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Blogs Fait religieux Espagne : le mariage gay est constitutionnel ACY- Vu le 07/11/2012

"Mgr Carlos Osoro Sierra, archevêque de Madrid, en Espagne, sera « créé » cardinal par le pape François lors du consistoire le 19 novembre 2016."

Presse France Info Le porte-parole des évêques de France dit-il vrai sur les mariages gays en Espagne ? ACY- vu le 06/11/2012

"Des milliers de familles de toute l'Europe sont attendues pour célébrer la fête de la Sainte Famille, du 27 au 29 décembre 2013, sur la place Colón de Madrid, en Espagne."

Pays-Bas, Belgique, Espagne, Suède, Portugal et Danemark... Au début du XXIe siècle, le mariage homosexuel est une réalité en Europe (1). La France sera-t-elle le 7ème pays européen à sauter le pas en 2013 ou 2014 ?

"C'est ainsi, qu'en Espagne (et demain en France ?), un cardinal est persécuté parce qu'il annonce l'Evangile. Et il risque trois ans de prison… Il est temps de défendre nos pasteurs car l'Eglise n'est pas seulement menacée en Orient, mais également chez nous, ici, en France et en Europe. Vous pouvez soutenir le cardinal Cañizares en signant la pétition ci-dessous."

"Le pape François l'a dit clairement dans l'interview programmatique qu'il a accordée à "La Civiltà Cattolica" : les batailles publiques à propos de questions telles que l'avortement ou le mariage homosexuel ne sont pas prioritaires pour lui. Mais cela ne change rien au fait que le prochain synode sera consacré précisément au thème de la famille. Et, par conséquent, à des questions qui comptent actuellement parmi celles qui provoquent le plus de discussions, y compris sur le terrain politique. Généralement, on considère que le pape Jorge Mario Bergoglio demande aux évêques d'intervenir sur la scène publique, selon des modalités adaptées à chaque pays. Mais il y a de l'incertitude même parmi les évêques. En Italie, aux États-Unis, en Espagne - c'est-à-dire dans les pays où l'engagement public des épiscopats sur les thèmes de la vie et de la famille a été le plus combatif au cours de ces dernières années - certains insistent pour que l'on s'éloigne davantage de l'arène politique, à l'exemple - disent-ils - de ce que fait le pape. Or quel exemple a donné Bergoglio lorsque, étant archevêque de Buenos Aires, il a été confronté à l'approbation d'une loi permettant à des personnes du même sexe de se marier et d'adopter des enfants ?"

"e pape François envoie un message au président de la Conférence des évêques espagnols, à l'occasion de la rencontre européenne des jeunes (Avila, 5-9 août 2015). "

"A l'occasion de la nomination du cardinal Canizares, préfet de la Congrégation pour le culte divin, dans son diocèse d'origine à Valence, en Espagne, le directeur de La Vie laisse transparaître sa haine"

lors que la dynamique est là (plus de 900 cars de province, l'effet Peillon, etc.) et que Nicolas Sarkozy lui-même y croit, les médias continuent leur travail de sape et de désinformation : Le Nouvel Observateur tente de nous faire pleurer sur le sort des journalistes, paraît-il privés de Manif pour tous tandis que Rue89 ment en racontant que la dénaturation du mariage en Espagne est passée comme une lettre à la poste (entre 200 000 et un million de manifestants dans les rues de Madrid le 18 juin 2005)

"Ayant dit ce que nous pensions des groupuscules de la place de l'Etoile, nous pouvons dire à M. Erwann Binet (l'homme de la loi Taubira) ce que nous pensons du chahut d'hier soir à l'université de Saint-Quentin-en-Yvelines. Célèbre pour transformé en cérémonies du mépris certaines auditions préalables au vote de la loi, M. Binet était dans un amphi de cette université pour le service après-vente du "mariage pour tous". Habitué à parler en manager, le député ne s'attendait pas à des insurgés. J'ignore qui ils étaient, mais ils lui ont fait le coup classique des clameurs et des banderoles ; le député a estimé ne pas devoir rester, et a fait appeler la police - de plus en plus présente lorsqu'il est question de la loi Taubira. M. Binet déclare maintenant : "J'espère que ce n'est pas le signe d'une radicalisation". Je me permets de lui faire observer qu'en fait de radicalisation la loi Taubira est un record ; je lui signale aussi qu'un rien l'effraie, et qu'on doit s'attendre à du bruit lorsqu'on se rend dans les universités, à notre époque, en tant que porte-parole de la classe politique. Le temps est révolu où les étudiants écoutaient les leçons du libéralisme obligatoire : la crise est là, le système a montré ce qu'il valait (économiquement, socialement, moralement), plus personne n'est dupe ; la diversion métrosexuelle de type zapatériste est en train d'échouer en France comme elle a échoué en Espagne, et la violence du drame socio-économique ne peut plus être dissimulée sous des fumées arc-en-ciel. Déconseillons à M. Binet d'aller de nouveau face aux étudiants. Déconseillons-lui aussi les ouvriers et les paysans. Déconseillons-lui la région nantaise, la région lorraine et quelques autres. Il fait froid dehors ; M. Binet devrait rester au chaud rue de l'Université."

