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Sud Radio - Laïcité, PMA, bioéthique… Qu'attendent les catholiques d'Emmanuel... - 0 views

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    "Reportage Sud Radio. Alors qu'Emmanuel Macron va rencontrer les évêques de France ce lundi au collège des Bernardins à Paris, les catholiques français font part de leurs attentes envers le président français. C'est une soirée quelque peu inhabituelle qui s'annonce ce soir au collège des Bernardins à Paris, où le chef de l'État Emmanuel Macron échangera avec les évêques de France sur de nombreux sujets de société. Lui-même baptisé et ayant connu l'enseignement des jésuites dans sa jeunesse, le président de la République ne s'est pas encore trop mouillé sur le thème de la laïcité. Une question sur laquelle l'attendent certains catholiques aujourd'hui. "La laïcité sombre un peu dans l'athéisme, on n'a plus le droit de parler de Dieu. Le président de la République a de gros défis devant lui, et je ne pense pas qu'il soit capable de les relever", affirme Nicolas (24 ans), tout juste baptisé, au micro de Sud Radio. Très engagé dans son aumônerie parisienne, Jean-Eudes déplore lui une évolution sociétale difficile pour les chrétiens. "On aimerait bien avoir plus de place, on a la sensation d'être devenus une minorité parmi d'autres", regrette-t-il. DS 3 PERFORMANCE LINE Entrez dans le cercle, et profitez d'une prime reprise de 3000€ "On attend de lui de la mesure et de la réserve sur ces sujets" Pour Sylvie en revanche, la distance entretenue jusqu'ici par Emmanuel Macron sur les questions de religion n'est pas une mauvaise chose. "On attend de la mesure. La posture de notre président, qui est plutôt sur la réserve sur ces sujets, est plutôt sécurisante», pense-t-elle. Catherine, de son côté, attend du président de la République qu'il entretienne une valeur qui lui est chère : le vivre-ensemble. «Je suis une catholique très ouverte, profondément attachée à ce que le Christ nous enseigne, particulièrement ce respect de l'être", indique-t-elle. Cette soirée devrait sans
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Transmettre (2) | Aumônerie Militaire Catholique - Diocèse Aux Armées Françaises - 0 views

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    "« Le Fils de l'homme, quand il viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? Lc 18, 8. Dans notre précédente rubrique, nous avons voulu insister fortement sur la nécessité de transmettre la culture aux jeunes générations noyées sous un flot d'informations et de savoirs qui ne leur permettent pas de développer leur humanité. La culture, disions-nous, est « inséparable de la vie et de sa croissance ». Or n'est-ce pas précisément l'enjeu de la foi chrétienne que d'accueillir la Vie, c'est-à-dire le Christ lui-même venu révéler Dieu ? Dans la finale de leur évangile, les trois évangélistes Matthieu, Marc et Luc rapportent la mission que le Christ ressuscité confie à ses Apôtres : aller dans le monde entier pour y faire des disciples [1]. C'est la nature même de la foi que d'être transmise. Cependant le christianisme définit la foi comme un don de Dieu lui-même, c'est l'Esprit qui la transmet. Alors que veut-on dire aujourd'hui lorsque l'on parle de « transmettre la foi » ? Que faut-il entendre par foi ? « Il y a croire et croire, et cette différence paraît dans les mots croyance et foi. La différence va même jusqu'à l'opposition ; car selon le commun langage, et pour l'ordinaire de la vie, quand on dit qu'un homme est crédule, on exprime par là qu'il se laisse penser n'importe quoi, qu'il subit l'apparence, qu'il subit l'opinion, qu'il est sans ressort. Mais quand on dit d'un homme d'entreprise qu'il a la foi, on veut dire justement le contraire. »[2] Faut-il opposer la croyance et la foi au risque, comme le laisse entendre ici le propos d'Alain, de dévaloriser la première pour ne retenir que la seconde ? Il est vrai que l'usage courant du verbe « croire » ne va pas sans ambiguïté selon qu'on l'utilise dans le sens de « croire que » ou dans le sens de « croire en ». Lorsque « je crois que », je signifie que « je tiens po
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TradiNews: [Abbé Hervé Mercury - A Crucetta] Les Confirmations de Mgr Bonfils... - 0 views

