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Sud Radio - Laïcité, PMA, bioéthique… Qu'attendent les catholiques d'Emmanuel... - 0 views

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    "Reportage Sud Radio. Alors qu'Emmanuel Macron va rencontrer les évêques de France ce lundi au collège des Bernardins à Paris, les catholiques français font part de leurs attentes envers le président français. C'est une soirée quelque peu inhabituelle qui s'annonce ce soir au collège des Bernardins à Paris, où le chef de l'État Emmanuel Macron échangera avec les évêques de France sur de nombreux sujets de société. Lui-même baptisé et ayant connu l'enseignement des jésuites dans sa jeunesse, le président de la République ne s'est pas encore trop mouillé sur le thème de la laïcité. Une question sur laquelle l'attendent certains catholiques aujourd'hui. "La laïcité sombre un peu dans l'athéisme, on n'a plus le droit de parler de Dieu. Le président de la République a de gros défis devant lui, et je ne pense pas qu'il soit capable de les relever", affirme Nicolas (24 ans), tout juste baptisé, au micro de Sud Radio. Très engagé dans son aumônerie parisienne, Jean-Eudes déplore lui une évolution sociétale difficile pour les chrétiens. "On aimerait bien avoir plus de place, on a la sensation d'être devenus une minorité parmi d'autres", regrette-t-il. DS 3 PERFORMANCE LINE Entrez dans le cercle, et profitez d'une prime reprise de 3000€ "On attend de lui de la mesure et de la réserve sur ces sujets" Pour Sylvie en revanche, la distance entretenue jusqu'ici par Emmanuel Macron sur les questions de religion n'est pas une mauvaise chose. "On attend de la mesure. La posture de notre président, qui est plutôt sur la réserve sur ces sujets, est plutôt sécurisante», pense-t-elle. Catherine, de son côté, attend du président de la République qu'il entretienne une valeur qui lui est chère : le vivre-ensemble. «Je suis une catholique très ouverte, profondément attachée à ce que le Christ nous enseigne, particulièrement ce respect de l'être", indique-t-elle. Cette soirée devrait sans
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Voeux de Mgr Mathieu, notre évêque - 0 views

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    "Le tourbillon des nouvelles quotidiennes nous fait perdre le Nord... Entre violences des conflits fratricides et menaces effrayantes sur l'environnement, d'une part, et inventions scientifiques non contrôlées aux capacités insoupçonnables, d'autre part, quelles routes allons-nous emprunter ? Chacun a bien ses raisons de vivre, pour se lever chaque matin, faire son ouvrage, son « métier » d'homme ou de femme, qu'on soit jeune, ou adulte, ou vieillard, en bonne santé ou marqué par divers handicaps. L'on est attaché à des êtres chers et des projets passionnants. En ces jours d'hiver où les nuits sont longues, les lumières ne manquent pas, scintillements qui éblouissent et aveuglent, ou qui éclairent nos routes. Puisque nous allons fêter Noël et le Nouvel An, je me pose d'abord deux questions : À quelle source pouvons-nous boire ? Vers quoi allons-nous ? « Tout nous est donné » ou « le subversif de la crèche ». Evidemment, en croyant que je suis, la source est à la crèche ! Quelques-uns en font un épouvantail et d'autres un drapeau. Elle est d'abord un pauvre berceau, inoffensif. C'est l'accueil d'un enfant. Nous sommes tous passés par là. La crèche nous renvoie à ceux dont nous sommes venus, qui nous ont façonnés, marqués, notre héritage génétique, la couleur de nos yeux, notre tempérament. L'éducation reçue dans la famille et à l'école nous a fait grandir. Notre histoire est jalonnée de nos réussites, nos échecs. De multiples rencontres nous ont influencés, et aussi des épreuves, et les carrefours de la maladie, des ruptures. Des choix successifs nous ont construits. Chacun peut se souvenir de son histoire personnelle, comment notre enfance, notre adolescence et notre jeunesse nous ont ouverts à l'autre, à la vie ensemble. Je sais bien - ou plutôt je pressens - le poids de nos conditionnements dans tous les lieux et communautés où nous avons grandi. À notre tour nous les avons mar
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Transmettre (2) | Aumônerie Militaire Catholique - Diocèse Aux Armées Françaises - 0 views