"Une bonne dizaine de pages "Spécial pape" ont été publiées le lendemain de la démission de Benoît XVI dans chacun des principaux quotidiens. Des émissions à la radio et à la télévision ont nourri le suspense avant et pendant le conclave. L'élection de Jorge Mario Bergoglio a été commentée en direct sur une multitude de sites Internet. Le site d'El Pais, pourtant le journal espagnol le plus laïc, a publié une trentaine d'articles durant la seule journée du 13 mars, plus d'une quinzaine le jour suivant et encore une dizaine le surlendemain... En Espagne, on ne plaisante pas avec la papauté !"

Il est probable cependant que cette action de masse, aussi spectaculaire soit-elle, ne suffira pas à faire fléchir un gouvernement et un président qui s'accrocheront aux promesses «  sociétales  » de leur programme, comme le Premier ministre socialiste Zapatero l'avait fait en Espagne alors que son pays buvait la tasse... Ils devront pourtant finir par admettre eux aussi qu'ils ont choisi de diviser notre pays au plus mauvais moment d'une des plus grandes crises économiques et sociales que le monde d'après-guerre ait connue.

"Dans un discours monumental en Espagne, le préfet de la congrégation pour la doctrine de la foi a replacé l'exhortation post-synodale dans le contexte de la précédente discipline de l'Église. Trop tard. Parce que, désormais, elle a été écrite par François d'une manière qui fait comprendre le contraire"

Diocèses Fréjus Toulon Commentaire de la décisiotn de la Cour européenne des Droits de l'Homme sur le renvoi d'un prêtre-enseignant d'un établissement catholique (Espagne) CS - vu le 07/08/2012

"La marche pour la vie a connu, hier à Paris, un beau succès, même s'il n'est pas du même ordre que celui de la Manif pour tous, lors des gigantesques manifestations de l'an dernier. Mais il faut dire que la cause est difficile à défendre dans le climat d'une culture extrêmement crispée à propos de l'avortement. On sait qu'en Espagne, le gouvernement qui veut revoir la législation se trouve en réelle difficulté, face à une opinion publique qui ne comprend pas, d'autant qu'elle a ingéré depuis des décennies toute une idéologie qui se veut libératrice de la femme et énonce des axiomes incontestés du style « mon corps m'appartient ». Sous-entendu, on ne peut m'imposer une naissance que je ne désire pas."

"En prévision du Synode sur la famille, un sondage donne la voix à la base catholique. (18/2/2014) Un lecteur (que je remercie) m'a indiqué le lien vers un document aussi passionnant que déprimant: ce sont les résultats d'un sondage sur la réception par les catholiques de la doctrine de l'Eglise sur les questions "morales", commandé par Univision - il s'agit, selon internet, du plus grand réseau de chaînes de télévision d'expression espagnole aux États-Unis. A cet effet, un échantillon significatif de 12.038 personnes se déclarant catholiques a été interrogé en 2014 à travers les cinq continents, en 9 langues, et dans 12 pays. Le document peut être téléchargé en anglais ici: http://www.west-info.eu/files/ENG_catholic-survey.pdf On voit donc les présumées positions des "fidèles" sur les questions de la communion aux divorcés remariés , du mariage des prêtres , du sacerdoce féminin , de l'avortement , de la contraception , du "mariage" gay ... et cela en Argentine, au Brésil, aux Etats-Unis, en Espagne, Italie, France , Pologne... Rien malheureusement pour l'Allemagne, l'Autriche et la Suisse, qui sont pourtant les pays en pointe dans la fronde contre l'Eglise."

"En partenariat avec l'archevêché de Rio de Janeiro (Brésil), organisateur des JMJ 2013, la Fondation Jérôme Lejeune a réalisé, avec la Jérôme Lejeune Foundation (USA), la Commission nationale de la Pastorale familiale de la Conférence des évêques du Brésil et le Centro de Estudios Biosanitarios (Espagne), une édition spéciale JMJ du Manuel de bioéthique des Jeunes. "

"Selon France Inter, depuis le décret d'application de la loi autorisant le mariage homosexuel, 596 couples de même sexe sont passé devant le maire dans les 50 plus grandes ville du pays. Paris est la ville qui a enregistré le plus d'unions homosexuelles. Des chiffres plus précis seront fournis par l'Insee dans un peu plus d'un an. 600 mariages représentent environ 1% du total des mariages en France durant ces trois mois. En 2006, en Espagne, 4.500 mariages homosexuels avaient été célébré un an après l'adoption de la loi autorisant les unions de même sexe. "

"Le réalisateur Alejandro Agresti veut mettre en image la vie du cardinal Jorge Bergoglio, plus connu aujourd'hui sous le nom de pape François. Le tournage de la vie de ce dernier débutera en 2014 en Argentine. C'est Rodrigo de la Serna qui interprétera le souverain pontife. La ressemblance est d'ailleurs troublante… "Historia de un cura" ("Histoire d'un prêtre", en français). C'est le titre du film dont le tournage devrait débuter au début de l'année prochaine et qui retrace la vie du cardinal Jorge Bergoglio, devenu le pape François. C'est en Argentine que devrait être réalisé ce long métrage, qui voyagera aussi en Espagne, en Allemagne et en Italie, selon le quotidien "La Nació". Et c'est Rodrigo de la Serna, qui avait joué Alberto Granado, le compagnon de route du Che Guevara dans "Carnets de voyage", qui interprétera le souverain pontife. Le réalisateur, Alejandro Agresti, a commencé à se documenter sur la vie du premier pape argentin dès sa nomination au plus haut poste du Vatican. Il veut en fait un film d'époque, sur l'arrivée du cardinal argentin à Rome. En espagnol, pour coller au plus près de la réalité."