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    "[Abbé Hervé Mercury - A Crucetta] Les Confirmations de Mgr Bonfils - Entretien avec l'abbé Hervé Mercury 2/2 SOURCE - Abbé Hervé Mercury - A Crucetta - Octobre 2012 La rédaction d'A Crucetta précise que cet entretien a été réalisé avant le renvoi de l'abbé Mercury de la Fraternité Saint-Pie X. A Crucetta : Monsieur l'Abbé, dans quelle mesure les fidèles ont-ils été associés à la décision de laisser Mgr Bonfils procéder aux confirmations? Abbé Mercury : Dans la semaine qui a suivi le 23 janvier, après avoir transmis l'information à l'abbé Radier, j'ai avertiles parents concernés que Mgr Bonfils tenait à faire lui-même les confirmations dans la forme extraordinaire du rite romain. Je leur ai demandé de réfléchir à la question et de me donner leur avis. Il était évident que, si les fidèles étaient contre, le projet tombait à l'eau de lui-même. Certaines familles m'ont demandé des éclaircissements sur la validité et la licéité du rite dans un cas pareil. Je leur ai présenté les arguments que j'ai déjà développés dans la première partie de cet entretien. Elles ont été rassurées de voir que nous ne marchions pas à l'aveuglette. Ce qui nous guide, ce sont les principes obvies de la théologie catholique.Les discussions durant cette période ont été sereines. Les fidèles ont pu avoir tous les éléments nécessaires pour se forger une opinion et envisager calmement la venue ou non de Mgr Bonfils dans leur chapelle. Finalement, il n'y a eu aucune opposition de la part des fidèles contactés. Le 12 février, je leur ai annoncé que les confirmations auraient bien lieu le 11 mars selon ce qu'en avait décidé l'évêque du diocèse. Je n'avais aucune nouvelle des supérieurs. S'ils ne m'avaient pas contacté pour une affaire aussi grave, c'est qu'ils ne voyaient aucun obstacle majeur à cette cérémonie. Vu la proximité de la date du 11 mars, j'ai commencé immédiatement la
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Homélie de la Messe pour la Paix - 11 janvier 2015 - 0 views

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    "mélie de la Messe pour la Paix - 11 janvier 2015 Messe pour la paix Cathédrale des soldats, 11 janvier 2015 Accueil Le 13 septembre 2014, le pape François commémorait le début de la Grande Guerre. Il affirmait alors : « L'ombre de Caïn nous recouvre aujourd'hui, dans ce cimetière. On le voit ici. On le voit dans l'histoire qui va de 1914 jusqu'à nos jours. Et on le voit aussi de nos jours. Avec un cœur de fils, de frère, de père, je vous demande à vous tous, et pour nous tous, la conversion du cœur : passer de « Que m'importe ? », aux larmes. Pour tous ceux qui sont tombés dans le « massacre inutile », pour toutes les victimes de la folie de la guerre, en tout temps. Les pleurs. Mes frères, l'humanité a besoin de pleurer, et c'est maintenant l'heure des larmes. » La France pleure. Le monde pleure. Par le silence, nous exprimions notre proximité. Ce matin, nous voulons vivre un grand moment religieux où la proximité devient prière. A cette prière, nous joignons notre reconnaissance pour toutes les forces de sécurité et pour nos soldats. Chaque jour, depuis 13 ans, ils paient un lourd tribut pour nous défendre. Nos amis policiers ne sont pas les derniers à avoir payé le prix du sang. Ils font notre admiration. Ils sont notre fierté. Qu'ils soient remerciés et félicités par tous. Ils ont encore montré aujourd'hui leurs compétences et leur dévouement. Nous sommes tous là, autorités politiques, militaires et religieuses, simples croyants pour pleurer, prier et bénir. Faisons-le avec force et humilité. Homélie La mort fait irruption chez nous avec une brutalité inouïe. Nommons-la : c'est celle de la guerre. Nous autres militaires, nous sommes aussi bouleversés que les autres. Mais nous sommes peut être moins surpris que les autres. Nous le savions : à force de rôder dans le jardin, l'ennemi finit par fracturer la maison. Il devient alors un voleur de vies, un violeur de destinées. La g
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Voeux de Mgr Mathieu, notre évêque - 0 views

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    "Le tourbillon des nouvelles quotidiennes nous fait perdre le Nord... Entre violences des conflits fratricides et menaces effrayantes sur l'environnement, d'une part, et inventions scientifiques non contrôlées aux capacités insoupçonnables, d'autre part, quelles routes allons-nous emprunter ? Chacun a bien ses raisons de vivre, pour se lever chaque matin, faire son ouvrage, son « métier » d'homme ou de femme, qu'on soit jeune, ou adulte, ou vieillard, en bonne santé ou marqué par divers handicaps. L'on est attaché à des êtres chers et des projets passionnants. En ces jours d'hiver où les nuits sont longues, les lumières ne manquent pas, scintillements qui éblouissent et aveuglent, ou qui éclairent nos routes. Puisque nous allons fêter Noël et le Nouvel An, je me pose d'abord deux questions : À quelle source pouvons-nous boire ? Vers quoi allons-nous ? « Tout nous est donné » ou « le subversif de la crèche ». Evidemment, en croyant que je suis, la source est à la crèche ! Quelques-uns en font un épouvantail et d'autres un drapeau. Elle est d'abord un pauvre berceau, inoffensif. C'est l'accueil d'un enfant. Nous sommes tous passés par là. La crèche nous renvoie à ceux dont nous sommes venus, qui nous ont façonnés, marqués, notre héritage génétique, la couleur de nos yeux, notre tempérament. L'éducation reçue dans la famille et à l'école nous a fait grandir. Notre histoire est jalonnée de nos réussites, nos échecs. De multiples rencontres nous ont influencés, et aussi des épreuves, et les carrefours de la maladie, des ruptures. Des choix successifs nous ont construits. Chacun peut se souvenir de son histoire personnelle, comment notre enfance, notre adolescence et notre jeunesse nous ont ouverts à l'autre, à la vie ensemble. Je sais bien - ou plutôt je pressens - le poids de nos conditionnements dans tous les lieux et communautés où nous avons grandi. À notre tour nous les avons mar
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Bioéthique et avancées scientifiques : le point de vue du père Saintôt - 0 views