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    "« Le Fils de l'homme, quand il viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? Lc 18, 8. Dans notre précédente rubrique, nous avons voulu insister fortement sur la nécessité de transmettre la culture aux jeunes générations noyées sous un flot d'informations et de savoirs qui ne leur permettent pas de développer leur humanité. La culture, disions-nous, est « inséparable de la vie et de sa croissance ». Or n'est-ce pas précisément l'enjeu de la foi chrétienne que d'accueillir la Vie, c'est-à-dire le Christ lui-même venu révéler Dieu ? Dans la finale de leur évangile, les trois évangélistes Matthieu, Marc et Luc rapportent la mission que le Christ ressuscité confie à ses Apôtres : aller dans le monde entier pour y faire des disciples [1]. C'est la nature même de la foi que d'être transmise. Cependant le christianisme définit la foi comme un don de Dieu lui-même, c'est l'Esprit qui la transmet. Alors que veut-on dire aujourd'hui lorsque l'on parle de « transmettre la foi » ? Que faut-il entendre par foi ? « Il y a croire et croire, et cette différence paraît dans les mots croyance et foi. La différence va même jusqu'à l'opposition ; car selon le commun langage, et pour l'ordinaire de la vie, quand on dit qu'un homme est crédule, on exprime par là qu'il se laisse penser n'importe quoi, qu'il subit l'apparence, qu'il subit l'opinion, qu'il est sans ressort. Mais quand on dit d'un homme d'entreprise qu'il a la foi, on veut dire justement le contraire. »[2] Faut-il opposer la croyance et la foi au risque, comme le laisse entendre ici le propos d'Alain, de dévaloriser la première pour ne retenir que la seconde ? Il est vrai que l'usage courant du verbe « croire » ne va pas sans ambiguïté selon qu'on l'utilise dans le sens de « croire que » ou dans le sens de « croire en ». Lorsque « je crois que », je signifie que « je tiens po
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Homélie de la Messe pour la Paix - 11 janvier 2015 - 0 views

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    "mélie de la Messe pour la Paix - 11 janvier 2015 Messe pour la paix Cathédrale des soldats, 11 janvier 2015 Accueil Le 13 septembre 2014, le pape François commémorait le début de la Grande Guerre. Il affirmait alors : « L'ombre de Caïn nous recouvre aujourd'hui, dans ce cimetière. On le voit ici. On le voit dans l'histoire qui va de 1914 jusqu'à nos jours. Et on le voit aussi de nos jours. Avec un cœur de fils, de frère, de père, je vous demande à vous tous, et pour nous tous, la conversion du cœur : passer de « Que m'importe ? », aux larmes. Pour tous ceux qui sont tombés dans le « massacre inutile », pour toutes les victimes de la folie de la guerre, en tout temps. Les pleurs. Mes frères, l'humanité a besoin de pleurer, et c'est maintenant l'heure des larmes. » La France pleure. Le monde pleure. Par le silence, nous exprimions notre proximité. Ce matin, nous voulons vivre un grand moment religieux où la proximité devient prière. A cette prière, nous joignons notre reconnaissance pour toutes les forces de sécurité et pour nos soldats. Chaque jour, depuis 13 ans, ils paient un lourd tribut pour nous défendre. Nos amis policiers ne sont pas les derniers à avoir payé le prix du sang. Ils font notre admiration. Ils sont notre fierté. Qu'ils soient remerciés et félicités par tous. Ils ont encore montré aujourd'hui leurs compétences et leur dévouement. Nous sommes tous là, autorités politiques, militaires et religieuses, simples croyants pour pleurer, prier et bénir. Faisons-le avec force et humilité. Homélie La mort fait irruption chez nous avec une brutalité inouïe. Nommons-la : c'est celle de la guerre. Nous autres militaires, nous sommes aussi bouleversés que les autres. Mais nous sommes peut être moins surpris que les autres. Nous le savions : à force de rôder dans le jardin, l'ennemi finit par fracturer la maison. Il devient alors un voleur de vies, un violeur de destinées. La g
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Strasbourg - Lettre pastorale sur le Grand Jubilé de sainte Odile - 0 views

