de l'humanité jusqu'à la souffrance sont un exemple pour nous. J'ai eu la joie de participer à la mise en valeur du sanctuaire du bienheureux Basile Moreau, prêtre du diocèse du Mans, fondateur des Pères et Frères de Sainte-Croix, et des Sœurs Marianites. J'ai également eu la joie de participer à la célébration, au Prytanée militaire de La Flèche, en l'honneur de la canonisation de saint François de Montmorency-Laval, évêque missionnaire, fondateur de la ville de Québec au Canada, qui a passé neuf ans de sa vie au collège jésuite de La Flèche. J'en viens à rêver d'une fête de la Toussaint propre au diocèse du Mans. Les figure
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Microsoft Word - Propositions des maires de France en faveur de la laicité_co... - 0 views

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    François BAROIN, président, André LAIGNEL, 1er vice-président délégué, Patrick MOLINOZ et Gilles PLATRET, respectivement co-présidents du groupe de travail Laïcité, ont présenté aujourd'hui les positions et propositions de l'Association des maires de France et des présidents d'intercommunalité en faveur de la laïcité. Créé lors du dernier congrès des maires en novembre 2014 et installé le 4 février dernier, ce groupe de travail s'est vu confier la mission de concevoir une « boîte à outils » de la laïcité à destination des maires de France confrontés à des difficultés concrètes. L'objectif est d'informer les maires des règles de ce qu'on pourrait qualifier de « bonne conduite laïque » et de les aider dans l'exercice de leurs responsabilités et compétences. Les maires sont en effet les premiers garants et les premiers défenseurs, au quotidien, du principe de laïcité qui donne coeur à la République. Les travaux de ce groupe sont fondés sur l'analyse du droit, de la jurisprudence et de la pratique. Ils ont notamment été alimentés par de nombreuses auditions et contributions ainsi que par les retours d'expériences des maires sur le terrain, tant sur les difficultés rencontrées que sur les initiatives locales mises en oeuvre. Le réseau des associations départementales de maires s'est également mobilisé. L'AMF a donc présenté aujourd'hui les grandes lignes du vadémécum à usage des maires, examinées au Comité directeur du 4 juin dernier et arrêtées par le Bureau du 17 juin 2015. Il fera l'objet d'une publication en septembre. Les principales propositions et recommandations aux maires portent notamment sur : le financement des associations ; les crèches et la politique en faveur de la petite enfance ; la restauration scolaire ; l'encadrement des activités périscolaires et extra-scolaires ; l'égalité filles-garçons ; les activités sportives et culturelles ; la neutralit
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Le sens chrétien du corps - Diocèse La Rochelle - Saintes - 0 views

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    "Le sens chrétien du corps Une réflexion de notre évêque, Mgr Bernard Housset, à propos de la Toussaint. Cette fête de la Toussaint 2014 nous invite à l'espérance, tout en nous faisant réfléchir à notre mort. Les pratiques qui accompagnent celle-ci sont concernées par une évolution importante. Comme chacun le sait, la crémation (appelée incinération récemment encore) prend de plus en plus d'importance. Sa pratique, de 0,5 % en 1980, est passée à 30 % des enterrements en 2010. Certains spécialistes pensent même qu'elle sera demandée par 50 % des Français en 2020, c'est-à-dire demain. Plusieurs raisons - qu'il serait trop long de présenter - expliquent cette progression. Je voudrais simplement rappeler que l'Eglise catholique a évolué par rapport à la crémation. A l'heure actuelle, elle ne voit pas d'objection majeure à cette pratique, puisque celle-ci n'est plus voulue pour s'opposer à la foi chrétienne. Pas de contradiction entre la crémation et les convictions de l'Eglise par rapport au sens chrétien du corps. Quelles sont-elles ? Tout d'abord un grand respect Pour quelles raisons ? Simplement parce que chacun de nous est une personne créée par Dieu et procréée par ses parents. Notre corps est voulu par Dieu Créateur. De plus, nous croyons que Dieu le Fils s'est incarné dans un corps humain véritable, qui n'était pas une simple apparence. Enfin notre corps est appelé à ressusciter comme le Christ et grâce à Lui. Pour ces trois raisons (Création, Incarnation, Résurrection), notre corps possède une grande dignité et mérite un réel respect, sans en faire une idole ni le considérer avec dédain. D'ailleurs, lors des obsèques chrétiennes, le corps est désigné par les expressions « le défunt » ou « le corps du défunt », qui se réfèrent à une personne, contrairement aux mots « cadavre », « cendres » ou « restes ». De plus, notre foi chrétienne nous invite fermemen
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1 France 100 Visages - 1 views