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    "La science est légitimement en quête d'efficacité, d'amélioration des techniques et de compréhension des causes des maladies et des handicaps pour les guérir. Les espoirs soulevés par des découvertes récentes semblent pousser la société à vouloir aller vers un contrôle systématique de la naissance, de la maladie et de la mort, vers la perfectibilité de l'être humain. Où se trouve la frontière entre ce que l'on peut faire et ce que l'on pourrait être capable de faire ? Quelle est celle à ne pas franchir au-delà de laquelle on porte atteint à l'être humain ? Il ne s'agit pas de remettre en cause les recherches scientifiques, mais d'en maîtriser l'usage. Aucune science ne trouve en elle-même sa pleine signification. Elle doit se confronter à d'autres pour aborder la question de leur sens et des conséquences des progrès scientifiques pour l'avenir. L'Église a fait de nombreuses déclarations sur le sujet. Comment la théologie peut-elle contribuer à développer les capacités de réflexion, d'argumentation et d'action des chrétiens confrontés aux difficiles questions de bioéthique ? Le jésuite Bruno Saintôt collabore au Département d'Ethique Biomédicale du Centre Sèvres à Paris. Il est interrogé par Thomas Chabolle RealAudioMP3 "Je pourrais dire qu'à la lumière de ce nouveau pontificat, le Pape veut remettre au centre l'Évangile et peut-être pas d'abord l'interdit. Mais il n'a rien changé, je pense qu'il ne va rien changer sur à la fois la doctrine sociale mais aussi les grandes références anthropologiques et éthiques de ces prédécesseurs Benoît XVI, Jean-Paul II, Jean-Paul VI, Jean XXIII. Il ne va rien changer sur la doctrine fondamentale. Par contre on pourrait dire, qu'il remet au centre l'Évangile : la Bonne Nouvelle, l'accueil fondamental de l'autre et aussi le pouvoir que l'homme a de faire le bien. Il faut toujours commencer par révéler aux hommes le pouvoir qu'ils ont de faire l
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N° 2430 - Proposition de loi (...) relative au respect du principe de laïcit... - 0 views

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    "PROPOSITION DE LOI relative au respect du principe de laïcité dans le cadre scolaire, EXPOSÉ DES MOTIFS Mesdames, Messieurs, La France est une République laïque au terme de l'article 2 de la Constitution. Elle l'est par tradition depuis la Révolution et par vocation dans la mesure où la laïcité est le corollaire naturel des principes de liberté et d'égalité qui fondent notre modèle républicain. L'article X de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen proclame que « nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas la loi ». Le préambule de la Constitution du 27 octobre 1946 affirme que « la loi garantit à la femme, dans tous les domaines, des droits égaux à ceux de l'homme ». La France est, en outre, signataire de la Convention internationale des droits de la femme qui dispose, en son article V, que les États signataires s'engagent à « modifier les schémas et modèles de comportements socioculturels de l'homme et de la femme en vue de parvenir à l'élimination des préjugés et des pratiques coutumières ou de tout autre type, qui sont fondés sur l'idée de l'infériorité ou la supériorité de l'un ou de l'autre sexe ou d'un rôle stéréotypé des hommes ou des femmes ». La laïcité, appliquée à l'école, transcrit un idéal de liberté. Elle garantit la liberté de conscience en dehors des dogmes officiels et des religions. L'élève peut vivre, penser, juger et décider en écoutant sa propre conscience. Face aux particularismes religieux qui entraîneraient l'absentéisme spécifique des élèves dont les croyances s'opposeraient aux contenus de certains cours ou au calendrier scolaire commun, la jurisprudence administrative confirme qu'aucune communauté religieuse ne peut se soustraire aux obligations scolaires essentielles. Ce principe de laïcité est clairement menacé sous le coup de poussées communautaris
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Élargir la PMA ? "Cela pourrait rouvrir des plaies", dit Monseigneur Pontier - 0 views