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    Après une première lettre pastorale en 2017 sur la jeunesse et celle de l'an dernier qui évoquait la question des abus sexuels dans l'église, la lettre pastorale de cette année est consacrée à l'un des grands temps forts de l'année 2020 : Le Grand Jubilé de sainte Odile. En introduction, l'archevêque de Strasbourg rappelle le sens de ce jubilé « un temps de joie heureuse, de jubilation dans le Seigneur, un moment détaché des autres, …à même de changer nos vies malgré toutes les lourdeurs et tous les maux de notre existence » Après nous avoir rappelé la vie d'Odile, « la sainte qui mourut deux fois et celle qui naquit deux fois », Mgr Ravel insiste sur la raison d'être de ce Grand jubilé en parlant de réinitialisation chrétienne « C'est le don d'un temps joyeux, hors du temps habituel, qui permet de réinitialiser l'homme moderne, de nettoyer les virus qui l'encombrent, de redéployer le logiciel surnaturel sur lequel Dieu inscrit des applications diverses, les dons et les charismes ». Pour lui, ce message est d'actualité « Il s'agit de profiter de ce Grand jubilé pour prendre le temps de renaître aujourd'hui afin d'accomplir sa vie demain. C'est l'occasion de vivre ou revivre le baptême, l'Onction sainte, l'Eucharistie pour devenir cet homme nouveau dans le Christ, libre d'aimer et amoureux de la liberté » Mais que faire concrètement pour vénérer sainte Odile ? Gravir le Mont au moins une fois au cours des huit mois de ce jubilé « monter au Mont non pas pour y accéder mais pour s'élever, à pied ou en vélo, seul ou en groupe, en une heure ou en trois jours » Un parcours initiatique, depuis la source jusqu'à la chapelle, ouvrira les yeux de chaque pèlerin pour qu'il revoie sa vie à l'aune de Dieu. Comme le précise Mgr Ravel, « chaque pèlerin priera pour sa propre métamorphose intérieure » et l'Archevêque de confier à Odile trois intentions de prière du dio
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Élargir la PMA ? "Cela pourrait rouvrir des plaies", dit Monseigneur Pontier - 0 views

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    "L'archevêque de Marseille demande à Emmanuel Macron de ne pas "court-circuiter le temps du débat". Elizabeth Martichoux L'invité de RTL Elizabeth Martichoux Télécharger L'invité de RTL du 15 août 2017 Crédit Image : BERTRAND GUAY / AFP | Crédit Média : Jérôme Florin | Durée : 10:15 | Date : 15/08/2017 La page de l'émission Jérôme Florin Jérôme Florin Journaliste RTL Partager l'article publié le 15/08/2017 à 08:48 C'est un sujet qui revient régulièrement sur le devant de la table. Alors qu'Emmanuel Macron a promis d'élargir la procréation médicale assistée (PMA) aux couples de femmes et aux femmes célibataires, Monseigneur Pontier, l'archevêque de Marseille, pense que cela pourrait "rouvrir des plaies" et entraîner de nombreuses manifestations comme ce fut le cas lors des manifestations contre le mariage pour tous. "Il y a en jeu, non seulement le désir de chacun, mais le respect de l'enfant qui est le plus fragile. En cela, nous pensons qu'il n'est pas juste de faire de l'enfant un droit", a-t-il déclaré au micro de RTL. L'archevêque de Marseille, qui est également président de la Conférence des évêques de France, appelle de ce fait à la prudence. "Il faut aller très très prudemment et ne pas court-circuiter le temps du débat", annonce-t-il assurant que "le droit à l'enfant est quelque chose d'inacceptable". La rédaction vous recommande Oise : une fête pour célébrer "la vertu" des jeunes filles fait débat 7 prêtres refoulés d'un pub : "Désolé, pas d'enterrement de vie de garçon" Le père Bertrand Chevallier, prêtre à Saumur Saint-Étienne-du-Rouvray : "L'annonce a été tellement brutale", témoigne la sœur du père Hamel Religions PMA Société Vous aimerez aussi Découvrez les offres suréquipées de la Kia cee'd, garantie 7 ans ! Kia cee'd Suréquipée Ce thérapeute défie l'industrie des régimes Ventre plat Super rapport qualite/prix pour cette chaise haute ultra fonctionnelle et t
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«Être et Temps» | Ecclesia - 0 views

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    "L'entretien avec le pape François paru dans Etudes m'a fait penser à ce livre du philosophe Martin Heidegger. Non pas que le Pape soit heideggerien, mais sa vision du temps, comme celle d'Heidegger, ne sépare pas l'être de sa manifestation dans le temps. Ce qui frappe dans cet entretien, c'est l'accent mis sur la temporalité de la réalité ecclésiale. L'Eglise n'est pas une «entité» métaphysique ; le principe de son unité est la charité divine - en ce sens l'Eglise est «méta-physique», au delà des réalités empiriques ; cette unité dans la charité trinitaire est nourrie et entretenue par la Parole de Dieu et les sacrements, mais cela ne fait pas de l'Eglise une personne morale - ou surnaturelle - flottant au-dessus des vicissitudes du temps. C'est dans une communauté : le Peuple de Dieu, que se manifeste concrètement l'action de Dieu. Et ce peuple, insiste le pape, est pris dans l'histoire et inséparable d'elle. «Dieu se manifeste dans la révélation historique, écrit le pape, dans le temps. Le temps initie le processus, l'espace les cristallise. Dieu se trouve dans le temps, dans les processus en cours. (…) Dieu se manifeste dans le temps et il est présent dans les processus de l'histoire.» Et le pape conclut ce passage (p. 21) par cette formule paradoxale, qui interdit toute lecture dialectique (tantôt progressiste, tantôt conservatrice) : «Cela conduit à privilégier les actions qui génèrent des dynamiques nouvelles. Cela requiert patience et attente»"
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Pourquoi il ne faut rien changer - Edito - La Vie - 0 views