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    "La France ne fait plus rêver. Aujourd'hui, beaucoup de jeunes -et de moins jeunes- partent à l'étranger découvrir de nouveaux paysages, vivre des aventures excitantes, faire de belles rencontres. Certains partent faire le tour de l'Asie, d'autres bourlinguent sur les routes mythiques des Etats-Unis. Nous sommes continuellement à la recherche du sensationnel et de l'insolite, le plus souvent dans un pays étranger. Convaincue qu'il y a des rencontres formidables à faire près de chez soi, je vais partir pendant huit mois, de janvier à août 2015, sur les routes de France à la rencontre de cent personnes. Cent croyants. Chaque semaine je vais passer un ou deux jours dans le quotidien de trois croyants afin de comprendre et d'analyser de quelle façon leur foi influence leur existence. Sans juger, mais confrontée à ma propre subjectivité, je vais partager un moment de vie avec un inconnu dont je deviendrai la confidente. Un peintre m'ouvrira les portes de son atelier, des sœurs m'accueilleront dans leur communauté. Grâce au temps consacré à chaque personne, je faciliterai l'émergence d'un cadre favorable à l'intimité. C'est ainsi qu'au temps de l'instantanéité d'une information qui devient obsolète dès sa révélation, je préfère une pratique inverse qui défend l'approfondissement des sujets. Pour un regard de bienveillance sur les croyants en France Je me suis posée la question de savoir s'il serait plus intéressant ou fédérateur de ne pas choisir de thème et d'interroger cent Français au hasard. J'ai écarté cette idée qui a moins de sens, à mon avis, pour les raisons suivantes. Tout d'abord, comme vous le savez, être musulmans, juifs ou catholiques aujourd'hui en France n'est pas nécessairement chose aisée. Nous devons faire face aux affaires politiques, aux préjugés, aux actualités. En 2014, de nombreux événements mondiaux et nationaux ont mis les croyants sur le devant de
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Diocèse de Gap et d'Embrun Diocèse de Gap et d'Embrun - La chronique de Mgr J... - 0 views

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    "Dans sa chronique du 27 octobre 2013, Mgr Jean-Michel di Falco Léandri réagit à la présence du Premier ministre et du ministre de l'Intérieur à la Mosquée de Paris. Bonjour, Comme moi sans doute, vous avez appris cette excellente nouvelle, preuve de l'ouverture du gouvernement actuel. En effet, dans le respect de la laïcité, le Premier ministre et le ministre de l'Intérieur se sont rendus à la Mosquée de Paris, pour une célébration de la fête de l'Aïd. Ainsi que vous le savez, l'Aïd est l'une des grandes fêtes de la religion musulmane. Elle est célébrée le dixième jour du dernier mois du calendrier islamique, en souvenir du sacrifice d'Abraham, et elle coïncide avec le pèlerinage à La Mecque. Le Premier ministre et le ministre de l'Intérieur ont donc participé à une célébration de la fête de l'Aïd à la Mosquée de Paris en présence de mon ami Dalil Boubakeur, recteur de la Grande mosquée et président du Conseil français du culte musulman. Le maire de Paris était également présent. Je ne peux que me réjouir de cette visite à nos frères musulmans ainsi que des propos tenus par le Premier ministre à cette occasion. Car ce qu'il a dit en s'adressant aux musulmans, il le dirait sans doute, en tout cas je l'espère, de la même manière en s'adressant aux chrétiens, je le cite : « À travers vous, je salue une grande religion de France. Je mesure la place qui est la sienne dans notre pays et dans notre histoire. […] J'entends la parole que vous portez pour rassembler les femmes et les hommes autour d'un message de paix et de concorde, dans le cadre de la République, et en accord avec ses principes et ses valeurs. […] Je vous le redis avec force: toute atteinte au libre exercice du culte est intolérable, et toutes les croyances religieuses doivent pouvoir s'exprimer dans notre pays dans le respect des lois de la République, de la laïcité et des convictions de chacun. » (Fin de
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IFOP - La France des solutions - 0 views