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    "L'archevêque de Marseille demande à Emmanuel Macron de ne pas "court-circuiter le temps du débat". Elizabeth Martichoux L'invité de RTL Elizabeth Martichoux Télécharger L'invité de RTL du 15 août 2017 Crédit Image : BERTRAND GUAY / AFP | Crédit Média : Jérôme Florin | Durée : 10:15 | Date : 15/08/2017 La page de l'émission Jérôme Florin Jérôme Florin Journaliste RTL Partager l'article publié le 15/08/2017 à 08:48 C'est un sujet qui revient régulièrement sur le devant de la table. Alors qu'Emmanuel Macron a promis d'élargir la procréation médicale assistée (PMA) aux couples de femmes et aux femmes célibataires, Monseigneur Pontier, l'archevêque de Marseille, pense que cela pourrait "rouvrir des plaies" et entraîner de nombreuses manifestations comme ce fut le cas lors des manifestations contre le mariage pour tous. "Il y a en jeu, non seulement le désir de chacun, mais le respect de l'enfant qui est le plus fragile. En cela, nous pensons qu'il n'est pas juste de faire de l'enfant un droit", a-t-il déclaré au micro de RTL. L'archevêque de Marseille, qui est également président de la Conférence des évêques de France, appelle de ce fait à la prudence. "Il faut aller très très prudemment et ne pas court-circuiter le temps du débat", annonce-t-il assurant que "le droit à l'enfant est quelque chose d'inacceptable". La rédaction vous recommande Oise : une fête pour célébrer "la vertu" des jeunes filles fait débat 7 prêtres refoulés d'un pub : "Désolé, pas d'enterrement de vie de garçon" Le père Bertrand Chevallier, prêtre à Saumur Saint-Étienne-du-Rouvray : "L'annonce a été tellement brutale", témoigne la sœur du père Hamel Religions PMA Société Vous aimerez aussi Découvrez les offres suréquipées de la Kia cee'd, garantie 7 ans ! Kia cee'd Suréquipée Ce thérapeute défie l'industrie des régimes Ventre plat Super rapport qualite/prix pour cette chaise haute ultra fonctionnelle et t
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Editorial de notre évêque dans le numéro de novembre 2014 d' « Eglise en Sart... - 1 views

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    "Editorial de notre évêque dans le numéro de novembre 2014 d' « Eglise en Sarthe » JPEG - 60.2 ko Nous venons de célébrer la fête de la Toussaint. Chaque année, la liturgie de l'Église nous invite à faire mémoire de tous les saints du ciel, connus et inconnus. Tous ceux qui, au cours de l'histoire, ont suivi le Christ par amour pour lui et pour aimer comme lui. L'Église est mystère de communion, à l'image même de la sainte Trinité. La communion ne s'arrête pas à la mort, comme nous le rappelle le Concile Vatican II. « Les uns parmi ses disciples continuent sur terre leur pèlerinage ; d'autres, ayant achevé leur vie, se purifient encore, d'autres enfin sont dans la gloire, contemplant dans la pleine lumière, tel qu'il est, le Dieu un en trois personnes. » (LG 49) Je suis personnellement sensible à la récente béatification du pape Paul VI, le pape qui a porté le Concile Vatican II. J'ai toujours été bouleversé par son courage, sa sagesse, sa joie. Il n'a pas toujours été compris, en particulier en France. On lui doit l'encyclique « Humanae vitae », texte prophétique, n'en déplaise à quelques-uns. L'exhortation « Evangelii nuntiandi » qui est la base de la réflexion sur la nouvelle évangélisation, son amour du Christ, de l'Église, de l'humanité jusqu'à la souffrance sont un exemple pour nous. J'ai eu la joie de participer à la mise en valeur du sanctuaire du bienheureux Basile Moreau, prêtre du diocèse du Mans, fondateur des Pères et Frères de Sainte-Croix, et des Sœurs Marianites. J'ai également eu la joie de participer à la célébration, au Prytanée militaire de La Flèche, en l'honneur de la canonisation de saint François de Montmorency-Laval, évêque missionnaire, fondateur de la ville de Québec au Canada, qui a passé neuf ans de sa vie au collège jésuite de La Flèche. J'en viens à rêver d'une fête de la Toussaint propre au diocèse du Mans. Les figure
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Le sens chrétien du corps - Diocèse La Rochelle - Saintes - 0 views

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    "Le sens chrétien du corps Une réflexion de notre évêque, Mgr Bernard Housset, à propos de la Toussaint. Cette fête de la Toussaint 2014 nous invite à l'espérance, tout en nous faisant réfléchir à notre mort. Les pratiques qui accompagnent celle-ci sont concernées par une évolution importante. Comme chacun le sait, la crémation (appelée incinération récemment encore) prend de plus en plus d'importance. Sa pratique, de 0,5 % en 1980, est passée à 30 % des enterrements en 2010. Certains spécialistes pensent même qu'elle sera demandée par 50 % des Français en 2020, c'est-à-dire demain. Plusieurs raisons - qu'il serait trop long de présenter - expliquent cette progression. Je voudrais simplement rappeler que l'Eglise catholique a évolué par rapport à la crémation. A l'heure actuelle, elle ne voit pas d'objection majeure à cette pratique, puisque celle-ci n'est plus voulue pour s'opposer à la foi chrétienne. Pas de contradiction entre la crémation et les convictions de l'Eglise par rapport au sens chrétien du corps. Quelles sont-elles ? Tout d'abord un grand respect Pour quelles raisons ? Simplement parce que chacun de nous est une personne créée par Dieu et procréée par ses parents. Notre corps est voulu par Dieu Créateur. De plus, nous croyons que Dieu le Fils s'est incarné dans un corps humain véritable, qui n'était pas une simple apparence. Enfin notre corps est appelé à ressusciter comme le Christ et grâce à Lui. Pour ces trois raisons (Création, Incarnation, Résurrection), notre corps possède une grande dignité et mérite un réel respect, sans en faire une idole ni le considérer avec dédain. D'ailleurs, lors des obsèques chrétiennes, le corps est désigné par les expressions « le défunt » ou « le corps du défunt », qui se réfèrent à une personne, contrairement aux mots « cadavre », « cendres » ou « restes ». De plus, notre foi chrétienne nous invite fermemen
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La CEF (Conférence de Evêques de France), lieu de pouvoir - Le Terrorisme pas... - 0 views