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    "On peut gloser sur la présence ce dimanche à Paris de tel ou tel chef d'Etat ou de gouvernement peu respectable car peu respectueux de la liberté de la presse ou de la liberté religieuse. Ou, à l'inverse, sur l'absence officielle d'un grand pays comme le Maroc, en raison de l'exhibition dans le défilé de caricatures « blasphématoires ». On peut et on doit entendre les voix discordantes : ceux qui n'avaient pas envie de se manifester, ceux qui voulaient faire savoir qu'ils venaient avec telle ou telle intention politique, telle ou telle conviction particulière, telle ou telle indignation sélective. Mais si l'on peut discuter de tout, il y a aussi, comme dit la Bible dans le livre de l'Ecclésiaste, un temps pour tout : « un temps pour tuer et un temps pour guérir, un temps pour démolir et un temps pour construire, un temps pour pleurer et un temps pour rire, un temps pour se lamenter et un temps pour danser, un temps pour lancer des pierres et un temps pour en ramasser. » Dans les grandes circonstances, il faut savoir passer par-dessus tout et s'élever à l'essentiel. Malgré les réserves. Ensemble."
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Le sens chrétien du corps - Diocèse La Rochelle - Saintes - 0 views

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    "Le sens chrétien du corps Une réflexion de notre évêque, Mgr Bernard Housset, à propos de la Toussaint. Cette fête de la Toussaint 2014 nous invite à l'espérance, tout en nous faisant réfléchir à notre mort. Les pratiques qui accompagnent celle-ci sont concernées par une évolution importante. Comme chacun le sait, la crémation (appelée incinération récemment encore) prend de plus en plus d'importance. Sa pratique, de 0,5 % en 1980, est passée à 30 % des enterrements en 2010. Certains spécialistes pensent même qu'elle sera demandée par 50 % des Français en 2020, c'est-à-dire demain. Plusieurs raisons - qu'il serait trop long de présenter - expliquent cette progression. Je voudrais simplement rappeler que l'Eglise catholique a évolué par rapport à la crémation. A l'heure actuelle, elle ne voit pas d'objection majeure à cette pratique, puisque celle-ci n'est plus voulue pour s'opposer à la foi chrétienne. Pas de contradiction entre la crémation et les convictions de l'Eglise par rapport au sens chrétien du corps. Quelles sont-elles ? Tout d'abord un grand respect Pour quelles raisons ? Simplement parce que chacun de nous est une personne créée par Dieu et procréée par ses parents. Notre corps est voulu par Dieu Créateur. De plus, nous croyons que Dieu le Fils s'est incarné dans un corps humain véritable, qui n'était pas une simple apparence. Enfin notre corps est appelé à ressusciter comme le Christ et grâce à Lui. Pour ces trois raisons (Création, Incarnation, Résurrection), notre corps possède une grande dignité et mérite un réel respect, sans en faire une idole ni le considérer avec dédain. D'ailleurs, lors des obsèques chrétiennes, le corps est désigné par les expressions « le défunt » ou « le corps du défunt », qui se réfèrent à une personne, contrairement aux mots « cadavre », « cendres » ou « restes ». De plus, notre foi chrétienne nous invite fermemen
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"Dans la prière en famille, confions-nous les uns aux autres", suggère le pap... - 0 views

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    "our sa 100e audience générale, le 26 août 2015 place Saint-Pierre, le pape François a poursuivi sa catéchèse sur la famille en abordant cette fois le thème de la prière. Une audience marquée également par son appel à une participation active des catholiques à la journée de prière pour la sauvegarde de la Création, le 1er septembre 2015. Souvent l'on se plaint de ne pas trouver le temps de prier, a constaté le pape François. Mais pour y parvenir, a-t-il questionné, ne faut-il pas d'abord « cultiver en son cœur un amour plein de chaleur pour Dieu, un amour affectueux ? » « Que c'est beau quand les mamans apprennent à leurs petits à envoyer un baiser à Jésus ou à la Vierge Marie !, s'est exclamé le pape François. Quelle tendresse ! À l'instant précis de ce geste, le cœur de l'enfant devient lieu de prière. » Pourtant, le temps de la famille « est un temps agité et compressé, rempli d'occupations et de préoccupations », a également souligné le pape François. « Il y a tant de choses à faire ! » Cependant, l'esprit de la prière rend le temps à Dieu. « Il nous fait sortir de l'obsession d'une vie pour laquelle il manque toujours du temps, nous fait retrouver la paix des choses vraiment nécessaires, et découvrir la joie des dons inattendus », a rappelé le pape François. « Dans la prière en famille, dans les moments forts comme dans les moments difficiles, confions-nous les uns aux autres, afin que l'amour de Dieu prenne soin de chacun de nous, en famille », a-t-il conclu. "
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N° 2430 - Proposition de loi (...) relative au respect du principe de laïcit... - 0 views