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    Près de huit Français sur dix estiment aujourd'hui que, dans la vie, il faut prendre les choses en main et ne pas subir (79%) plutôt que de les prendre comme elles sont (21%), soit une augmentation de trois points par rapport à l'an dernier. Outre ce surcroît de volontarisme, on observe qu'il n'est pas appréhendé de la même manière en fonction de l'âge : en effet, plus on est jeune et plus l'item « il faut prendre les choses comme elles sont » est cité (de 14% chez les 65 ans et plus à 31% chez les 18-24 ans), preuve qu'un certain fatalisme traverse une partie de la jeunesse du pays et que le rapport à l'adversité évolue avec l'âge et l'expérience. Dans le détail, le volontarisme des Français s'exprime dans leur propension à s'engager pour différentes causes, par exemple en faisant du bénévolat ou du volontariat pour une association ou ONG. Ainsi, deux tiers (64%) se disent prêts à s'engager auprès d'une organisation consacrée à la culture et aux loisirs, une thématique suivie par d'autres domaines plus relatifs aux problématiques sociétales comme l'environnement (62%), la santé (61%) et l'action humanitaire (60%, qui recoupe l'action caritative, l'aide à domicile, etc.). Par ailleurs, environ la moitié des Français serait prête à s'investir dans l'éducation (50%, par exemple dans des fédérations de parents d'élèves) ou la défense des droits (48%, syndicats, copropriétés, etc.). Si des centres d'intérêt comme le sport (44%) et le patrimoine (39%) suscitent encore une disposition d'engagement importante, on relève que les domaines les moins stimulants sont la politique (20%) et la religion (17%). Dans le détail, on observe un surcroît d'engagement potentiel chez les plus jeunes et un score généralement inférieur à la moyenne chez les plus âgés… sauf en matière de défense des droits (53% des personnes âgées de 65 ans et plus susceptibles de s'y investir
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Sondage IFOP - Les Français et la laïcité - 0 views

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    Face à la brutalité des attentats de Charlie Hebdo, de Montrouge et de la porte de Vincennes, l'opinion a vivement réagi en brandissant comme un talisman le concept de laïcité face au fondamentalisme islamique. Interrogés sur les dimensions républicaines perçues comme les plus importantes, les Français placent en effet aujourd'hui très largement en tête cette notion de laïcité (46%), loin devant le suffrage universel (36%), la liberté d'association (8%) ou la libre constitution des partis politiques ou la liberté syndicale (5% chacune). Par rapport à mars 2008, date à laquelle avait pourtant eu lieu le débat sur la « laïcité positive », la hiérarchie des réponses s'est inversée. A l'époque, le suffrage universel s'imposait avec 41%, soit 5 points de plus qu'aujourd'hui devant la laïcité à 30% seulement, mais qui était déjà en légère progression par rapport à 2003 (+5 points). Ce dernier item a donc fait un bond de 16 points par rapport à 2008 et ce mouvement d'opinion spectaculaire est bien sûr à mettre en lien avec les attentats. Cette progression est particulièrement marquée dans l'électorat UMP (+21 points), qui place désormais cette notion devant le suffrage universel (47% contre 40%) alors qu'en 2008 cet item surclassait très largement la laïcité dans l'électorat de droite (53% contre 26%). Le vif regain d'intérêt porté à la laïcité s'exprime avec moins de force dans l'électorat socialiste (+9 points) mais ce dernier s'affichait déjà à l'époque comme plus attaché à cette valeur que l'électorat UMP (36% contre 26%). Si la laïcité est donc fortement plébiscitée dans le Panthéon des valeurs républicaines, à quoi renvoie-t-elle pour les Français ? Pour 51% des personnes interrogées (-5 points par rapport à une enquête de septembre 2008), elle est d'abord conçue comme « la possibilité laissée à chaque citoyen de pratiquer sa religion ». Pour 25% (+1 po
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N° 3142 - Proposition de loi de M. Yves Jégo relative à la mise en place d'un... - 0 views

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    "EXPOSÉ DES MOTIFS Mesdames, Messieurs, Depuis dix ans notre pays est régulièrement traversé par des débats sur la nature des menus scolaires, laissant ainsi bien des élus, responsables des cantines scolaires publiques, dans un grand désarroi face à ce sujet de société de plus en plus virulent. Peut-on obliger un enfant catholique à manger de la viande un Vendredi saint parce que rien d'autre ne lui est proposé, ou bien un enfant juif ou musulman à consommer du porc ? Doit-on participer au gâchis alimentaire en prescrivant aux enfants qui ne souhaitent pas consommer de chair animale de laisser sur le bord de leur assiette la partie du menu ne leur convenant pas ? Dans les cantines de la République, faut-il prendre en compte les prescriptions religieuses et, si oui, dans quelles limites ? Doit-on obliger les enfants à jeûner ou à se nourrir de façon déséquilibrée à défaut de vouloir transgresser les habitudes familiales ? De plus en plus de nos compatriotes aspirent à préserver la vie animale et se refusent par éthique à consommer viande ou poisson. Doit-on être à l'écoute de ce mouvement de société ? Nourrir dans quelques décennies onze milliards d'êtres humains et protéger la planète en particulier des émissions massives de C02 obligera les générations à venir à réviser leur mode d'alimentation. Doit-on anticiper cette réalité pour faciliter cette évolution ? Telles sont quelques-unes des questions que se posent ceux qui ont en charge la restauration des enfants de nos écoles. Le juste équilibre est souvent bien difficile à trouver tant les approches et les arrières pensées des uns et des autres viennent détourner ces questions. À défaut d'une règle ou d'une autorité capable de la définir, ce sujet devient de fait l'otage de tous les extrémismes et la source d'un affrontement bien inutile dans des espaces qui devraient pourtant être des lieux d'équité républicaine et d'apai
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Proposition de loi relative au parrainage civil - Rapport de la Commission de... - 0 views