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    "La CEF, (Conférence des Evêques de France), lieu de pouvoir. Les informations que nous donnons ci-après vont surprendre ceux qui ont lu l'article de Laurent Dandrieu dans Valeurs Actuelles. Laurent Dandrieu voit dans les années du Cardinal Vingt-Trois à la tête de la CEF un « repositionnement » de l'Eglise de France qui était avant lui plus à gauche. Il voit aussi décroître le « centralisme démocratique » de cette institution et même il découvre une « conception minimaliste » de la CEF. Les exemples qu'il donne à l'appui de sa thèse sont assez surprenants. L'un d'entre eux surtout, la prière du 15 août 2012. Je rappelle qu'à cette date de nombreux évêques ont déjà parlé contre les lois scélérates et que le président de la CEF suit le mouvement. Je rappelle aussi que Mgr Antoine Herouard cité comme membre du « Siècle », par Emmanuel Ratier, a été secrétaire général adjoint puis secrétaire général en 2007de la CEF. Que dire de l'application de Summorum Pontificum ! Rappelons encore que l'archevêque de Paris est le Chancelier de l'Institut Catholique de Paris et qu'à ce titre il a nommé doyen de la FASSE (Faculté des sciences économiques et sociales) Sylvie Bukari de Pontual, avocate membre du service Justice et Paix de la CEF ( en réalité lieu où s'élabore l'idéologie de la CEF), et membre de la FIACAT (Fédération Internationale contre la torture) dont l'actuel président du CCFD, Guy Aurenche a été le président .Ce même Guy Aurenche a été nommé par le président de la CEF, Mgr Vingt Trois, à la tête du CCFD. Inutile de multiplier les exemples du « recentrement » de celui qui a étonné la presse internationale en noyant les quatre points non négociables dans une dizaine de priorités. Laurent Dandrieu n'a pas vu que le redressement de l'épiscopat en France est essentiellement dû à une poignée d'évêques et aux enseignements reçus de Benoît XVI p
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FSSPX - SSPX - La Porte Latine - Catholiques de Tradition - Mgr Lefebvre - Ci... - 0 views

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    "Cinq cardinaux préparent un livre en défense du Magistère traditionnel sur le mariage et la vie sacramentelle - 1er août 2014 Note de la rédaction de La Porte Latine : il est bien entendu que les commentaires repris dans la presse extérieure à la FSSPX ne sont en aucun cas une quelconque adhésion à ce qui y est écrit par ailleurs. "Cinq éminents Cardinaux préparent un livre en défense du Magistère traditionnel sur le mariage et la vie sacramentelle: soutenez le projet Le livre, intitulé "Demeurer dans la Vérité du Christ", sera publié en plusieurs langues et puisera abondamment aux sources premières du christianisme. "J'en connais un rayon sur ce livre. Les cinq Cardinaux mentionnés dans la présentation vous plairont, lorsque leurs noms seront révélés", assure Father Zuhlsdorf (1). Dans ce volume, cinq Cardinaux de l'Église et quatre autres universitaires répondent à l'appel lancé par le Cardinal Walter Kasper pour que l'Église 'harmonise' "la fidélité et la miséricorde dans sa pratique pastorale envers les personnes civilement divorcées et remariées". Après une brève introduction, la première partie du livre est consacrée aux textes bibliques relatifs au divorce et au remariage, et la seconde partie est une étude de l'enseignement et de la pratique de l'Église primitive. Dans aucun de ces deux domaines, biblique ou patristique, ces universitaires ne trouvent des éléments en faveur du type de "tolérance" prônée par le Cardinal Kasper pour les remariages civils suite à un divorce. Ce livre examine également la pratique orientale orthodoxe de l'oikonomia (comprise comme une "miséricorde" impliquant une "tolérance") pour des cas de remariage après un divorce et dans le contexte de la question épineuse de la Communion eucharistique. Il retrace l'histoire multiséculaire de la résistance catholique à cette convention, révélant de sérieuses difficultés théologiques et canoniques inhérentes à la prat
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La même semaine, la crèche de Noël est autorisée en Vendée et interdite à Mel... - 0 views