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    "PROPOSITION DE LOI relative au respect du principe de laïcité dans le cadre scolaire, EXPOSÉ DES MOTIFS Mesdames, Messieurs, La France est une République laïque au terme de l'article 2 de la Constitution. Elle l'est par tradition depuis la Révolution et par vocation dans la mesure où la laïcité est le corollaire naturel des principes de liberté et d'égalité qui fondent notre modèle républicain. L'article X de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen proclame que « nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas la loi ». Le préambule de la Constitution du 27 octobre 1946 affirme que « la loi garantit à la femme, dans tous les domaines, des droits égaux à ceux de l'homme ». La France est, en outre, signataire de la Convention internationale des droits de la femme qui dispose, en son article V, que les États signataires s'engagent à « modifier les schémas et modèles de comportements socioculturels de l'homme et de la femme en vue de parvenir à l'élimination des préjugés et des pratiques coutumières ou de tout autre type, qui sont fondés sur l'idée de l'infériorité ou la supériorité de l'un ou de l'autre sexe ou d'un rôle stéréotypé des hommes ou des femmes ». La laïcité, appliquée à l'école, transcrit un idéal de liberté. Elle garantit la liberté de conscience en dehors des dogmes officiels et des religions. L'élève peut vivre, penser, juger et décider en écoutant sa propre conscience. Face aux particularismes religieux qui entraîneraient l'absentéisme spécifique des élèves dont les croyances s'opposeraient aux contenus de certains cours ou au calendrier scolaire commun, la jurisprudence administrative confirme qu'aucune communauté religieuse ne peut se soustraire aux obligations scolaires essentielles. Ce principe de laïcité est clairement menacé sous le coup de poussées communautaris
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Le temps de la mission - Diocèse de Bayonne, Lescar et Oloron - 0 views

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    "Le temps ordinaire après la Pentecôte, c'est le temps de l'Eglise, mieux : c'est le temps de l'Esprit Saint dont le renouvellement de l'effusion nous pousse de manière nouvelle sur les chemins de la mission. Pour avoir accompagné l'Eglise, à travers le cycle liturgique, « durant tout le temps où le Seigneur Jésus a vécu parmi nous, depuis le commencement, lors du baptême donné par Jean, jusqu'au jour où il fut enlevé d'auprès de nous » (Ac 1), nous avons été choisis, comme Matthias au début de l'Eglise, pour être « témoins de sa résurrection ». C'est le temps des « disciples-missionnaires » qui commence, dans la puissance de l'Esprit Saint qui nous est donné !"
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AJACCIO_ Abus sexuels : prions et jeunons ! - 0 views

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    "Abus sexuels : prions et jeunons ! Publié le 06 septembre 2018 Suite à la récente révélation de nombreux cas d'abus sexuels commis par des prêtres ou personnes consacrées, le Pape François a écrit une lettre à l'ensemble du Peuple de Dieu. Cette lettre est un cri. Un cri pour exprimer la honte et la douleur du Pape et de toute l'Église face à ce scandale des abus sexuels ou de toute autre forme d'abus de pouvoir. Un cri qui se joint à celui des victimes dont les blessures « ne disparaissent jamais ». Rien ne pourra jamais totalement réparer le mal qui a été fait, dit le pape. Et rien ne doit être négligé pour éviter de telles atrocités. Si la solidarité avec les victimes nous pousse à souffrir avec ceux qui souffrent (cf. 1 Co 12,26), la faute de ceux qui ont failli rejaillit sur toute l'Église. C'est pourquoi « nous ressentons de la honte », écrit le pape, et même une forme de responsabilité : « en tant que communauté ecclésiale (…) nous avons négligé et abandonné les petits ». Même si la grande majorité des cas d'abus appartient au passé et si le pape est « conscient de l'effort et du travail réalisés (…) pour protéger l'intégrité des mineurs et des adultes vulnérables », il invite l'ensemble du Peuple de Dieu à se mobiliser pour favoriser « la transformation ecclésiale et sociale dont nous avons besoin ». Le pape est convaincu que notre engagement dans ce domaine ne peut être que communautaire. Cet engagement exige une conversion personnelle et la contemplation du Christ afin de pouvoir reconnaître sa présence dans les pauvres et les petits. Il suppose aussi le rejet de toute forme de cléricalisme. Celui-ci en effet est comme un terreau favorisant les abus de pouvoir en tout genre. Il passe aussi, insiste le pape, par le repentir, et donc par « l'exercice pénitentiel de la prière et du jeûne ». Ensemble, dit-il, « demandons pardon pour nos propres péchés et pour ceu
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Le ridicule tue - Le Rouge & le Noir - 0 views

