Déjà en vente libre sur Internet ensuite dans certaines pharmacies d'Europe, des autotests avec dépistage du sida sont susceptibles de débarquer prochainement en France. Se dépister à la maison est-il une soubrette idée ? Pour le Conseil national d'éthique, les risques sont bien supérieurs aux privilège.
Grossesse, glycémie, cholestérol, infection à streptocoque… En quelques moment, on peut procéder à un auto-diagnostic sans quitter son logis. Suscitant un réel engouement auprès du grand manifeste, les autotests ont envahi les officines… Cependant que pensez de l'auto-dépistage du sida ? Début germinal 2005, le Comité consultatif national d'éthique (CCNE) se prononçait sur cette question. Une paire de types d'autotests
Ces tests en compagnie de dépistage du sida pourraient prochainement débarquer en France. Mais entier d'abord, une première distinction s'impose. Ces dispositifs sont en tenant deux types :
Sida VIH gamète dépistage test autotest L'autoprélèvement à domicile : Dans ce cas, le prélèvement sanguin levant effectué par la personne elle-même. Le plus souvent, il s'agit d'un prélèvement de sang déposé sur une sorte de buvard lequel est codé puis envoyé à un laboratoire d'analyse. La personne demande ensuite par téléphone le résultat au laboratoire, en demeurant anonyme grâce à son code. En cas avec résultat positif, elle est cela plus souvent mise en rapport, au téléphone, avec une personne qui lui donne certains explications et avérés conseils. Le test "Home Access Express HIV-1 Test System" fabriqué dans le laboratoire Home Access Health Congrégation a même été approuvé par l'agence américaine du médicament, la célèbre Food and Drug Gestion. Récemment, un dispositif ne nécessitant qu'un prélèvement en tenant salive a été commercialisé aux Etats-Unis.
L'autotest à domicile : L'autotest s'effectue à logis. Le prélèvement, la décodage et l'interprétation des résultats sont effectués parmi l'individu lui-même. L'individu est ainsi seul, face au résultat, sans qu'aucune affluence d'un professionnel de santé soit réalisable. Basé sur la recherche d'anticorps spécifique, ces test proposent une réponse en 1 laps, avec une visualisation contigu de celle vrais tests de grossesse : Seul seule bande colorée, vous n'êtes enjambée infecté - Deux bandes colorées et toi êtes séropositifs.
Au-delà des réserves techniques, cela directeur général de la santé avait demandé tonalité avis sur le porté au Comité consultatif national d'éthique. De nombreuses réserves éthiques
test sida
Selon ce CCNE, ces autodiagnostics peuvent paraître séduisants à plus d'un titre. Ils pourraient en effet permettre "un diagnostic plus précoce", "un élargissement du nombre de personnes connaissant leur loi sérologique", "une responsabilisation de la vie sexuelle" tout en respectant "la confidentialité" et en évitant "toute stigmatisation". Néanmoins, ces avantages rien semblent pas peser bien lourds vis-à-vis des réserves éthiques et procédé soulignées dans l'avis des sages :
Jusqu'à 50 % en tenant faux positifs
S'appuyant sur un carton du Conseil national du Sida et un étude du Centre du contrôle des épidémies américain (CDC), ce nombre de incorrect positif des autotest pourrait atteindre 50 %. Ce lequel veut dire qu'une personne sur une paire de se penserait à tort porteuse du virus du sida. Parmi outre, certains de ces test rapides ne permettent de dépister dont l'infection par le grain VIH1, à l'exclusion de celle en le VIH2 qui contamine les populations de certains région africains.
SIDA
Sida : faut-il se dépister à la maison ?
Déjà en vente libre sur Internet ensuite dans certaines pharmacies d'Europe, des autotests avec dépistage du sida sont susceptibles de débarquer prochainement en France. Se dépister à la maison est-il une soubrette idée ? Pour le Conseil national d'éthique, les risques sont bien supérieurs aux privilège.
Grossesse, glycémie, cholestérol, infection à streptocoque… En quelques moment, on peut procéder à un auto-diagnostic sans quitter son logis. Suscitant un réel engouement auprès du grand manifeste, les autotests ont envahi les officines… Cependant que pensez de l'auto-dépistage du sida ? Début germinal 2005, le Comité consultatif national d'éthique (CCNE) se prononçait sur cette question.
Une paire de types d'autotests
Ces tests en compagnie de dépistage du sida pourraient prochainement débarquer en France. Mais entier d'abord, une première distinction s'impose. Ces dispositifs sont en tenant deux types :
Sida VIH gamète dépistage test autotest L'autoprélèvement à domicile : Dans ce cas, le prélèvement sanguin levant effectué par la personne elle-même. Le plus souvent, il s'agit d'un prélèvement de sang déposé sur une sorte de buvard lequel est codé puis envoyé à un laboratoire d'analyse. La personne demande ensuite par téléphone le résultat au laboratoire, en demeurant anonyme grâce à son code. En cas avec résultat positif, elle est cela plus souvent mise en rapport, au téléphone, avec une personne qui lui donne certains explications et avérés conseils. Le test "Home Access Express HIV-1 Test System" fabriqué dans le laboratoire Home Access Health Congrégation a même été approuvé par l'agence américaine du médicament, la célèbre Food and Drug Gestion. Récemment, un dispositif ne nécessitant qu'un prélèvement en tenant salive a été commercialisé aux Etats-Unis.
L'autotest à domicile : L'autotest s'effectue à logis. Le prélèvement, la décodage et l'interprétation des résultats sont effectués parmi l'individu lui-même. L'individu est ainsi seul, face au résultat, sans qu'aucune affluence d'un professionnel de santé soit réalisable. Basé sur la recherche d'anticorps spécifique, ces test proposent une réponse en 1 laps, avec une visualisation contigu de celle vrais tests de grossesse : Seul seule bande colorée, vous n'êtes enjambée infecté - Deux bandes colorées et toi êtes séropositifs.
Au-delà des réserves techniques, cela directeur général de la santé avait demandé tonalité avis sur le porté au Comité consultatif national d'éthique.
De nombreuses réserves éthiques
test sida
Selon ce CCNE, ces autodiagnostics peuvent paraître séduisants à plus d'un titre. Ils pourraient en effet permettre "un diagnostic plus précoce", "un élargissement du nombre de personnes connaissant leur loi sérologique", "une responsabilisation de la vie sexuelle" tout en respectant "la confidentialité" et en évitant "toute stigmatisation". Néanmoins, ces avantages rien semblent pas peser bien lourds vis-à-vis des réserves éthiques et procédé soulignées dans l'avis des sages :
Jusqu'à 50 % en tenant faux positifs
S'appuyant sur un carton du Conseil national du Sida et un étude du Centre du contrôle des épidémies américain (CDC), ce nombre de incorrect positif des autotest pourrait atteindre 50 %. Ce lequel veut dire qu'une personne sur une paire de se penserait à tort porteuse du virus du sida. Parmi outre, certains de ces test rapides ne permettent de dépister dont l'infection par le grain VIH1, à l'exclusion de celle en le VIH2 qui contamine les populations de certains région africains.