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    "Ubuesque. Cette semaine, la cour administrative de Nantes a cassé une décision de justice et autorisé en appel l'installation d'une crèche de Noël dans le hall du conseil départemental de la Vendée. La même semaine, à Melun, la cour d'appel a interdit la présence d'une crèche de Noël dans les lieux publics. Saisie par la fédération des « libres penseurs » de Seine-et-Marne, la justice a rendu sa décision. D'après la justice, la crèche de la Nativité a le caractère « d'un emblème religieux […] Elle représente la naissance de Jésus et est installée au moment où les chrétiens célèbrent cette naissance », a expliqué la cour. Une décision qui étonne car le 22 décembre 2014, le tribunal administratif de Melun avait rendu une décision contraire. Le maire Républicain Gérard Millet faisait alors valoir que « l'installation d'une crèche peut n'être, à l'époque de Noël, que la manifestation d'une tradition locale et une simple décoration festive dépourvue de signification symbolique ». Finalement, la cour d'appel a interdit la présence d'une crèche dans les lieux publics de la ville. Pour couronner le tout, elle a condamné la mairie à verser 1500 euros d'indemnité à l'association des « Libres penseurs ». A Nantes, pour les mêmes raisons, la justice autorise la crèche de Noël Et pourtant, cette semaine à Nantes, le tribunal administratif a pris une décision opposée. Justifiant que la crèche s'inscrit « dans le cadre d'une tradition relative à la préparation de la fête familiale de Noël, ne revêt pas la nature d'un signe ou emblème religieux », le tribunal a estimé que la présence de la crèche n'était pas contraire au principe de laïcité."
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Diocèse de Quimper : le siège peine à être pourvu - 0 views

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    "05/02/2015 - 09H00 Quimper (Breizh-info.com) - Personne ne semble être pressé de prendre la place de Mgr le Vert, dont la démission a été acceptée par le pape fin janvier Bien que la raison officielle réside dans l'état de santé du prélat, c'est en réalité la crise de gouvernance profonde que traverse le diocèse depuis des années qui justifie son retrait… et la difficulté de son remplacement. L'évêque émérite qui assure l'intérim, Mgr Gueneley, a 76 ans et est donc atteint par la limite d'âge. Impossible pour lui de prendre la suite. Selon une source très proche du dossier, plusieurs candidats issus du diocèse ou d'ailleurs ont été approchés ces dernières semaines pour prendre la tête de l'évêché de Quimper-Léon. Ils ont tous décliné l'offre, la raison principale était le refus de se retrouver dans le guêpier finistérien. Outre la crise de gouvernance alimentée par l'existence d'une fronde puissante au sein même du diocèse, la situation financière de l'évêché de Quimper s'est aggravée ces dernières années. En attendant, l'évêque émérite, doté de très faibles pouvoirs, continue d'expédier les affaires courantes. Et les fidèles de Cornouaille, du Trégor et du Léon ne savent plus à quel saint se vouer. Photos : DR [cc] Breizh-info.com, 2015, dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. eglise évêché Le Vert quimper mctel2« L'UDI milite pour la réunification de la Bretagne ». Entretien avec Michel Canevet, sénateur du Finistère breton-pocheLangue bretonne. De qui se moque Larousse ? Vous aimerez aussi cantonales Canton d'Antrain (35). Une candidate FN restaure un calvaire mis à terre. il y'a 4 heures 0 Commentaire figurant Lorient. La région Bretagne relaie le casting ethnique de « Marie et les naufragés » il y'a 2 jours 1 Commentaire Nantes_Peut-on_être_chrétien_et_franc-maçon Nantes. Peut-on être chrétien
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CRISE DE FOI - Des caméras dans les travées de l'église ? | Big Browser - 0 views

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    "8 juillet 2013 CRISE DE FOI - Des caméras dans les travées de l'église ? La vidéosurveillance peut-elle apporter une réponse aux églises soucieuses de leur sécurité ? La République du Centre explique, lundi 8 juillet, que "des mesures de sécurité inédites sont sur le point d'être prises entre les murs de la cathédrale [d'Orléans]". Le Centre de sécurité orléanais va en effet surveiller vingt-quatre heures sur vingt-quatre les travées de la cathédrale Sainte-Croix à l'aide de quatre caméras, "dont une placée dans la sacristie". Ces quatre appareils viennent s'ajouter à 140 caméras de vidéoprotection déjà disséminées dans la ville, explique La République du Centre. Cette surveillance renforcée fait suite à l'action menée par neuf personnes en mai, qui avaient réussi à grimper en haut des tours de l'édifice religieux pour déployer des banderoles dénonçant leurs problèmes de garde d'enfants. Un acte spectaculaire et très médiatisé, qui a relancé les interrogations sur la sécurité de l'église. Ces dernières années, la cathédrale d'Orléans a déjà eu faire face à un exhibitionniste et à un vol de tableau. Claude Girault, le recteur de la cathédrale Sainte-Croix, semble se résigner à cette intrusion des caméras. "Des gens peuvent se mettre à hurler subitement (…), détaille-t-il au quotidien régional. Vous savez, la frontière entre foi et folie peut parfois être infime ! Il peut aussi y avoir des incivilités, du vandalisme, ou de petits larcins… [Il] y a plus agréable, mais il faut bien y passer, je crois." Des diagnostics de sécurité en Essonne D'autres églises sont confrontées au même dilemme. A Berck-sur-mer, des caméras pourraient être installées dans deux édifices de la ville, l'église Saint-Jean-Baptiste et l'église Notre-Dame-des-Sables, révèle également La Voix du Nord. La demande a été faite auprès de la sous-préfecture par l'association Saint-Jean-des-Sables, qui gè
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RCF Nord de France - La nouvelle traduction de la Bible liturgique - 0 views