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    "Beaucoup de catholiques ne font plus mystère de leur dégoût quant au profond ridicule dans lequel s'abîme trop souvent l'Église, lorsqu'elle prétend offrir d'elle-même une image assouplie, moderne, dans son temps. Il n'est pas utile de revenir encore une fois sur les conséquences d'un tel écueil médiatique, ni sur les raisons qui ont motivé des responsables (curés comme laïcs) à entreprendre une communication aussi désastreuse. Sans doute encouragés par « l'esprit du Concile », ces derniers ne semblent toujours pas avoir compris que beaucoup de catholiques sont, pour les plus sérieux d'entre eux, exaspérés par cette com' ridicule qui confond évangélisation et réclame jeuniste. Qui ignore encore que les jeunes moquent et fuient les adultes qui tentent de les séduire en singeant leur langage ou leurs attitudes ? Car le ridicule tue. Il tue la crédibilité de l'Église lorsqu'elle tente d'enrayer la désertion des fidèles par la transformation de son image. Il tue l'image d'une Église forte et hiératique pour une Église prête à toutes les concessions médiatiques pour flatter ceux qui la haïssent déjà. Alors soyons honnêtes : non, l'Église n'est ni cool ni moderne, c'est une institution millénaire dont la vocation première est le salut des âmes. Non, le message de l'Église n'est ni fun ni dans le temps, elle offre une discipline rigoureuse dont le texte fondateur narre comment le Fils de Dieu fut mis à mort pour sauver les hommes. Non, la messe n'est pas un moment festif, c'est un recueillement et une prière collective, une célébration propitiatoire et sacrificielle qui invite à la sobriété et à la sanctification. La communication de l'Église relève donc de la « publicité mensongère », et quand celle-ci aura cessé de vouloir plaire au monde par la propagation de ses slogans ridicules, sans doute gagnera-t-elle ceux qui s'y tiennent à l'écart parce qu'ils attend
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L'été travailleur du pape | Vu de Rome - 0 views

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    "Tandis que la chaleur s'est longuement abattue sur Rome, que maints commerces ont baissé le rideau pour 'congés annuels' - y compris des gelaterias - et que les cigales chantent sans discontinuer jusque tard dans la nuit, le pape François, lui, est à son bureau dès l'aube. Pas d'échappée en montagne, ni même à Castel Gandolfo pour l'Assomption. Il poursuit son travail, préparant ses discours et homélies (26 allocutions au total prévues) pour son voyage à Cuba et aux Etats-Unis qui approche. Ou, dans l'immédiat, ses angélus et catéchèses, ininterrompus durant le mois d'août. L'audience du 19 août, il l'a faite justement sur le thème du travail, qui procure dignité. On pourrait déceler comme une provocation dans cette apologie du labeur au cœur de l'été romain. Jorge Bergoglio est surtout fidèle à ses habitudes, qu'il ne va pas changer à 78 ans. On le sait et il l'a dit, il n'a jamais pris de vacances. Il a grandi ainsi. Modeste, sa famille, sans voiture, ne partait jamais. On comptait l'argent. Son père l'a obligé dès le début de l'adolescence à travailler à ses côtés. Il a commencé par nettoyer les bureaux. Quand plus tard, il aurait pu prendre des vacances, il ne s'en est jamais accordé. Son tempérament « casanier », comme il se décrit volontiers, est contraire au goût du voyage. Surtout, comme l'a expliqué un proche, il s'agit pour lui de se montrer solidaire de ceux qui n'ont pas de congés, qui ne partent pas. Des « plus humbles, les exploités, les pauvres et les exclus », comme le pape les recensa dans son désormais fameux discours de Santa Cruz du 9 juillet dernier contre les situations d'injustice provoquées par l'économie mondiale. Même si les touristes défilent en masse aujourd'hui dans les rues de Rome, le loisir reste un privilège. Ne pas s'évader au loin est, paradoxalement, une manière de rejoindre les périphéries existentielles, pour parler e
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A-t-on le droit d'être seulement « avec Charlie » ?, par Philippe Malidor | L... - 0 views