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    LES CONCLUSIONS DE LA COMMISSION DES LOIS Réunie le 12 mai 2015, sous la présidence de M. Philippe Bas, président, la commission des lois a examiné le rapport de M. Yves Détraigne, rapporteur, et établi son texte sur la proposition de loi n° 390 (2014-2015) relative au parrainage civil. Soucieuse d'assurer une égalité de traitement de tous les citoyens, la commission des lois a approuvé le principe de la consécration dans la loi de la pratique des parrainages civils ou républicains, pratique qui fait actuellement l'objet d'une application inégale sur le territoire. Elle a cependant adopté quatre amendements de son rapporteur tendant à la réécriture du texte afin de le modifier sur plusieurs points. La commission des lois a écarté la proposition de faire de cette simple coutume un acte d'état civil. Dès lors, elle a estimé qu'il n'était pas opportun d'introduire ces dispositions dans le code civil et d'imposer que le parrainage républicain soit célébré par un officier d'état civil. Le maire, l'un de ses adjoints ou un conseiller municipal seraient ainsi compétents. L'acte de parrainage serait inscrit dans un registre spécifique tenu en mairie. Elle a également encadré le choix de la commune de célébration, pour écarter tout risque de « tourisme du parrainage républicain ». Elle a ensuite prévu que la demande de parrainage devrait émaner des deux parents de l'enfant dès lors qu'ils sont tous deux titulaires de l'autorité parentale, et a précisé que ne pourrait être choisie comme parrain ou marraine de l'enfant, une personne déchue de ses droits civiques ou privée de l'autorité parentale sur son propre enfant. Quant à la nature du parrainage républicain, la commission des lois a choisi de s'en tenir à la consécration de la pratique existante : un engagement des parrain et marraine d'accompagner l'enfant dans son apprentissage de la citoyenneté et des valeurs républicaines, dénué d'effets juridiques, évitan
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Délai de réflexion et IVG | Net-iris 2015 - 0 views

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    "Le délai de réflexion d'une semaine avant de pratiquer une IVG, pouvant ne pas être respecté en cas d'urgence, pourrait être supprimé par la loi Santé. Le projet de loi Santé (1) en cours d'examen par l'Assemblée Nationale prévoit de modifier le régime juridique applicable à l'IVG (2). Un amendement a en effet été adopté selon lequel le délai de réflexion actuellement imposé aux femmes d'une durée de 7 jours, sauf en cas d'urgence (lorsque la femme enceinte risque de dépasser le délai légal de 12 semaines lui permettant d'interrompre se grossesse), serait supprimé. Rappelons en effet qu'actuellement, la loi autorise qu'il soit mis fin à une grossesse avant la fin de la 14ème semaine après le début des dernières règles (12 semaines de grossesse). Notons également que la femme majeure dispose du droit d'apprécier elle-même la situation sans que son conjoint ou le père de l'enfant ait à être consulté (3). La patiente, lors d'un premier entretien avec le médecin, est informée des méthodes médicales et chirurgicales utilisées, et des risques présentés par une telle intervention (4). La femme majeure se voit alors proposer une seconde consultation au cours de laquelle des conseils et une assistance peuvent lui être apportés, et peut choisir de l'accepter ou non. La femme mineure, en revanche, ne peut pas refuser d'en bénéficier. A l'issue du premier entretien, un délai de réflexion (5) d'une semaine est accordé avant de recueillir une conformation écrite de sa volonté de recourir à l'IVG. Ce délai de réflexion peut ne pas être respecté si l'urgence de la situation l'impose (c'est à dire si la femme risque de dépasser le délai légal pour pratiquer l'IVG). En outre, si la seconde consultation a eu lieu, un délai de 2 jours doit être respecté à son issue (ce délai de 2 jours pouvant être compris dans le délai de 7 jours susvisé). Ce délai d'une semaine, ne paraissant toutefois pas déraisonnable com
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