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    "La nouvelle traduction de la Bible liturgique Emission du lundi 18 novembre 2013 Intégrer à mon site Faites connaître cette émission : Partager l'article Facebook Twitter Google+ Viadeo LinkedIn E-mail Invités de l'émission Père Jacques Rideau directeur du Service national de la pastorale liturgique et sacramentelle Pauline Trémolet éditrice chez Mame Guillaume Arnaud directeur général délégué des éditions Mame Mgr Bernard-Nicolas Aubertin évêque de Tours Détails de l'émission Pourquoi les mots prononcés lors de la messe sont-ils importants ? Comment les choisit-on ? On en parle avec Stéphanie Gallet et ses invités. Appelez le 04 72 38 20 23* ou écrivez à letempsdeledire{at}rcf.fr. La nouvelle traduction de la Bible utilisée dans la liturgie catholique est une aventure humaine : des dizaines de spécialistes ont travaillé le texte pour en donner une version à la fois plus fidèle aux textes originaux et mieux adaptée aux oreilles d'aujourd'hui. C'est aussi un défi éditorial hors norme : quand on sait les difficultés de l'édition aujourd'hui, se lancer dans une telle entreprise n'est pas une simple affaire. C'est encore une belle histoire de foi car traduire la bible, lire et relire la parole de Dieu et la vie de son peuple, travailler cette langue et ces mots qui ont traversé les peuple pour mieux la restituer à ses contemporains, c'est aussi une facon de tracer son chemin vers Dieu. Enfin cette nouvelle traduction de la Bible liturgique, c'est aussi une nouvelle page de la vie de l'Eglise catholique et des communautés qui la constituent. Elle est en effet destinée à être lue dans les paroisses lors des offices, dans les couvents et les monastères pour ceux qui pratique la prière des heures, pour toutes les célèbrations et temps de prière qui ponctuent la vie du croyant en communauté. Parler de cette nouvelle traduction de la bible p
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La philosophe Fabienne Brugère persona non grata à la réunion de la pastorale... - 0 views

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    "La philosophe Fabienne Brugère persona non grata à la réunion de la pastorale familiale 18 mars 2014 Par La Rédaction Fabienne Brugère La philosophe Fabienne Brugère persona non grata à la réunion de la pastorale familiale Fabienne Brugère ©Isabelle Camus La journée de formation des délégués diocésains à la pastorale familiale, organisée par le Conseil Famille et société de la Conférence des évêques de France (CEF) autour du thème « Prendre soin de l'autre, un appel lancé à tous », n'accueillera finalement pas ce 19 mars, à Paris, la philosophe Fabienne Brugère (par ailleurs, n°20 sur la liste de Vincent Feltesse). Une décision qui fait suite à un article du blog Le Salon Beige, réputé proche de l'extrême-droite, qui avait lancé une pétition adressée à Mgr Georges Pontier, président de la CEF, pour demander le retrait de l'invitation de celle qu'ils présentent comme une « adepte de l'idéologie de Judith Butler », la pasionaria de la théorie du genre. « Cette invitation constitue un coup de poignard dans le dos », peut-on lire sur le blog connu pour ses prises de position anti-avortement et anti-mariage pour tous. Interrogé par le journal La Croix (article du 13 mars dernier), Mgr Jean-Luc Brunin, l'évêque du Havre qui préside le Conseil Famille et société de la Conférence des évêques de France, a semble-t-il voulu jouer la carte de l'apaisement. « Les conditions du dialogue ne sont pas réunies, comme l'ont montré les tensions et les remous qui ont entouré cette venue. Maintenir l'intervention aurait abouti à une crispation, qui aurait menacé la communion ecclésiale ». Ou quand des responsables catholiques plient face à un groupuscule classé à l'extrême-droite… feltesse La philosophe Fabienne Brugère persona non grata à la réunion de la pastorale familialeDe son côté, sur Twitter, le candidat socialiste aux municipales Vincent Feltesse, s'est dit « atterré » p
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N° 2583 - Proposition de résolution de Mme Véronique Besse visant à développe... - 0 views