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    "Il n'en reste pas moins certaines questions gênantes à soulever. Cabu s'était donné comme objectif de discréditer impitoyablement les religions, synonymes pour lui d'obscurantisme. Comme si l'athéisme militant devait être le nouvel absolu, comme du temps d'Auguste Comte, contre les religions qui seraient historiquement condamnées à disparaître. Dans ces conditions, suis-je Charlie ? Non. Et, en vérité, combien de Français s'identifient, stricto sensu, à Charlie ? Y aura-t-il 66 millions d'abonnés demain à Charlie Hebdo ? Passé l'émotion du moment, le slogan devient ridicule. En revanche, je suis avec Charlie pour qu'on lui laisse le droit de dire même des grosses conneries. À charge pour les croyants de répliquer. Il n'est pas acceptable que la minute de silence n'ait pas été respectée par certains élèves de certains collèges. Il n'est pas acceptable que le darwinisme soit en passe (comme dans certains endroits de la Bible Belt aux États-Unis) de ne plus être enseigné parce que Dieu aurait créé le monde en 6 jours de 24 heures. Il n'est pas acceptable que la Shoah ne soit plus enseignée dans certains collèges parce que ça offense le révisionnisme islamiste de certains. Il n'est pas acceptable que des enfants musulmans refusent de faire des additions parce que le « + » ressemble à la croix du Christ ! Tout cela étant dénoncé, précisons quelques points : le darwinisme n'est pas un dogme, et il y a de sérieux arguments scientifiques pour le remettre au moins partiellement en question ; dans ce cas, rien n'interdit aux élèves de croire autre chose s'ils le souhaitent, mais ils doivent se soumettre aux programmes officiels de la France, ce que font parfaitement les écoles catholiques. Faire une addition en dessinant un « + » ne fait pas de l'élève un croisé ; donc, on fera les additions. À l'inverse, quand des collégiens musulmans disent « nous réprouvons ces meurtres, mais n
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Le discernement des évêques - Vie de l'Église - Agir | Famille Chrétienne Fam... - 0 views

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    "Réunis en Assemblée plénière à Lourdes, les évêques français ont pris une journée pour réfléchir, dans la prière, à leur ministère. Les évêques sont unanimes : la journée prise entre le mardi 24 et le mercredi 25 mars pour « discerner » sur leur ministère épiscopal a été très bénéfique. « Comme le Christ prenant parfois à part ses disciples », avait annoncé Mgr Georges Pontier, président de la Conférence des évêques de France dans son discours d'ouverture, « nous nous laisserons conduire à part pour écouter ce qu'Il veut nous dire et nous suggérer pour l'exercice de notre ministère aujourd'hui ». Une initiative inhabituelle qui a occupé pratiquement un quart de cette assemblée de printemps. La journée s'est structurée autour de deux interventions du Père François-Xavier Dumortier, recteur de l'Université pontificale grégorienne de Rome, sur le discernement dans la mission de gouvernement de l'évêque. Des exposés précédés et suivis de temps de prière, de silence et d'échanges. Cette expérience s'appuie sur l'invitation du pape François, formulée dans l'exhortation apostolique Evangelii gaudium, à exercer un « discernement évangélique ». « Certaines réalités du temps présent, si elles ne trouvent pas de bonnes solutions, peuvent déclencher des processus de déshumanisation sur lesquels il est ensuite difficile de revenir. Il est opportun de clarifier ce qui peut être un fruit du Royaume et aussi ce qui nuit au projet de Dieu. » « Nous avons pris le temps, raconte Mgr Aillet, évêque de Bayonne, Lescar et Oloron, de prendre un peu de distance par rapport aux questions, brûlantes ou non, qui traversent notre ministère, en nous mettant à l'écoute de la parole de Dieu. » « Nous nous sommes interrogés, tous ensemble, témoigne de son côté Mgr Le Saux, évêque du Mans, sur notre docilité à la volonté de Dieu, notre conversion perso
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Le cardinal Vingt-Trois déjà au travail ! - 0 views

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    "Le cardinal Vingt-Trois déjà au travail ! A la fin du synode, les évêques ont été appelés par le pape François à continuer le travail de réflexion et de discussion. C'est avec grand empressement que le cardinal Vingt-Trois, archevêque de Paris, s'est mis à la tâche. Dans une lettre du 24 octobre adressée aux prêtres de son diocèse, le ton est donné : « Le travail pastoral auquel le synode est appelé par le pape ne consiste pas à répéter matériellement une nouvelle fois les contenus de la doctrine chrétienne, fort bien exprimés et présentés dans les conciles et résumés dans le catéchisme de l'Eglise catholique. » L'archevêque invite ces prêtres à cheminer avec « des personnes concrètes pour les faire progresser vers le Christ » et « frayer des nouveaux chemins ». Autrement dit, depuis 2000 ans, l'Eglise est une pure abstraction, qui ne fait que répéter la doctrine sans aucune considération du réel. Pourtant les épîtres de saint Paul écrites à Corinthe ne s'adressaient pas à des personnes imaginaires, car la nature humaine ne change pas. De tout temps, les homosexuels et les adultères ont existé, il ne s'est pas adapté à eux, mais il leur a donné la doctrine et les moyens pour se sortir de leur situation concrète. Le Christ a bien dit à la femme adultère :« Va et ne pèche plus ». Les discussions et les réflexions de ces prêtres diocésains ne vont rien apporter, si ce n'est affadir encore et encore la doctrine catholique en matière de morale. Mais cette manière de voir les choses repose encore une fois sur une considération bien particulière du dogme, qui ne doit pas être « fermé » et se développer selon une tradition vivante. Véronique Lafargue"
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Editorial de notre évêque dans le numéro de novembre 2014 d' « Eglise en Sart... - 1 views

