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Obtenir un diplôme sans aller à l'école | JDM - 0 views

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    "Obtenir un diplôme sans aller à l'école Des raccrocheurs terminent leur secondaire bien assis à la Maison des jeunes PARTAGEZ SUR FACEBOOK PARTAGEZ SUR TWITTER AUTRES PHOTO ISABELLE HOULE L'humoriste Philippe Bond (en bas au centre) est venu rendre visite aux jeunes étudiants de l'École de la Maison des jeunes pour raccrocheurs. ISABELLE HOULE Dimanche, 26 février 2017 21:31 MISE à JOUR Dimanche, 26 février 2017 21:31 SAINT-SAUVEUR | Des jeunes des Laurentides peuvent obtenir un diplôme d'études secondaires sans mettre les pieds à l'école. Ils apprennent à leur rythme, bien installés dans les fauteuils de la Maison des jeunes. Kevin Ogilvie, 18 ans, a été souvent expulsé des écoles régulières en raison de ses problèmes de consommation de drogue et de violence envers les autres élèves et les enseignants. Il détestait l'encadrement des écoles. Maintenant, il s'apprête à finir son secondaire dans la liberté la plus complète. Quatre après-midi par semaine, il se rend à la Maison des jeunes de Saint-Sauveur, où il travaille avec ses livres... quand ça lui tente. Les enseignants sont sur place pour répondre aux questions, mais ils ne disent jamais aux élèves quoi faire. «Si je veux, je peux gratter ma guitare. Ici, je ne me sens pas agressé. Je vais à mon rythme et j'apprends à me calmer. Ils ont fait de moi une meilleure personne. Je vois le monde différemment», racon­te Kevin. PHOTO ISABELLE HOULE( Kevin Ogylvie, Étudiant Alternative pour réussir Depuis 2010, la Maison des jeunes est devenue L'École de la Maison des jeunes pour raccrocheurs. Cette idée est venue de Caro­le Asselin, intervenante responsable de l'organisme. Elle enseigne aux adultes aussi et elle trouvait qu'encore trop d'élèves décrochaient. Elle a donc suggéré à la Commission scolaire des Laurentides d'introduire l'école à la Maison des jeunes et d'engager des profs de mathématiques, de fran
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1 toit 2 âges : une Française investit le logement intergénérationnel  | lepe... - 0 views

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    "1 toit 2 âges : une Française investit le logement intergénérationnel  Par Justine Hugues | Publié le 12/06/2019 à 13:45 | Mis à jour le 12/06/2019 à 13:49 Photo : Expatriée en Belgique, Claire de Kerautem lutte contre la solitude des personnes âgées et la pénurie de logements étudiants © DR 0 commentaire (s) 322 L'association 1 toit 2 âges propose des logements intergénérationnels en Belgique. Une cohabitation entre personnes âgées et étudiants basée sur la confiance et la solidarité.    « 1 toit 2 âges a changé ma vie. Maintenant, j'attends quelqu'un ».  Ces propos d'une nonagénaire résonnent aujourd'hui chez Claire de Kerautem, comme le symbole d'un pari gagné. La française de 46 ans a cofondé, à Bruxelles, l'association 1 toit 2 âges, pour lutter contre la solitude des personnes âgées et la pénurie des logements étudiants. Le concept ? Organiser l'hébergement d'étudiants chez des seniors isolés en échange de services et/ou d'un loyer modéré. Depuis sa création en 2009, l'association, qui a déjà accompagné plus de 2000 binômes, essaime dans plusieurs grandes villes belges.    Fille de diplomates, ayant grandi entre Kigali et Amman, Claire murit très tôt « le goût de la découverte, de l'autre et de l'humain en général ». Après de nombreuses années à enseigner l'anglais en France, c'est avec enthousiasme qu'elle franchit la frontière franco-belge avec son mari et ses enfants, en quête de nouvelles aventures. L'époque est, en France, aux balbutiements du logement intergénérationnel. Claire, séduite par l'idée, la soumet à quelques universités bruxelloises ainsi qu'au bourgmestre de son nouveau quartier. L'édile est tellement convaincu de la pertinence du projet qu'il organise une conférence de presse pour présenter 1 toit 2 âges. « Je ne pouvais pas espérer mieux comme lancement », reconnaît Claire.    Claire de Kerautem  
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Widgets et Goodies - La Maison de l'histoire de France - 0 views

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    Coloriages et bricolages historiques.
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« Les yeux plus gros qu'le ventre », nouvelle exposition temporaire : La Mais... - 0 views

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    Pour sensibiliser le public à cette problématique, la Maison écocitoyenne, en partenariat avec les centres d'animation de la Ville de Bordeaux, ouvre le débat avec une exposition sur le gaspillage alimentaire.
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Bio dans les cantines: les géants de la restauration scolaire commencent à s'... - 0 views

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    "Bio dans les cantines: les géants de la restauration scolaire commencent à s'y mettre AFP Publié le 01/10/2018 à 10:42 | AFP Bio dans les cantines: les géants de la restauration scolaire commencent à s'y mettre © AFP/Archives / REMY GABALDA VOTRE ABONNEMENT NUMÉRIQUE À 6€ PAR MOIS PENDANT 1 AN + MAGAZINE PAPIER OFFERT ! Les cantines scolaires qui ont confié leurs repas à des sociétés extérieures comme les géants de la restauration collective passeront-elles bientôt au bio ? La filière s'organise à petits pas pour atteindre les 20 % en 2022. ADVERTISING inRead invented by Teads A la cantine de l'école primaire Renaudel de Montrouge (Hauts-de-Seine), des fours réchauffent à 140 degrés des repas en barquettes fabriqués et conditionnés un à trois jours auparavant, dans une "cuisine centrale" qui dessert des dizaines d'écoles d'Ile-de-France. En France, les repas servis dans les cantines scolaires représentent près d'un tiers de la restauration collective. Et 41 % de ce marché de 21,1 milliards d'euros annuels, selon Gira Foodservice, est confié à des sociétés dans le cadre d'une gestion "concédée" plus économique, en vogue depuis 30 ans, au détriment de la gestion directe des cantines par les collectivités. Filiale du britannique Compass, Scolarest, n°3 en France derrière les géants Sodexo et Elior, sert quelque 400.000 repas par jour dans 500 établissements scolaires, dont 3.500 dans les 19 écoles et crèches de Montrouge. Alors que le projet de loi agriculture et alimentation, qui sera adopté mardi à l'Assemblée, veut imposer d'ici à 2022 50 % d'alimentation de qualité, labellisée et locale, dont 20 % de bio en restauration collective publique - hors écoles privées -, les villes ayant concédé la restauration scolaire modifient le cahier des charges de leur prestataire. C'est le cas à Montrouge, qui a fait ce choix il y a des années pour des raisons "de normes, d'hygiène, de sécurité
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