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    "EXPOSÉ DES MOTIFS Mesdames, Messieurs, La question de la fin de vie se pose régulièrement. Plusieurs grandes lois ont été votées par la représentation nationale et devaient permettre de répondre aux attentes des Français. La première, en date du 9 juin 1999, vise à garantir le droit d'accès aux soins palliatifs. La deuxième, du 4 mars 2002, est relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé. Enfin, la troisième loi, dite Léonetti, du 22 avril 2005, s'oppose à « l'obstination déraisonnable » du corps médical et la « prolongation artificielle de la vie ». Seulement, les dispositions de ces lois ne sont pas toujours appliquées correctement. Dans leur récent rapport sur la fin de vie remis au Président de la République, les députés Jean Léonetti et Alain Claeys écrivent à propos de la loi Léonetti : « le constat est unanime sur sa méconnaissance par le grand public - et donc par les malades et leurs proches - et par les médecins, ce qui a pour conséquence son application très incomplète. » Cette méconnaissance a pour conséquence une répartition très inégale sur le territoire de l'offre de soins palliatifs. Aujourd'hui, seulement 20 % des patients qui pourraient en bénéficier ont accès aux soins palliatifs. Malgré trois plans triennaux de développement depuis 1999, l'offre ne répond pas à la demande. Pourtant les Français sont en réelle attente de soins palliatifs. En janvier 2011, 60 % des Français affirmaient préférer le développement des soins palliatifs à la légalisation de l'euthanasie selon un sondage réalisé par Opinion Way pour la Société française d'accompagnement et de soins palliatifs (SFAP). Trois ans plus tard, en octobre 2014, le départ de personnes pour la Suisse afin de bénéficier d'un suicide assisté signifiait pour 92 % des Français interrogés que la loi Leonetti sur la fin de vie fonctionnait de manière insatisfaisante (sondage IF
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Diocèse de Gap et d'Embrun Diocèse de Gap et d'Embrun - La chronique de Mgr J... - 0 views

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    "Dans sa chronique du 27 octobre 2013, Mgr Jean-Michel di Falco Léandri réagit à la présence du Premier ministre et du ministre de l'Intérieur à la Mosquée de Paris. Bonjour, Comme moi sans doute, vous avez appris cette excellente nouvelle, preuve de l'ouverture du gouvernement actuel. En effet, dans le respect de la laïcité, le Premier ministre et le ministre de l'Intérieur se sont rendus à la Mosquée de Paris, pour une célébration de la fête de l'Aïd. Ainsi que vous le savez, l'Aïd est l'une des grandes fêtes de la religion musulmane. Elle est célébrée le dixième jour du dernier mois du calendrier islamique, en souvenir du sacrifice d'Abraham, et elle coïncide avec le pèlerinage à La Mecque. Le Premier ministre et le ministre de l'Intérieur ont donc participé à une célébration de la fête de l'Aïd à la Mosquée de Paris en présence de mon ami Dalil Boubakeur, recteur de la Grande mosquée et président du Conseil français du culte musulman. Le maire de Paris était également présent. Je ne peux que me réjouir de cette visite à nos frères musulmans ainsi que des propos tenus par le Premier ministre à cette occasion. Car ce qu'il a dit en s'adressant aux musulmans, il le dirait sans doute, en tout cas je l'espère, de la même manière en s'adressant aux chrétiens, je le cite : « À travers vous, je salue une grande religion de France. Je mesure la place qui est la sienne dans notre pays et dans notre histoire. […] J'entends la parole que vous portez pour rassembler les femmes et les hommes autour d'un message de paix et de concorde, dans le cadre de la République, et en accord avec ses principes et ses valeurs. […] Je vous le redis avec force: toute atteinte au libre exercice du culte est intolérable, et toutes les croyances religieuses doivent pouvoir s'exprimer dans notre pays dans le respect des lois de la République, de la laïcité et des convictions de chacun. » (Fin de
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Fin de vie : la Boîte à idées appelle à la vigilanceLa boîte à idées | La boî... - 0 views

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    "Si la Boîte à idées salue la volonté de renforcer le droit des patients, et en particulier la rédaction et l'accessibilité des directives anticipées, elle met en garde contre certaines ambigüités juridiques du texte de loi qui risquent de mener à une « euthanasie masquée ». La Boîte à idées appelle particulièrement à la vigilance sur les dispositions relatives à la sédation « profonde » et continue » en phase terminale. Celle-ci ne doit avoir pour objectif que de soulager la douleur. Dans le deuxième cas identifié par les rapporteurs, l'intention de l'acte de sédation n'est pas claire. En effet, s'il s'agit simplement de soulager la douleur d'une personne ayant décidé d'interrompre ses traitements, les soins palliatifs seraient adaptés à ce type de situation. En réalité, il semble que l'intention de cet acte, conjugué à la décision d'arrêt des traitements, soit d'accélérer la venue de la mort plutôt que de la laisser faire son œuvre. Ainsi, une personne, qui initialement ne serait pas en phase terminale d'une affection grave et incurable, verrait son pronostic vital engagé à court terme du fait de sa décision d'arrêter son traitement. Au-delà des dispositions de cette proposition de loi, la Boîte à idées invite surtout le Gouvernement à se recentrer sur les vrais sujets, l'accessibilité des soins palliatifs et la formation de l'accompagnement des personnes en fin de vie. Car pour la Boîte à idées, le vrai enjeu de la fin de vie n'est pas législatif. La Boîte à idées, premier think-tank ayant chiffré l'investissement nécessaire pour y parvenir, l'a évalué à plus de 500 millions d'euros dans son dernier rapport. Les économies liées à la lutte contre les situations d'acharnement thérapeutique et les hospitalisations d'urgence des personnes en fin de vie permettront en partie de le financer. C'est la conviction de la Boite à idées : on ne peut pas aujourd
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