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    "Editorial de notre évêque dans le numéro de novembre 2014 d' « Eglise en Sarthe » JPEG - 60.2 ko Nous venons de célébrer la fête de la Toussaint. Chaque année, la liturgie de l'Église nous invite à faire mémoire de tous les saints du ciel, connus et inconnus. Tous ceux qui, au cours de l'histoire, ont suivi le Christ par amour pour lui et pour aimer comme lui. L'Église est mystère de communion, à l'image même de la sainte Trinité. La communion ne s'arrête pas à la mort, comme nous le rappelle le Concile Vatican II. « Les uns parmi ses disciples continuent sur terre leur pèlerinage ; d'autres, ayant achevé leur vie, se purifient encore, d'autres enfin sont dans la gloire, contemplant dans la pleine lumière, tel qu'il est, le Dieu un en trois personnes. » (LG 49) Je suis personnellement sensible à la récente béatification du pape Paul VI, le pape qui a porté le Concile Vatican II. J'ai toujours été bouleversé par son courage, sa sagesse, sa joie. Il n'a pas toujours été compris, en particulier en France. On lui doit l'encyclique « Humanae vitae », texte prophétique, n'en déplaise à quelques-uns. L'exhortation « Evangelii nuntiandi » qui est la base de la réflexion sur la nouvelle évangélisation, son amour du Christ, de l'Église, de l'humanité jusqu'à la souffrance sont un exemple pour nous. J'ai eu la joie de participer à la mise en valeur du sanctuaire du bienheureux Basile Moreau, prêtre du diocèse du Mans, fondateur des Pères et Frères de Sainte-Croix, et des Sœurs Marianites. J'ai également eu la joie de participer à la célébration, au Prytanée militaire de La Flèche, en l'honneur de la canonisation de saint François de Montmorency-Laval, évêque missionnaire, fondateur de la ville de Québec au Canada, qui a passé neuf ans de sa vie au collège jésuite de La Flèche. J'en viens à rêver d'une fête de la Toussaint propre au diocèse du Mans. Les figure
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Œcuménisme à huis clos - 0 views

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    "Pour la première fois, une femme a été ordonnée évêque au sein de l'Église anglicane d'Angleterre, il y a une semaine, à York (photo). L'événement a suscité de vives réactions chez certains, qui n'ont pas accepté cette rupture et pourraient même, pour cette raison, quitter la Communion anglicane et rejoindre l'Église catholique, comme d'autres anglicans l'ont déjà fait avant eux. Le passage de l'anglicanisme au catholicisme non seulement d'individus isolés mais même de communautés entières, avec des prêtres et des évêques, a été facilité et réglementé en 2009 par Benoît XVI dans la constitution apostolique "Anglicanorum cœtibus". En vertu de cette constitution, ces nouveaux venus ont la possibilité de conserver leur rite liturgique précédent ; d'autre part leurs prêtres et leurs évêques, qui sont, pour la plupart d'entre eux, mariés et pères de famille, sont ordonnés prêtres dans l'Église catholique et ils continuent à diriger leurs communautés respectives. Dans ce but, trois ordinariats "personnels" - c'est-à-dire qu'ils comportent la responsabilité de fidèles mais qu'ils sont dépourvus de territoire, un peu comme pour les ordinariats militaires - ont été institués, entre 2011 et 2012, au sein de l'Église catholique : le premier pour l'Angleterre et le Pays de Galles, le deuxième pour les États-Unis et le troisième pour l'Australie. Cette innovation a été accueillie assez paisiblement par les dirigeants de l'Église anglicane, tant il est vrai que, en 2009, l'annonce de ce changement a été faite en même temps par le siège primatial de Rome et par celui de Canterbury et que, en 2012, Benoît XVI et Rowan Williams, qui était à ce moment-là le primat de l'Église anglicane, ont célébré ensemble les vêpres au monastère de San Gregorio al Celio, à Rome, dont le prieur était alors - et il l'est encore actuellement - l'australien Peter John Hugues, un anglic
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