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  #1 Don Roth on 19 Mar 12

   

  Le plus souvent, celui-ci s'agit d'un prélèvement de sang déposé sur un sorte de buvard lequel est codé puis envoyé à seul laboratoire d'analyse. La personne demande après par téléphone le résultat au laboratoire, parmi demeurant anonyme grâce à son cryptogramme. En cas en compagnie de résultat positif, elle est ce plus souvent mise en histoire, au téléphone, avec une unité qui lui donne certains explications et vrais conseils. Le essai "Home Access Express HIV-1 Test System" fabriqué en le laboratoire Home Access Health Congrégation a même été approuvé par l'agence américaine du médicament, la célèbre Food and Drug Gestion. Récemment, un dispositif ne nécessitant qu'un prélèvement avec salive a été commercialisé aux Etats-Unis.
  
  L'autotest à domicile : L'autotest s'effectue à logis. Le prélèvement, la décodage et l'interprétation des résultats sont effectués par l'individu lui-même. L'individu est ainsi seul, face au résultat, sans qu'aucune intervention d'un professionnel de santé soit possible. Basé sur la recherche d'anticorps spécifique, ces tests proposent une réponse en 1 temps, avec une visualisation contigu de celle vrais tests de grossesse : Un seule bande colorée, vous n'êtes marche infecté - Deux bandes colorées et toi-même êtes séropositifs.
  
  Au-delà des réserves techniques, ceci directeur général de la santé avait demandé son avis sur le porté au Comité consultatif national d'éthique.
  De nombreuses réserves éthiques
  
  Selon le CCNE, ces autodiagnostics peuvent paraître séduisants à plus d'un titre. Ils pourraient en effet permettre "un diagnostic plus précoce", "un élargissement du nombre de personnes connaissant leur règlement sérologique", "une responsabilisation de la vie sexuelle" tout en respectant "la confidentialité" ensuite en évitant "toute stigmatisation". Néanmoins, ces avantages ne semblent pas peser bien lourds vis-à-vis des réserves éthiques et techniques soulignées dans l'avis des sages :
  
  Jusqu'à 50 % en compagnie de faux positifs
  
  S'appuyant sur un dossier du Conseil national du Sida et seul étude du Centre du contrôle des épidémies américain (CDC), le nombre de incorrect positif des autotest pourrait atteindre 50 %. Ce dont veut dire qu'une personne sur deux se penserait à tort porteuse du virus du sida. Dans outre, certains de ces épreuve rapides ne permettent de dépister dont l'infection par le gamète VIH1, à l'exclusion de celle parmi le VIH2 qui contamine ces populations de certains région africains. Ces données soulignent la nécessité d'une confirmation en un test dans laboratoire.
  
  L'absence d'encadrement médical
  
  Durant le salaire qui suit l'infection, la personne n'a pas développé les antigène spécifiques permettant le diagnostic. L'absence avec conseil par un professionnel de santé pourrait ainsi conduire paradoxalement à seul augmentation de cette prise de risques liée à un autotest négatif. Jugeant l'intervention téléphonique d'expert insuffisante, le CCNE juge que "l'absence de prise en charge médicale constitue un véritable négation de la responsabilité médicale puis va à l'encontre d'une politique en tenant santé publique. La prise parmi charge administrative et sociale qui doit accompagner l'annonce d'un résultat positif n'est pas assurée, en particulier pour les personnes parmi situation de précarité (qui d'ailleurs hésiteraient à recourir à un test non remboursé par la sécurité sociale)". Par ailleurs, une telle déclaration peut susciter un état de détresse alors des conséquences importantes sur le schéma social ;
  
  

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  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">Le plus souvent, celui-ci s'agit d'un prélèvement de sang déposé sur un sorte de buvard lequel est codé puis envoyé à seul laboratoire d'analyse. La personne demande après par téléphone le résultat au laboratoire, parmi demeurant anonyme grâce à son cryptogramme. En cas en compagnie de résultat positif, elle est ce plus souvent mise en histoire, au téléphone, avec une unité qui lui donne certains explications et vrais conseils. Le essai "Home Access Express HIV-1 Test System" fabriqué en le laboratoire Home Access Health Congrégation a même été approuvé par l'agence américaine du médicament, la célèbre Food and Drug Gestion. Récemment, un dispositif ne nécessitant qu'un prélèvement avec salive a été commercialisé aux Etats-Unis.<br /><br />L'autotest à domicile : L'autotest s'effectue à logis. Le prélèvement, la décodage et l'interprétation des résultats sont effectués par l'individu lui-même. L'individu est ainsi seul, face au résultat, sans qu'aucune intervention d'un professionnel de santé soit possible. Basé sur la recherche d'anticorps spécifique, ces tests proposent une réponse en 1 temps, avec une visualisation contigu de celle vrais tests de grossesse : Un seule bande colorée, vous n'êtes marche infecté - Deux bandes colorées et toi-même êtes séropositifs.<br /><br />Au-delà des réserves techniques, ceci directeur général de la santé avait demandé son avis sur le porté au Comité consultatif national d'éthique.<br />De nombreuses réserves éthiques<br /><br />Selon le CCNE, ces autodiagnostics peuvent paraître séduisants à plus d'un titre. Ils pourraient en effet permettre "un diagnostic plus précoce", "un élargissement du nombre de personnes connaissant leur règlement sérologique", "une responsabilisation de la vie sexuelle" tout en respectant "la confidentialité" ensuite en évitant "toute stigmatisation". Néanmoins, ces avantages ne semblent pas peser bien lourds vis-à-vis des réserves éthiques et techniques soulignées dans l'avis des sages :<br /><br />Jusqu'à 50 % en compagnie de faux positifs<br /><br />S'appuyant sur un dossier du Conseil national du Sida et seul étude du Centre du contrôle des épidémies américain (CDC), le nombre de incorrect positif des autotest pourrait atteindre 50 %. Ce dont veut dire qu'une personne sur deux se penserait à tort porteuse du virus du sida. Dans outre, certains de ces épreuve rapides ne permettent de dépister dont l'infection par le gamète VIH1, à l'exclusion de celle parmi le VIH2 qui contamine ces populations de certains région africains. Ces données soulignent la nécessité d'une confirmation en un test dans laboratoire.<br /><br />L'absence d'encadrement médical<br /><br />Durant le salaire qui suit l'infection, la personne n'a pas développé les antigène spécifiques permettant le diagnostic. L'absence avec conseil par un professionnel de santé pourrait ainsi conduire paradoxalement à seul augmentation de cette prise de risques liée à un autotest négatif. Jugeant l'intervention téléphonique d'expert insuffisante, le CCNE juge que "l'absence de prise en charge médicale constitue un véritable négation de la responsabilité médicale puis va à l'encontre d'une politique en tenant santé publique. La prise parmi charge administrative et sociale qui doit accompagner l'annonce d'un résultat positif n'est pas assurée, en particulier pour les personnes parmi situation de précarité (qui d'ailleurs hésiteraient à recourir à un test non remboursé par la sécurité sociale)". Par ailleurs, une telle déclaration peut susciter un état de détresse alors des conséquences importantes sur le schéma social ;<br /><br /><h1>Test HIV - autotest sida</h1><br /><br /><br /><a rel="nofollow" href="http://www.pharmacielignefr.com/kit-test-hiv-a-domicile.html">test sida a la maison</a>, <a rel="nofollow" href="http://www.pharmacielignefr.com">cialis</a></div>

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